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  1. Last 7 days
    1. Les entreprises, et toutes les formes d’organisation, ont là l’occasion de pouvoir gagner en souplesse pour coller aux pratiques réelles

      La conclusion souligne les implications organisationnelles de l’apprentissage informel numérique, en invitant les entreprises à s’adapter aux pratiques réelles des professionnels.

    2. mis en évidence quatre modes informels d’apprentissage numérique

      Cette typologie permet de structurer et de mieux comprendre la diversité des pratiques d’apprentissage informel numérique.

    3. Dans un monde interconnecté, les possibilités d’apprentissage informel sont également démultipliées

      L’auteur met en évidence le rôle du numérique comme catalyseur des pratiques d’apprentissage informel.

    4. Une culture de l’apprentissage tout au long de la vie ou du « lifelong learning »

      Ce passage inscrit l’apprentissage informel numérique dans une logique plus large d’apprentissage continu tout au long de la vie.

    5. A une époque où l’obsolescence des compétences est de plus en plus rapide

      L’auteur montre ici que l’apprentissage informel répond à un besoin d’adaptation continue face à l’évolution rapide des compétences professionnelles.

    6. les situations traditionnelles (off-the-job learning) et formelles d’apprentissage (c’est-à-dire les canaux des formations officielles et/ou certifiantes) ne représentent que 10 % du temps d’apprentissage, contre 90 % pour les temps d’apprentissage informels,

      Ce résultat remet en question la place centrale accordée aux formations formelles, en soulignant le poids majoritaire de l’apprentissage informel.

    7. Bandura explore les phénomènes de mimétisme, où les individus apprennent en observant ou en écoutant les autres,

      La référence à Bandura ancre l’apprentissage informel dans des théories reconnues de l’apprentissage social.

    8. Il n’est pas nouveau que les salariés se forment par eux-mêmes au quotidien

      Ce passage permet de relativiser la nouveauté du phénomène en montrant que le numérique amplifie des pratiques d’apprentissage déjà existantes.

    9. un peu plus d’un salarié sur deux avait recours à l’apprentissage numérique informel pour développer ses compétences au travail.

      L’auteur s’appuie ici sur des données empiriques pour objectiver l’importance de l’apprentissage informel numérique dans le monde professionnel.

    10. Pour développer leurs compétences, les professionnels ont de plus en plus recours à ces modes d’apprentissage informel numérique.

      Ce passage introduit l’idée centrale de l’article en montrant que l’apprentissage informel numérique occupe une place croissante dans le développement des compétences professionnelles.

    1. un nombre croissant d’études pointe vers la nécessité d’un enseignement explicite de cette compétence à l’école,

      La conclusion réaffirme la thèse défendue dans l’article : seule une formation explicite et structurée permet de développer durablement les compétences d’évaluation de l’information

    2. Il n’existe pas de recette miracle

      Cette phrase nuance le débat en rappelant que l’éducation à l’évaluation de l’information repose sur des dispositifs progressifs et structurés.

    3. elle est inefficace pour l’apprentissage de l’évaluation de l’information

      L’auteur adopte ici une position critique en montrant que certaines méthodes largement utilisées à l’école manquent d’efficacité pédagogique.

    4. le manque de consignes explicites de la part de l’enseignant,

      Ce passage montre que les difficultés des élèves ne relèvent pas uniquement de leurs capacités, mais aussi du cadre pédagogique proposé.

    5. la quasi-totalité des participants ne prête pas attention à la source des informations

      Ce résultat de recherche souligne un problème majeur : les élèves évaluent le contenu sans questionner l’origine ni les intérêts des sources.

    6. les élèves se laissent influencer très facilement par des indices superficiels

      L’auteur met en évidence ici les limites des compétences informationnelles des élèves, même après plusieurs années de scolarité.

    7. le fait de trouver des mots-clés de la requête dans le titre de l’article augmente beaucoup les chances que l’élève considère l’article comme pertinent

      Cet exemple montre que les élèves s’appuient souvent sur des indices superficiels pour évaluer l’information, ce qui peut conduire à des erreurs d’interprétation.

    8. Ces compétences posent de nombreux défis aux internautes et interrogent le rôle de l’école.

      Ce passage met en évidence la controverse centrale : face à la complexité de l’évaluation de l’information, l’école est-elle en mesure de former efficacement les élèves ?

    9. rend tout un chacun vulnérable à la désinformation.

      L’auteur souligne ici que la désinformation ne concerne pas seulement certains publics, mais l’ensemble des citoyens exposés aux contenus numériques.

    10. l’évaluation de l’information sur Internet est aujourd’hui un enjeu majeur pour notre société

      Ce passage introduit clairement l’enjeu central de l’article en montrant que l’évaluation de l’information est devenue une compétence essentielle dans un contexte de désinformation numérique.

    1. ette importante restructuration de l’espace public à l’ère du numérique suggère un bouleversement des espaces médiatiques.

      Cette conclusion ouvre la controverse vers des enjeux plus larges, en soulignant l’impact des fake news sur l’organisation de l’espace public et médiatique.

    2. Probablement parce dans ces contextes, l’on ne risque pas grand-chose à diffuser quelque chose de faux.

      L’auteure explique ici que la faible responsabilité perçue dans certains espaces favorise la diffusion d’informations fausses sans réelle intention de tromper

    3. Résultats ? Il semblerait que l’on ne parle pas de la même chose dans tous les contextes, à tous les types de destinataires.

      Cette phrase met en évidence que la diffusion des informations varie selon les contextes sociaux, ce qui nuance l’idée d’une réception homogène des fake news.

    4. Pour explorer cette question, j’ai réalisé une enquête expérimentale dans le cadre d’un travail exploratoire auprès de 15 personnes

      Ce passage présente la démarche méthodologique adoptée afin d’analyser les contextes de circulation des informations, ce qui renforce la crédibilité scientifique de l’argumentation.

    5. Car après tout, est-ce parce qu’une « fake news » a été partagée par des milliers d’internautes que chacun d’entre eux y a cru ?

      question rhétorique souligne une position centrale de l’article : le partage d’une fake news ne signifie pas nécessairement l’adhésion à son contenu.

    6. les 20 « fake news » les plus partagées pendant la campagne électorale américaine de 2016 ont suscité 8,7 millions de likes, partages et commentaires sur Facebook

      le partage d’une fake news ne signifie pas nécessairement l’adhésion à son contenu.

    7. Lorsque l’on parle du phénomène de la désinformation, il est important de ne pas se focaliser uniquement sur les volumes de « fake news » partagées sur les réseaux sociaux

      Ce passage remet en cause une approche purement quantitative de la désinformation et invite à analyser la réception et l’interprétation des fake news par les individus.

    8. Il est ainsi probable que nous ne soyons pas forcément vigilants et tatillons sur la crédibilité d’un contenu informationnel car ce qui compte pour nous est d’un tout autre ordre :

      L’auteure montre ici que, dans les contextes de communication informelle, la vérification de l’information passe au second plan au profit de logiques sociales ou relationnelles.

  2. Apr 2025
    1. Apprendre avec le numérique représente deux réalités très différentes selon que l’on s’intéresse aux apprentissages scolaires ou adaptatifs, ces derniers étant liés aux usages quotidiens des outils

      Synthèse des différences : l'apprentissage avec le numérique est très différent en fonction de s'il se fait à l'école ou dans la vie quotidienne. Les connaissances et la façon de les apprendre varient

    2. Avec le numérique on observe exactement la même chose : les enfants ne généralisent pas, ils ne transfèrent pas ce qu’ils ont appris au cours de leurs usages familiers.

      Limites de la généralisation avec le numérique

    3. Les apprentissages adaptatifs de connaissances primaires sont aisément généralisables. Les humains généralisent avec une aisance déconcertante dans le domaine de la reconnaissance des visages, les enfants comprennent le sens de milliers de mots qu’ils n’ont jamais rencontrés, etc.

      Généralisation naturelle dans l'apprentissage primaire

    4. Si les outils numériques ont eu, au début des années 1990, un effet positif sur la motivation des élèves, cet effet est aujourd’hui relativement modeste et dépendant de la tâche

      Efficacité variable du numérique pour la motivation

    5. En revanche, avec les apprentissages scolaires, à cause du déficit d’utilité perçue évoqué plus haut, mais aussi à cause de l’exigence attentionnelle des apprentissages et des tâches, la motivation joue un rôle essentiel.

      Importance de la motivation dans l'apprentissage scolaire

    6. Les apprentissages adaptatifs ne sont pas concernés par la motivation : il n’est pas besoin d’être motivé pour apprendre sa langue maternelle ou la reconnaissance des visages.

      Cela montre la simplicité de l'apprentissage adaptatif

    7. Avec le numérique, on peut mettre en œuvre des situations fondées sur le jeu, l’exploration et les interactions entre pairs (et tant qu’on y est faire passer ça pour de l’innovation pédagogique) et on peut aussi apporter un guidage adapté mais frustre aux élèves, notamment en régulant fréquemment les apprentissages (exercices ou questions simples, avec retour immédiat fourni par la machine).

      Limites du numérique

    8. Les pédagogies nouvelles, depuis plusieurs siècles, tentent de réutiliser en classe les moteurs des apprentissages adaptatifs : le jeu, l’exploration et les interactions entre pairs.

      Tension pédagogique : les pédagogies modernes essaient d'ajouter des éléments de l'apprentissage adaptatif, comme le jeu et les interactions, mais cela peut compliquer l'apprentissage des élèves

    9. Les apprentissages scolaires sont très différents. Ils sont beaucoup plus lents, et fondés sur la mise en œuvre de tâches comme la résolution de problèmes, la lecture de textes, la recherche documentaire, etc

      critique de l'apprentissage scolaire : l'apprentissage adaptatif est rapide et naturel, tandis que l'apprentissage scolaire est plus lent et structuré

    10. Quand on regarde ce que font les mammifères sociaux au cours de leur enfance, on constate qu’ils jouent, ils explorent leur environnement et interagissent entre pairs. Ces trois activités sont assez systématiquement présentes et cette omniprésence a conduit les chercheurs du domaine à émettre l’hypothèse d’une utilité de ces activités : elles permettraient d’apprendre, elles seraient les moteurs des apprentissages adaptatifs

      Argument évolutionniste : Ce passage montre que les comportements des mammifères sociaux sont importants pour l'apprentissage adaptatif L'apprentissage naturel est lié à des activités plaisantes contrairement aux tâches scolaires

    11. Avec le numérique, les processus d’apprentissage sont nécessairement explicites, conscients, ils nécessitent des efforts et sont relativement lents.

      Argument épistémologique

    12. Cela fonctionne aussi avec les apprentissages adaptatifs de connaissances secondaires. Par exemple, quand on joue tous les jours à un jeu vidéo ou quand on utilise quotidiennement Google, on apprend.

      apprentissage avec de la répétition

    13. Les apprentissages adaptatifs de connaissances primaires résident dans la détection non-volontaire et automatique de régularités dans l’environnement.

      argument épistémologique

    14. Avec les supports numériques, beaucoup d’erreurs de la part des concepteurs viennent pénaliser les apprentissages. On a souvent voulu concevoir des supports plus riches, avec plus d’informations, plus d’animations, plus d’images et de sons, plus de réalisme.

      critique des supports numériques qui ont trop d'infos et d'animations, donc ça rend l'apprentissage plus difficile et ça demande plus d'efforts mentaux, ce qui diminue son efficacité

    15. Les apprentissages scolaires mobilisant une tâche que l’on peut distinguer de la connaissance à apprendre, l’effort attentionnel des élèves est double : ils doivent fournir des efforts attentionnels pour réaliser la tâche et pour apprendre.

      problématique cognitive : dans les apprentissages scolaires l'élève doit se concentrer sur la tâche et la connaissance à apprendre, c'est donc plus difficile que l'apprentissage adaptatif

    16. Une caractéristique essentielle des apprentissages adaptatifs de connaissances primaires réside dans le fait que ceux-ci sont implicites : on apprend sans savoir ce que l’on apprend, ni même que l’on est en train d’apprendre, ce qui n’implique pas d’effort attentionnel.

      argument épistémologique: ça montre que les apprentissages de base se font naturellement sans effort conscient, c'est moins fatigants mentalement

    17. Lorsqu’ils écoutent avec un lecteur MP3, les élèves les plus avancés en allemand, disposant de plus de ressources cognitives pour réaliser la tâche, bénéficient de l’autonomie permise par l’outil.

      autonomie et compétences : ça montre que les élèves plus avancés profitent de l'autonomie que permet le numérique, ce qui est un avantage pour ceux qui peuvent gérer des tâches complexes

    18. Lorsque l’écoute est imposée par le professeur, l’exigence de la tâche diminue, les élèves les plus faibles apprennent mieux.

      bénéfice de l’enseignant : ça montre que l'enseignant en simplifiant la tâche aide les élèves en difficulté à mieux apprendre

    19. L’utilisation de lecteurs MP3 entraîne une activité qui se révèle trop coûteuse pour ces élèves : ils doivent réaliser la tâche (décider où s’arrêter, où revenir en arrière, combien de fois réécouter tel passage) et apprendre (comprendre le contenu oral).

      problématique cognitive : Ce passage montre que certaines tâches comme utiliser un MP3 pour réécouter des passages, peuvent être trop difficiles pour certains élèves, ce qui rend leur apprentissage moins efficace.

    20. Avec le numérique, la différence entre apprentissages adaptatifs et scolaires est toute aussi importante

      limites du numérique : Ce passage montre que la différence entre apprentissages adaptatifs et scolaires existe aussi avec le numérique. Le numérique peut aider ou compliquer l'apprentissage, selon comment il est utilisé

    21. Par exemple, Roussel et al. (2008) montrent que le fait d’avoir grandi avec un lecteur MP3 sur les oreilles pour écouter de la musique permet d’apprendre… à écouter de la musique avec un lecteur MP3. Rien de plus !

      exemple concret : l’auteur montre ici qu’utiliser un outil numérique en dehors de l’école ne garantit pas un apprentissage profond car ce n’est pas un apprentissage organisé

    22. plusieurs centaines de publications sont consacrées chaque année à l’identification des moyens de réduire les coûts cognitifs inutiles lors de la mise en œuvre des tâches scolaires.

      problématique cognitive: cela montre que beaucoup de recherches visent à réduire les efforts mentaux inutiles dans les tâches scolaires, pour rendre l'enseignement et l'apprentissage plus efficaces

    23. Il est donc important que les élèves maîtrisent la mise en œuvre de la tâche pour que celle-ci, qui n’est qu’un moyen, ne représente pas un obstacle. Car la tâche représente un coût cognitif, qui, s’il est trop élevé, vient compromettre la réussite de l’apprentissage

      problématique cognitive : Il souligne un point important des apprentissages scolaires : lorsque la tâche est trop difficile mentalement cela peut gêner l'apprentissage. L'argument insiste sur la nécessité de réduire ces obstacles pour rendre l'apprentissage plus efficace

    24. Avec les apprentissages scolaires, dans l’immense majorité des cas, les apprentissages scolaires sont fondés sur la distinction entre ce que l’on fait (la tâche) et pourquoi on le fait (l’apprentissage d’une connaissance)

      critique épistémologique : cela met en lumière la différence entre apprentissage adaptatif et scolaire

    25. Lors d’un apprentissage adaptatif, les individus font ce qu’ils apprennent et apprennent ce qu’ils font. C’est en parlant et en écoutant que les enfants apprennent à parler, en jouant à un jeu vidéo qu’on devient performant avec ce jeu vidéo, etc.

      argument épistémologique : ça résume l’idée de l’apprentissage adaptatif, où l’apprentissage se fait par l’action directe, ce qui le rend plus instinctif Il n'est pas seulement cognitif il est aussi pratique et lié aux expériences quotidiennes

    26. Par exemple, la plupart des enfants n’utilisent pas quotidiennement de logiciel de traitement de texte, donc ils ne savent pas les utiliser tant qu’on ne leur a pas enseigné ou tant qu’ils n’en ont pas besoin quotidiennement.

      Limite du numérique : Cela montre que les outils numériques comme le traitement de texte ne sont pas acquis automatiquement par les enfants, et ils nécessitent une méthode d'apprentissage

    27. Avec le numérique : si un outil numérique fait partie du quotidien d’un enfant, s’il l’utilise tous les jours, alors il apprendra à utiliser cet outil sans même avoir besoin d’un enseignant

      limite du numérique : cela montre que si l’enfant utilise un outil numérique quotidiennement il l'apprend de manière autonome, mais que l’enseignement est nécessaire pour l’utilisation d’outils qu’il ne rencontre pas dans son quotidien mise en lumière d'une limite du numérique : les outils numériques doivent être enseignés dans un cadre scolaire.

    28. Certaines sociétés humaines, au cours de leur histoire, créent des écoles pour pallier les limites des apprentissages adaptatifs.

      critique sociale : l'auteur développe l'idée que l'école en tant que structure sociale, existe pour dépasser les limites des apprentissages informels et adaptatifs. Cela renforce l'argument sur le rôle fondamental de l'école dans l'accès aux connaissances qui ne font pas partie du quotidien

    29. La grande limite de ces apprentissages adaptatifs réside dans le fait qu’ils ne sont qu’adaptatifs. Il est difficile pour un individu d’apprendre de cette manière autre chose que ce qui fait partie de son environnement quotidien.

      limite de l’apprentissage adaptatif : Ce passage souligne que l'apprentissage adaptatif a des limites et qu'il est difficile de s’adapter à des connaissances qui ne font pas partie de notre environnement quotidien. Ça introduit un obstacle important pour l’intégration du numérique dans l’éducation de base

    30. Les êtres humains, comme les autres animaux, ont une capacité d’apprentissage qui correspond à leur capacité à s’adapter à leur environnement et aux changements de cet environnement

      argument épistémologique : Ce passage introduit l'idée de l'adaptation des apprentissages à l'environnement, une notion clé pour comprendre la distinction entre les apprentissages scolaires et non scolaires

    31. Les humains apprennent différemment selon que les connaissances apprises sont primaires, c’est-à-dire présentes chez Homo Sapiens depuis les débuts de cette espèce (comme la reconnaissance des visages, la parole) ou au contraire secondaires, c’est-à-dire apparues récemment chez Homo Sapiens (comme les mathématiques ou la langue écrite)

      argument épistémologique : Ce passage introduit la différence entre les types de connaissances et explique la nature des apprentissages. C’est important pour comprendre pourquoi certains apprentissages scolaires, comme ceux qui sont enseignés par l’école, sont difficiles à réaliser en dehors du cadre scolaire

    32. L’objectif de cet article est de comprendre ce décalage en centrant le propos sur les apprentissages : pourquoi les élèves apprennent-ils si peu avec le numérique à l’école ? Qu’est-ce que les enfants apprennent au cours de leurs usages quotidiens, non-scolaires, du numérique ? Pour répondre à ces questions, sept différences entre les apprentissages scolaires et non-scolaires liés au numérique sont étudiées :

      plan de l’article : Ce passage annonce clairement l’argumentation de l’article qui va se construire autour de sept différences principales. C'est un bon repère pour suivre la structure du texte et voir comment l'auteur va développer chaque point

    33. Le numérique a bouleversé nos vies en l’espace d’une quarantaine d’années. Il a modifié notre travail, nos loisirs, la façon dont nous communiquons, dont nous lisons, etc. Pour autant, quand on entre dans une salle de classe, on voit relativement peu d’outils numériques

      problématique - "pourquoi les élèves apprennent-ils si peu avec le numérique à l’école ?" : Cette phrase lance la problématique de l'article et souligne l'écart entre la vie numérique des élèves et leur expérience scolaire ce qui introduit la question centrale de l'article