- Jun 2019
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stylo.ecrituresnumeriques.ca stylo.ecrituresnumeriques.ca
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lecture
après avoir fini la lecture (et l'annotation) j'aurais ajouté à lecture /écriture, parce que ce sont les deux à la fois et surtout en avançant tu passe de plus en plus côté écriture, réécriture, commentaire, etc. et la réception propre devient accessoire
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Twittérature
le lien au parcours de lecture devient plus tenu ici, ou au moins il doit être rappelé
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Nous produisons du contenu en ligne qu’il soit simple commentaire ou fanfiction construite.
et nous travaillons pour des développeurs d'algorithmes et applications cf enquête du CNRS - voici le résumé
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efficacité
et des affreux raccourcis
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dérive
lui, il ne dérive pas, au début il s'était même imposé une chronique par jour, c'est il y a quelques mois peut-être qu'il a décidé d'espacer plus (fatigue, burn-out, etc.) - attends, on peut éventuellement parler de dérive quand il y a eu une polémique violente autour de sa position pour la mise en scène des Danaïdes à la Sorbonne - là il ne gérait plus sa page, libre à la confrontation entre les pour et les contre
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?
oubli ? c'est Partages 1 et 2
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conservons
conservons et déléguons à la fois - par exemple au marque page, à l'annotation qui nous rappelle une idée avant de reprendre, etc.
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Cette exploration place le·a lecteur·ice dans une dynamique de dérive
encore faut-il qu'ielle l'adopte - comme ielle fait ce qui lui plait
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risque
c'est une pirouette, on met le risque de côté, sauvé par les bonnes intentions - c'est une réponse faible à ce que - je le suppose - S a amené avec la sensure de Noël - je pense qu'au fond il s'agit d'un problème entre production et réception - on peut toujours compter sur l'intelligence de chacun, la question de savoir comment l'encourager (faire face à tout ce qui décourage) - et moi je peux pas m'empêcher de penser que tous nos théoriciens de la réception abandonnent rapidement le bout de la chaine (ou le rendent tellement abstrait et général) pour s'occuper des possibilités de la production (bien plus simple)
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surproduction littéraire
je pense qu'il ne faut pas oublier la surproduction du web qui va dans la même direction d'un cumul sans fin
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Visualisation de l’entité 7.68
et puis une fonction - loupe ou agrandissement des images insérées pour les biglos et les aveugles !!!
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En sociologie on considère deux types principaux de liens sociaux au sein d’un groupe humain : les liens forts et les liens faibles.
j'aurais mis cela beaucoup plus tôt avant de parler de lien fort plus haut
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Les Sciences Humaines se font fortes de reposer sur le dialogue pour se construire, il est temps que ce dernier sorte des colloques et journées d’études ou tou•te•s n’ont pas accès. Sans même aller jusqu’au grand public (c’est une question que je n’aurai pas le temps de traiter ici), les premier•e•s concerné•e•s, chercheur•se•s, doctorant•e•s, étudiant•e•s à la maîtrise, n’ont pas toujours facilement accès à ces ressources. Que ce soit par manque de budget des universités les accueillant, ne pouvant envoyer tout le monde à tous les colloques et journées d’études qui les intéressent, ou par méconnaissance de leur existence.
entièrement d'accord, même si je ne vois pas tout de suiut comment ce Stylo peut évoluer, où se trouvent ses limites de programmation, dans ce que je vois, il reprend le formatage classique de la recherche - texte, image, graphique, notes, bibliographie + la fonction discussion - commentaire et fil de discussion possible - peut-on par exemple exporter les commentaires ? Je vois qu'on peut inviter (partager la page) - est-ce que quelqu'un peut tomber dessus s'y mêler, être inclu ou exclu ?
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Exemple d’échanges possible
on en le choix entre commentaire privé (à soi-même) et public, public est-ce que cela veut dire que chaque inscrit dans stylo peut intervenir ? Ou comment cela se règle ?
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une ouverture dans l’espace et le temps »
un peu vague encore, mais je continue
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Faciliter l’intégration de contenu par le biais d’un CMS en dorsale.
justement je me demandais comment ajouter du contenu à une appli, il faut la mettre à jour ?
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nous
à moins qu'il s'agisse d'un feuilleton où il faut patienter jusqu'à l'épisode suivant
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J’avais dans un premier temps lu l’ouvrage imprimé
cette remarque a été pour moi l'hyperlien pour le lever et aller chercher Poreuse, version papier dans ma bibliothèque, et puis j'ai relu la préface de Marie Cosnay : "Dans nos petites sociétés on a souvent la tête qui tourne."
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doute
c'est ce qu'a du constater Cortazar, personne n'a vraiment lu sa marelle dans le désordre, ou il l'aurait fait sans que l'auteur donne le conseil, on est des sauvages
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temps
plus longtemps
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Cependant l’outil qu’est internet peut permettre de poursuivre son parcours sur une simple évocation (sans lien) et d’aller se renseigner dessus.
comme déjà écrit - une différence de proximité et de temporalité, à part cela ça fait partie du processus de la lecture depuis que l'écrit existe
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mains
on passe de la mains aux doigts
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ordre défini, fixé,
et la programmation ? comme le dit un auteur hypertextuel : intercativity is overused
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Nous avons l’habitude de lire du début à la fin (de manière linéaire) des récits ou des ensembles de textes. Cette habitude valable pour des livres papier se poursuit dans la plupart des eBooks (ePub) diffusés.
je ne suis pas certain de cela, comme déjà écrit plus haut, mais même si cette lecture linéaire n'existe pas à proprement parler, elle aussi est redéfini par les sauts dans le temps et l'espace
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du
cf. ce que je viens d'écrire ci-dessus
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Ces liens sont dits « forts ».
Je me demande si la grande différence n'est pas la distance (très courte) entre l'hyperlien et l'élément de renvoi - mettons je suis devant un texte, il y a un élément que je dois vérifier ailleurs, un nom propre, un mot, une notion - cet incident me fait délaisser le texte initial, me lever, chercher une autre source de vérification, ça peut être loin - ma biblothèque, un carnet, une bibliothèque publique, une personne à contacter etc. mais tout ce parcours est similaire à ce que peut déclencher un hyperlien, c'est uniquement le rapport à l'espace et le temps qui change, l'hyoertexte est fléché en plus
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lecture linéaire
je suis depuis toujours d'avis que cette lecture linéaire est un mythe, inventé pour opposer lecture sur écran et lecture sur papier - voir par exemple Derrida, Le papier ou moi, vous savez…
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favorisée
favorisée, je ne sais pas, mais modifiée, amplifée certainement - surtout avec un appui sur Barthes qui écrit avant l'heure du web
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entre auteur•ice et lecteur•ice
à moins de lui parler/ecrire, etc. directement, le lien de lecture ne se fait par entre auteur·ice et lecteur·ice mais entre l'écrit et le mode de lecture
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Marcello Vitali-Rosati
est-ce que tu as suivi aussi le développement de #PublishingSphere - Berlin 2017 et récemment la suite à Montréal ?
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Elles peuvent se faire diffuseurs de savoirs, s’ouvrant ainsi à tou•te•s.
le problème à mon avis que la force de l'université peut être dans l'échange, diffuseurs vers un public passif ne les distinguera aucunement des autres diffuseurs qui sont surtout beaucoup plus à l'aise dans l'exploitation du public passif et s'en satisfont sans problème
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circulation libre des informations
aussi en théorie, beacoup moins en pratique, comme les "écosystèmes" se replient sur eux-même et la stratégie commerciale étant d'enfermer, garder les abonnés, de ne pas les laisser s'échapper ailleurs dans d'autres systèmes fermés
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Le lien électronique
qui est virtuellement dans chaque mot, phrase, que nous lisons sur écran - comme la fonction "rechercher" a depuis pas mal de temps quitté l'espace du texte proprement dit
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des passionné•e•s et/ou par des universitaires
je ne comprends pas la pertinence des deux catégories, soit qu'il faut être passionné, par le et/ou tu introduis à la fois la combinaison et l'exclusion, et si d'être passionné est un investissement sentimental, être universitaire est d'abord un statut avant d'être rempli de sens
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L’enjeu contemporain me semble être de penser le texte comme une mise en relation, une interaction entre textes, commentaires et traditions, mais aussi avec d’autres objets culturels qui peuvent lui être liés.
ça me semble primordial
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que nous pouvons modeler quasi à l’infini
en théorie : car en pratique les ressources "en perpétuelle évolution" et surtout augmentation exponentielle vont finir par nous faire rentrer dans le mur de la finitude, il n'y aura ni les serveurs capables de stocker comme il n'y aura plus de papier pour imprimer (en tout cas pas à l'échelle dans ce qu'on pourrait prolonger à partir de comportement et attitudes actuelles
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