- Mar 2020
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Trouvez du soutien dans cette démarche qui va à contre-courant de la tendance générale de surconsommation et de surconnection. Non, vous n’êtes pas seul. Oui, il existe d’autres manières de vivre. Vous pouvez prendre part à des activités de groupe vous permettant de vous recentrer sur vos sens et votre ressenti. Par exemple, apprendre à jouer d’un instrument de musique, à sculpter le bois, à jardiner – même si vous habitez en ville, etc.
L’enchaînement des idées a un effet persuasif au service de l'auteure. Fluide, "non, vous n'êtes pas seul. Oui, il existe d'autres manière de vivre." encourage le lecteur tout en défendant le point de vue de l'auteure.
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Ce scénario vous paraît familier ? Selon une étude menée par Microsoft, la capacité de concentration de l’homme est passée de 12 à 8 secondes en dix ans. La cause ? L’omniprésence des écrans. Une étude de l’université de Californie à Irvine montre que travailler en étant constamment interrompu augmente le niveau de stress, car on a tendance à travailler plus vite pour rattraper le temps perdu. Aujourd’hui, une personne sur quatre vérifie son smartphone toutes les 30 minutes et 25 % des Millennials le consultent plus de cent fois par jour.
L'auteure cite des études scientifiques avec les liens de celle-ci pour argumenter sa première partie. Elle enchaîne et présente les différents études sans réellement les mettre en lien entre elles. On peut considérer qu'il s'agit d'un raisonnement épistémique de type inductif où les faits vérifiés (de l'étude) permettent d'élaborer une conclusion générale émise juste après. On peut néanmoins mettre en avant le raccourci que fait l'auteure en citant ces différentes études une par une pour finir par poser sa conclusion, regroupant les conclusions des différentes études sans lien apparent entre elles.
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