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  1. Last 7 days
    1. Un projet éditorial conçu pour le web est un projet ouvert, nécessitant un travail d’éditorialisation constant. Un site « clos », aux contenus figés, est en effet destiné à plonger dans l’oubli : celui des internautes comme celui des robots d’indexation des moteurs de recherche, qui ne viendront plus le visiter. Les objets éditoriaux se transforment, les habitudes de lecture et de consultation aussi ; il en est de même, par conséquent, pour le métier de l’éditeur.

      Je suis assez d’accord avec ce passage. Publier sur un site n’est pas suffisant. Il faut suivre et enrichir constamment le contenu afin qu’il reste visible et interessant

    1. l’ordinateur, grâce à la nature même du numérique, peut s’avérer une aide très puissante

      Je pense que de nos jours et surtout avec l’avancée de l’IA et des personnes qui en font l’éloge, il faut insister sur le fait qu’un ordinateur, une machine, une calculatrice, ne remplacera jamais l’interprétation humaine.

    1. En ce sens, il n’en tient qu’aux éditeurs de profiter de l’occasion que l’ePub leur offre de rendre leurs contenus beaucoup plus repérables et récupérables en s’assurant d’indiquer clairement dans l’élément « metadata » toutes les informations utiles.

      C’est super interessant. Finalement, l’ePub ne sert pas seulement à présenter un livre, il sert aussi à le rendre plus visible et plus accessible…

    2. Parmi les formats existants qui permettent de réaliser un livrel, le plus populaire est actuellement l’ePub, format de fichiers non propriétaire maintenu par l’International Digital Publishing Forum (IDPF)L’IDPF (International Digital Publishing Forum) est un consortium international de normalisation dédié au développement et à la promotion de l’édition en ligne. Il est à l’origine du format ePub.↩︎ qui a pour mandat d’en faire le standard pour l’édition de livre numérique. L’ePub est une norme ouverte qui permet de créer des livrels inspirés du web ou de livres papier, ou encore de faire des versions enrichies de livres papier pour les liseuses électroniques et pour le web.

      Si je comprends bien le livrel permet de lire de plusieurs autres façons et c’est incroyable ne trouve.

  2. www.parcoursnumeriques-pum.ca www.parcoursnumeriques-pum.ca
    1. Il peut même se « bloquer », voire bloquer l’ordinateur.

      Cela nous fait réaliser que tout repose sur des outils capables de lire ces formats finalement et que dès qu’il y a le moindre soucis, le moindre décalage, les problèmes commencent. C’est super interessant

    1. Le livre classique n’est plus la seule forme de transmission du savoir, ni peut-être la principale

      Le numérique change le modèle économique de la culture et de l’édition. Selon moi, c’est une bonne chose car les éditeurs n’ont plus le contrôle absolu sur la diffusion. Les auteurs peuvent diffuser leur(s) oeuvre(s) par d’autres moyens.

      Ainsi, les livres peuvent avoir une autre forme que celle imprimée mais aussi une forme numérique

    1. confidentia

      Il faut vraiment réfléchir à ce qui peut être partagé et ce qui doit être gardé privé. C’est un enjeu difficile selon moi. Effectivement, il faut protéger les données tout en donnant accès à des informations utiles.

    1. notre façon de penser, notre perception du temps, de l’ennui et ainsi de suite.

      Je suis d’accord avec ce passage. Le numérique influence réellement notre attention, notre réflexion et parfois même la manière dont on vit une expérience.

    2. C’est le cas de « nouvelles technologies de l’information et de la communication » ou de « nouveaux médias » : l’adjectif « nouveau » commence à être abandonné, car ces technologies ne sont plus si nouvelles que cela.

      Je suis assez d’accord avec ce passage. Ces appellations ne correspondent plus à notre temps, car ces outils sont très integrés dans notre quotidien

    1. Il s’agit là du tout premier réseau social.

      Une nouvelle fois, nous pouvons nous rendre compte que les premiers réseaux sociaux sont nés d’un effort progressif et collectif. Je trouve très interessant de voir à quel point il y avait déjà cet esprit de partage et de communauté avant que les réseaux sociaux ne deviennent un phénomène mondial

    2. C’est ce réseau qui, plus tard, en 1968, prendra le nom d’ARPAnetLancé en 1969 et développé par l’ARPA (Advanced Research Projects Agency), ARPAnet est le premier réseau à transfert de paquets, qui deviendra la base du transfert de données sur Internet.↩︎.

      Je trouve que ce passage démontre qu’internet est né d’un effort progressif et collectif. Honnêtement, c’est très interessant.

    1. il participe, grâce à la diffusion du livre, à la promotion de valeurs littéraires

      Il est vrai que publier un livre ne revient pas seulement à fabriquer un objet. Ça va bien plus loin que ça. L’éditeur s’engage dans l’espace public et il prend position en choisissant ce qu’il met en avant. Ça lui donne un rôle culturel important, chose que je n’avais pas mesurée auparavant.

    2. l’histoire de l’édition est moins celle de son évolution que des nombreuses « révolutions » – politiques et techniques – qui en ont profondément marqué le développement depuis ses origines.

      Je comprends lors de ce passage que l’édition a toujours été marquée par de grands bouleversements. Cela me fait réaliser que la situation actuelle avec le numérique n’est pas une exception, mais une continuité. L’éditeur a toujours dû s’adapter et c’est encore le cas aujourd’hui.

    3. Il est le pont entre l’auteur et le lecteur, celui qui rend un contenu lisible.

      Je suis totalement d’accord. Le rôle de l’éditeur va beaucoup bien plus loin que la simple publication. Selon moi, il est effectivement un pont entre l’auteur et le lexteur. Il donne forme au texte pour qu’il soit clair et agréable à lire. Sans lui, sans son travail, un manuscrit resterait sûrement un brouillon…

  3. Oct 2025
  4. www.parcoursnumeriques-pum.ca www.parcoursnumeriques-pum.ca
    1. Le numérique a engendré une transformation profonde des modèles de production et de circulation des contenus que nous connaissons depuis le XVIIIe siècle.

      Selon moi, cette citation met bien en avance ce que l’on a vu en cours : le numérique a permis à ce que l’on ne passe plus forcément toujours par des éditeurs. Désormais, grâce à l’avancée d’internet et du numérique, n’importe qui est capable de poster librement.