L'auteur adopte un raisonnement épistémique: chaque argument est confronté à la réalité c'est-à-dire aux résultats d'une étude menée sur des apprenants mis en situation. Les conclusions sont faites à partir des résultats des études, par un raisonnement inductif.

Le titre amène le thème : il existe un effet bénéfique des vidéos sur la mémoire à condition que l'usage ne soit pas passif. L'usager doit pouvoir garder la main sur la vidéo et la visionner à son rythme.

Dans le titre, c'est: perdre la mémoire. Dans le chapeau, l'auteur utilise cette fois le terme affaiblir. C'est un astucieux procédé qui attire le lecteur avec un titre alarmant puis qui relativise dans le chapeau. La relation causale entre le numérique et la mémoire est donc reprise ici mais de façon plus modérée.

Le titre nous présente la thématique de façon alarmiste. Il évoque la possible existence d'une relation causale entre l'usage du numérique et la perte de la mémoire.

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Il n'y a que 4 types de cartes. Ne faudrait-il pas supprimer une fois .2 ?

Sous-tend un lien direct entre utilisation du numérique et résultats à l'étude (réussite pour certains ou échec pour d'autres). D'autres facteurs peuvent entrer en compte.

Finalement la solution: budget,pratiques pédagogiques nouvelles et de qualité. L'auteur fait l'analogie avec les autres pays qui ont de meilleurs résultats et plus d'expérience.

Sous-tend un lien (de causalité): investissement dans le numérique et résultats. Ici le numérique aurait un effet négatif.

Thème de l'article: on attendait beaucoup de l'arrivée du numérique en classe, mais l'auteur fait part de sa déception.

L'auteur fonde son argumentation sur les résultats de cette étude.