Note de Mme Leroy : 1- Dans la pensée Kleinienne, le fantasme est présent dès les premier moment de la vie et émane de sensations corporelle 2- Les fantasme est omniprésent et sous tend toute activité mentale, il représente la réalité psychique du sujet. On peut considérer le fantasme comme une défense contre les privation exigé de la réalité extérieur. Mais aussi parfois comme une défense contre la réalité interne (exemple des fantasme maniaque (je n'ai pas besoin de cette personne, ça ne m'affecte pas qu'elle soit morte etc...) : défense contre le sentiment dépressif)

3- Il est une attribution du moi. Le fantasme est une fonction du moi (égo, entre le ça et le surmoi)

Voir l'étude de cas de Freud de Richard III

Voir didier Anzieux, le moi peau + Enveloppe psychique de "Bick"

à lire à la maison

Processus secondaire intervient finalement très tôt dans la vie du bébé à côté des processus primaire

Argument épistémique comparatif Le propre du numérique est de mettre de la distance entre ce qu'on vit derrière l'écran et la réalité. Ainsi, même en essayant de paramétrer nos désirs, nous serons toujours confrontés à la réalité de la "vrai vie" et la personne choisie pourrait ne plus correspondre aux critères que l'on avait établis.

Argument rhétorique

Question argumentative Si on suit le raisonnement au-dessus c'est donc le retour à la raison qui provoquerait ce narcissisme dans la quête de l'amour.

Argument épistémique abductif: S'appuie sur l'idée de Platon selon laquelle désirer nous fait souffrir car assouvir tous nos désirs est impossible. Avec le numérique les désirs deviendraient accessible. Pas d'accord : Ce n'est pas parce que l'on peut y accéder qu'on y accède réellement.

Conclusion

Pour aller plus loin article sur psychologie.com, "site de rencontre : "Le fantasme de l'amour idéal" https://www.psychologies.com/Couple/Seduction/L-amour-sur-Internet/Articles-et-dossiers/Sites-de-rencontres-le-fantasme-de-l-amour-ideal#annotations:ZYOLwFM2EeqdfP8DOYXojQ

Pas d'accord. Sous-entendu que les relations qui s'y construisent seraient moins passionnées ?

L'ère digitale a bouleversé certes notre conquête et notre rapport à l'amour mais de la même façon que les relations qui se nouent dans le numérique, la peine et la souffrance que ces relations provoquent, ainsi que la solitude, existent toujours. Voir article dans l'express sur l'augmentation des célibataires en 40 ans.

Réducteur : l'amour à l'ère du digitale se limite donc aux sites de rencontre ? Qu'en est-il des relations exclusivement virtuelles, des réseaux sociaux comme Facebook dont la finalité n'est pas une rencontre amoureuse mais qui peut aboutir à cela. De plus il serait intéressant d'analyser comment nos nouveaux modes de communication numériques (Sms, chats etc...) influencent également notre rapport à l'amour.

Thème du questionnement. Comment le numérique ou plutôt les sites de rencontre ont bouleversé notre rapport aux relations amoureuses et intimes.