"J’ai du sang sur les mains", dit-il, "et je veux savoir pourquoi c’est arrivé."
A travers les mots du soldat, l'auteur argumente avec le registre rhétorique du pathos. De mon point de vue c'est maladroit car bien que le sujet soit grave, la formulation est trop dramatique pour être considérée sérieusement. Cependant, elle est intéressante sachant qu'il s'agit ici de soldats qui n'ont jamais porté une arme et "seulement" vu le sang sur écran.