oui, certes, mais c'est un peu l'oeuf et la poule...

oui et c'est une limite...

ici, on touche à un problème fort. Je ne pense vraiment pas que la piste soit un repli informatique sur la ligne de code alors que l'objectif est éditorial et dans la constitution de données structurées et interrogeables. Je suis plutôt pour une identification systémique des briques qui agissent et sur lesquelles on en train d'agir. Je pense aussi que l'interface donner une illusion de compétences d'un côté, et de l'autre éloigne et éloignera 95 % des collègues qui ont autre chose à faire que d'ouvrir une ligne de commande..

ici aussi, il faudra se situer. L'objectif étant scientifique, il ne faut pas interpeller le lecteur

en fait, on obtient au final quelque chose de plus complexe, qui présente des valeurs ajoutées au tout qu'on voulait représenter... On a pensé réduire, on a surtout augmenté, mais c'est un point de vue théorique

est-ce similaire ?

on comprend mal l'injonction du début. Pour quoi ce besoin ? Il faut préciser de quel nous on parle

il faut réintroduire les métadonnées quelque part

objets dont

est-ce le vocabulaire de la programmation ou de celui des bases de données notamment relationnelles?

créé

historiquement, on est dans la période du formulaire...

sur le plan historique, il reste pas mal de boulot à faire, car d'autres chercheurs notamment au 20 ème ont développé leur propre logique. On placera une référence un peu globale ici

oui... et non... Otlet a développé un système de fiches bibliographiques d'une part certes, mais il revendique le principe monographique, une idée, une fiche qui est une logique qui vient des allemands (Die Brücke)... Arthur a beaucoup travaillé sur ce point

phrase à éviter, et qui ne veut rien dire. "Il est possible aussi de faire référence à...

trop rapide historiquement et cela donne l'impression qu'Internet est une création militaire, ce qui est faux.

ça va trop vite, beaucoup trop vite. Pour dire ça, il faut une citation. Chez Otlet, c'est facile, il y en a pas mal, voir mon support sur le carnet hypothèses. Pour Bush, c'est plus compliqué... même si on peut envisager une lignée

c'est surtout le projet de Goldberg...

est-ce que c'est vraiment concret?

conçoit... mais en fait, il ne conçoit rien du tout. Cela ne reste que théorique alors que la machine de Goldberg existe...

ça va trop vite, le ainsi donne l'impression d'une démonstration évidente... cela me paraît discutable

idem, ici... il faut des sources. Enquire permettait de générér des fiches reliées comme Hypercard. Si on trace une filiation, il faut la prouver soit techniquement, soit conceptuellement. Mais il faut des références absolument. Ensuite, wikimédia est l'institution de Wikipédia qui repose sur le dispositif mediawiki

un peu fort, sauf ici à donner une référence qui le dirait.

faut vraiment citer ici les passages et les références. Pour un lecteur lambda, il ne sait pas de quoi il s'agit

la comparaison me paraît un peu forte, sauf à donner une citation qui permettrait de montrer un peu la similitude qui detoute façon n'est pas totale. Otlet imagine une encyclopédie écrite par des spécialistes

ici, historiquement, impossible de ne pas parler du vrai pionnier et qui produit vraiment un appareillage technique : Emanuel Goldberg https://www.reseau-canope.fr/savoirscdi/societe-de-linformation/le-monde-du-livre-et-des-medias/les-penseurs-de-linformation-de-la-documentation-et-de-la-pedagogie/emanuel-goldberg-le-pionnier-oublie-des-systemes-dinformation.html

digital versus numérique

Quelques années plus tard, je concède que j'aurais dû faire le choix de digital. Sur ces aspects, voir ce texte : 10 raisons de préférer digital

Début de l'expérience

Bienvenue sur la partie commentaires et annotations de l'ouvrage. N'hésitez pas à me solliciter et à poser des questions. Rien que la première phrase peut poser déjà des questions. En premier lieu, faut-il parler de numérique ou de digital ?

*autorité versus popularité" A mon sens, ici il faut rappeler aussi les changements progressif de régime documentaire avec un web notamment depuis le passage au web 2.0 ou web social qui repose surtout sur la popularité plus que l'autorité, et notamment l'autorité scientifique. Sur ce point, je crois que Pierre avait entrevu de façon trop positive le fait qu'on allait avoir des chercheurs un peu star dans World Philosophy... or, le starification place plutôt des vulgarisateurs dans le meilleur des cas, et pour beaucoup pas mal d'escrocs ou d'usurpateurs, ou tout au moins des personnes qui se positionnent de manière peu complexe, type positif versus négatif. Comment dépasser l'opposition simpliste? Parmi les pistes, le retour à la critique construite.

Sur Erasme A ce sujet, Erasme fut parfois critique avec l'imprimé ou plutôt les imprimeurs qu'il accusait d'imprimer sans discernement. Du coup, il déplorait déjà un effet de masse informationnelle problématique. J'en parle un peu dans "les humanités digitales" en reprenant aussi la métaphore d'Erasme mais en disant :"La question des humanités digitales dépasse par conséquent la seule vision informatique adossée aux sciences humaines et sociales. Réduire cette histoire à l’apparition des outils informatiques et à leur utilisation par les chercheurs en sciences humaines et sociales ne permet pas de comprendre les filiations ainsi que les nombreuses tentatives interdisciplinaires et transdisciplinaires qui ont permis d’introduire des méthodes de compréhension et d’analyse nouvelles. Réduire les humanités digitales à l’introduction de l’informatique équivaudrait à réduire les humanités elle mouvement humaniste à l’emploi du latin comme langage commun à l’époque d’Érasme (1466-1536)." Du coup, parfois, Erasme fut plus un humaniste "dé-primé" d'ailleurs...