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www.arthurperret.fr www.arthurperret.fr
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it has no ability to design such a complex exercise so that you may learn from it
Il n'a aucune idée de ce que pensent les "grands penseurs". Juste une modélisation généraliste du langage tel que représenté par son corpus - où Hegel et une liste de courses ont de fait le même poids
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superior understanding of the topic a
Pas sûr... Socrate dit toujours de ne pas savoir. Ici peut-être les LLM peuvent avoir un sens "socratique". Il y a par contre des questions éthiques... on peut apprendre aussi en dialoguant avec son chien alors, et cela implique moins de consommation d,énergie (juste un peu de bouffe pour chiens)!
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So far, summarizing remains something only humans do well. S
Only humans? pas sûr. Mais la question est de savoir si on "apprend" quelque chose en utilisant un LLM pour faire des résumés. Encore une fois, la question est celle du but de la démarche. On n'apprend pas un texte en ne pas le lisant...
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This is even more contentious t
En effet. Ce point est tout simplement faux. C'est un modèle probabiliste qui prévoit de façon stochastique le prochain token sur la base d'un prompt. Il n'a aucune idée de ce qu'est une "source"
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It has no understanding of anything: it only outputs plausible responses.
Aussi: GPT a une fênetre de contexte limitée (2000 token ou 4000 pour GPT 4). Donc il ne peut pas tenir en compte un texte qui dépasse cette longueur. Et puis une autre question: est-ce que la "rapidité" de lecture est une valeur absolue? Cf. Les travaux de Marc Jahjah sur le sujet.
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ChatGPT will make errors, which will take time to track and correct.
Il y a la question des erreurs, en effet (question de performance). Mais il y a aussi une autre question: pourquoi on délègue cette tâche à un algorithme (et pas le bon ici)? Parce qu'on la considère - à tort - "triviale". Il faut se rendre compte que structurer une bibliographie est une tâche intellectuelle!
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- Oct 2024
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carnet.en-cours-de.construction carnet.en-cours-de.construction
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phiques françaises et pas selon les normes anglaises. Pour une structure éditoriale telle qu’une revue, ce paramètre n’est pas opérationnel. De ceci découle une discussion entre les membres de l’équipe de développement de Stylo55 sur la conduite à tenir pour informer les usagers de ce problème et trouver une solution pour le contourner. À ce jour, nous avons décidé de renseigner le problème dans la documentation de Stylo56 pour avertir les utilisateurs. Une modification du format ou du fonctionnement du gestionnaire de références bibliographiques serait beaucoup trop lourde en termes d’effets de bord dans Stylo, c’est pour cela qu’à ce stade nous en sommes restés à cette solution.
ça ça démontre quelque chose: la supériorité de la tradition latex - et bibtex - qui s'est établie dans un temps plus long et dans une logique de développement beaucoup plus intéressante que celle des applications (dont stylo fait partie)
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e choix d’intégrer BibTeX à Stylo provient de la possibilité d’utiliser l’API de Zotero dans l’éditeur de Stylo pour récupérer les informations relatives aux références bibliographiques. C
pas vraiment: bibtex a une tradition longue, très longue. Le choix vient des pratiques existantes - plus de gens utilisent bibtex que zotero, surtout dans le passé. Le début du projet stylo est expliqué ici: https://blog.sens-public.org/marcellovitalirosati/an-editor-for-academic-papers-xml-html-md-tex-pdf-and-if-you-really-need-it-rtf/ Va voir sur achives.org le billet de Nicole Sanders
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À ce propos, aucune saveur spécifique n’
sisi on utilise pandoc flavour
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L’encodage d’un texte en XML illustre bien ce propos. XML, pour eXtensible Markup Language, est à la fois un format de modélisation du texte et un métalangage qui définit ses propres règles. Plus souple que le HTML dont les balises sont figées, XML permet à chaque utilisateur de créer son propre système hiérarchique arborescent par l’élaboration de balises personnalisées. Postérieur d’une décennie au format HTML, la publication des recommandations de la première versio
peut-être plus d'infos sur XML - et quelques références?
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Cette description très générale des moyens de communication à l’œuvre entre les différents modules de Stylo nous montre déjà que l’information saisie dans cet éditeur de texte est formatée par une architecture de données alors que nous n’avons pas encore abordé les conditions de l’écriture avec les trois formats pivots d’un document dans Stylo
cette première partie technique ne me semble pas être à la bonne place. ou alors il faut commenter les détails techniques et en expliquer les implications. À mon avis il faurdait plutôt commencer par une description des enjeux théoriques.
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’une API GraphQL, contrairement à une API REST par exemple, est qu’elle sert l’ensemble des données à une seule adresse (endpoint) alors que plus généralement, les données sont accessibles à des URL très précises, ce qui a pour effet de rendre explicite la structuration des données dans la base
pas bien expliqué
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Nous retrouvons ce fonctionnement dans Stylo avec la partie serveur et la partie client auxquelles vient s’ajouter un troisième bloc pour exporter les données afin de les extraire de cet environnement client - serveur. L’architecture logicielle de Stylo peut donc être scindée en trois parties.
moi, sincèrement, je ne vois pas ce que fait là toute la partie sur web et internet... on s'en fout, elle apporte rien. à mon avis commence directement à parler de stylo
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C’est ainsi que sur le Web, l’action de stockage des données est généralement séparée de l’espace d’affichage dans le navigateur. Les données sont stockées dans une base de données sur un serveur. Il y aurait donc au moins deux modules différents, la partie client – ce qui est affiché dans le navigateur – et la partie serveur où sont organisées les informations.
pas super clair et pas super vrai. Il y a une histoire longue du web. Le premier web est un web des pages, où le serveur ne sert que des documents statiques. Là tu sembles parler d'un web des ressources qui arrive bien après. Et en plus c'est pas une question "d'affichage". Reformule mieux
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Son architecture repose sur deux éléments fondamentaux : un protocole d’adressage des ressources (Internet Protocol, IP) et un protocole de transfert des informations (Transmission Control Protocol, TCP)
tu parles du web????? ça c'est internet... attention à ta phrase
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droit de la page ne doit pas être réduite à une apologie d’un mode sans page. Elle consiste à montrer qu’à vouloir préserver une habitude pour ne pas effrayer l’utilisateur, la page fait écran devant l’ordinateur, et cache la machine qui ne devient plus qu’un sim
skeuomorphisme - étudie ce concept et évoque-le
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tre virtuel et presque sans matérialité
virtuel n'est pas immatériel ;)
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e Cognitive Style of PowerPoint », qui n’est pas sans rappeler la raison computationnelle de Bruno Bachimont (2000).
mmm je ne ferais pas le lien entre les deux. pour bachi la raison computationnelle n'est pas pauvre. Et computationnelle est bcp plus large que pwp... numérique n'est pas synonyme de microsoft
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Ce tour d’horizon des particularités de l’écriture numérique et de l’agencement entre logiciel et matériel dans la machine nous montre que la conception de la machine ne permet pas à un auteur d’y inscrire des signes dans sa mémoire, ni de pouvoir les consulter directement puisqu’elle lui est inaccessible à moins qu’un intermédiaire ne servent d’interface. La médiation entre u
considération générale: il me semble que tu devrais sectionner davantage en mettant des intertitres et soigner encore plus le fil rouge - en rajoutant des paragraphes de passage.
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es d’écriture par une troisième caractéristique. Il s’agit de la première forme d’écriture où le geste d’écrire ne correspond pas à l’action d’inscription du signe sur son support, phénomène que J. Bonaccorsi nomme également déliaiso
pas d'accord du tout. Pourquoi le support serait l'écran? Le support c'est la RAM et puis le disque... bien sûr que c'est une inscription directe sur un support... fin, directe... quand tu écris avec une plume c'est pas direct non plus. Veux-tu écrire avec ton sang sur une pierre? T'as passé trop de temps à l'armée!
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Avant d’entamer une réflexion sur l’écriture numérique
dommage d'avoir commencé et puis de revenir à des questions plus générales
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Par habitude,
comprends pas ce que tu veux dire
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ce qui est indispensable pour notre étude.
mieux expliquer pourquoi
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moderne construit avec les technologies du Web les plus récentes
attention! rhétorique pub!
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Prendre le contrôle de son propre texte, voilà ce que
attention à ne pas avoir une rhétorique publicitaire. cette affirmation n'est pas appuyée par des faits
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a création du document primaire de la chaîne de publication
comprends pas
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- Jul 2024
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stylo.ecrituresnumeriques.ca stylo.ecrituresnumeriques.ca
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Il existe des formes de connaissances qui ne sont pas supportés par le langage naturel (Browning et Lecun 2023) ou représentables (Galloway 2011) dans un régime humain.
il faudrait mieux expliquer cette idée qui reste ici très floue et un peu mystique ;)
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scrit donc d’une érosion de la séparation entre les scien
je ne comprends pas la phrase
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les études de corpus, le comparatisme et la recherche plus conceptuelle (esthétisme, théorie littéraire, philosophie de la littérature, étude des pratiques de production littéraire) sont aussi des questions centrales dans le champ de recherche qu’est la littérature
je trouve ce discours sur la littérature un peu flou et un peu trop rapide. Je me demande s'il ne serait pas plus sage de parler de sciences humaines. Ou sinon de déclarer dès le début que tu vas utiliser un concept très large de littérature -- justement "études littéraires" dans le sens de "lettres" et donc synonyme de sciences humaines.
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Étude des implications idéologiques et politiques du texte (féminisme, marxisme, queer, etc.) ; Intertextualité ; Application de cadres théoriques dérivés des sciences cognitives et de la psychologie ; Analyse linguistique et textuelle (close reading et études des dispositifs rhétoriques).
littérature ou sciences humaines? la philo est dedans ou pas? par exemple...
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s dans le domaine littéraire (au
les dh ne sont pas seulement littéraires non plus... il faut peut-être préciser ce que tu entends par "littéraire"?
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raires en soit,
soi
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s textes littéraires et des ordinateurs qu’il ne nous est pas possible d’apprendre ou connaître sans les ordinateurs?
phrase à reformuler
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- Jun 2024
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stylo.ecrituresnumeriques.ca stylo.ecrituresnumeriques.ca
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Pouvons-nous arrimer l’épistémologie des études littérature aux cadres théoriques des humanités numériques?
pas clair comme explication de la question
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udes littéraires computationnelles aujourd’hui et explorer ce qui domine la conversation dans ce domaine
citer les idées de lecture et analyse de texte assistée par ordinateur (Meunier)
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disciplinaire cohérent et unique
ce n'est par ailleurs pas leur volonté, je crois
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idéologiques
ou "politiques"?
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r·rice cherchait à exprimer dans un contexte historique précis, et plus globalement comment était le monde (et comment était perçu le monde) dans ce contexte ; Comprendre les réactions d’un individu ou d’une société à un texte, et ce que ces réactions révèlent sur le texte, ainsi que sur l’individu ou la société qui réagit ; Comprendre ce que le texte signifie pour le lecteur en dehors du contexte historique où le texte fut produit, soit en analysant ses caractéristiques formelles et internes ou en explorant les thèmes et sujets universels qui transcendent le texte.
références?
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représenter l’irreprésentable et pour traduire l’intraduisible
pas sûr. c'est une affirmation complètement idéologique. romantique et pas argumentée. je nuancerais
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udes littéraires computationnelles tâtent à la recherche d’une forme plus claire, d’un cadre épistémologique et d’une reconnaissance institutionnelle
est-ce que c'est ça ta problématique de recherche? l'institutionnalisation des études littéraires computationnels? je crois pas. Dans une intro je voudrais une problématique formulée de façon claire.
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égularisé (
es
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’est toutefois sous cette ombrelle
des DH? Seulement?
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- Mar 2024
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www.nomodes.com www.nomodes.com
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My formulation of what others have since called the “AI Effect”. As commonly quoted: “Artificial Intelligence is whatever hasn't been done yet”. What I actually said was: “Intelligence is whatever machines haven't done yet”. Many people define humanity partly by our allegedly unique intelligence. Whatever a machine—or an animal—can do must (those people say) be something other than intelligence.
These are two opposing visions of the relationship between human and machine: on the one hand (AI effect), the human being is something defined and stable, and the machine tries to imitate it, to become what the human being is. On the other, the definition of what it means to be human changes as machines become capable of doing something new. The essence of the human being is therefore the result of comparison with the machine. Cf. on this topic, the idea of Karen Barad on stabilizing and destabilizing boundaries which define what is human.
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- Aug 2023
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maitrise.loupbrun.ca maitrise.loupbrun.ca
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Aperçu des chapitres
essaye de mieux montrer le parcours global - et donc; relie les chapitres... comme ça ils sont un peu une liste juxtaposée. montre le fil conducteur
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abord une cartographie des espaces de la maison d’édition afin de mieux comprendre ses ramifications, ses taxonomies (livres, antilivres, microantilivres, etc.), sa ligne éditoriale, ainsi que les matérialités qu’elle investit – car celles-ci seront d’une importance particulière pour notre étude.
mets ici aussi un plan de l'intro: je vais d'abord parler d'abrupt, pour ensuite parler du numérique, d'internet et... Et explique pourquoi. Les différentes sections ne sont pas assez bien liées. Donnes un plan ici et ensuite ajoute des passages entre une séction et l'autre pour faire comprendre pourquoi il est nécessaire de définir le numérique, Internet etc.
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une maison d’édition qui existe d’abord «sur Internet». Elle se présente comme un collectif dont les membres ne sont pas nommés, se décrivant ainsi:
des éléments historiques? Crée quand? Par qui? Où? peut-être ça vient après?
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Ce projet che
mémoire
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généralement le seul à être lu par la critique
un peu violent
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cassure
rupture?
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maitrise.loupbrun.ca maitrise.loupbrun.ca
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On n’étudie pas le code pour le code, mais pour les valeurs et idéologies qu’il embarque, et les effets esthétiques qu’il permet de produire.
c'est la thèse de fond de Marino et ici dans ta phrase on a l'impression que c'est plutôt une critique que tu lui fais. Revois la forme
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maitrise.loupbrun.ca maitrise.loupbrun.ca
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oisies comme vignettes ou couvertures pour les œuvres de cet espace) laissent entendre qu’aucune de ces coïncidences n’a été laissée au hasard.
il me manque une petite conclusion de chapitre
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re d’at placé
art
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Malevitch cherche aussi à produire un ultime renouvellement qui unifiera le cubisme et le futurisme,
encore une fois, quelques mots sur le futurisme seraient nécessaires. Car Marinetti est bcp plus ambigu... est-ce de gauche ou de droite? Je ne sais pas si tu connais un peu la situation politique autour du futurisme en Italie au début du siècle passé, mais c'est plutôt intéressant (Mussolini côtoyait le mouvement, avec des anarchistes comme Malatesta... entre socialisme révolutionnaire, anarchisme et fascisme)
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Le texte imprimé est d’ailleurs griffé d’un bloc de texte binaire, dont la séquence de zéros et de uns peut être ainsi traduite de l’ASCII: «Nous, le sujet reticulaire!54». Le texte, ainsi signé à la troisième personne, tente d’incarner le premier l’idéal d’auctorialité réticulaire qu’il décrit: un auteur sans individu.
rien à dire sur cette partie qui est vraiment très bonne et intéressante. On voit converger une série d'idées, posthumanisme, matérialisme, une certaine interprétation du numérique, de l'auteur, anti-individualisme... cool
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affirmations suivantes formulées par Abrüpt dans ce manifeste:
l'inverse
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aration d’indépendance du cyberespace par John Perry Barlow en 1996: L’antilivre n’a pas de forme, son impermanence dispose de toutes les formes, il se transforme sans cesse, et son information brute ne connaît aucune fixité, aucune frontière, elle fragmente son essence, distribue le commun, déploie sa liberté au-devant de nos singularités cyber
tu promets barlow et tu donnes antilivre!
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idéaux cher
s
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ouvertement révolutionnaire et avant-gardiste (ce que souligne par exemple dès l’ouverture la métaphore de la «langue d’aurore», non sans «écho» par exemple au fragment #20 des Manifeste(s)). L’un des
je ne sais plus si avant tu parlais du manifeste futuriste, mais je crois que la référence à Marinetti est nécessaire
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Nous souhaitons montrer comment la culture numérique affecte et conditionne déjà les productions textuelle et paratextuelle, cette dernière étant richement investie par Abrüpt.
ce paragraphe sera peut-être à revoir selon l'introduction
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maitrise.loupbrun.ca maitrise.loupbrun.ca
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âce à son protocole. Son caractère distribué permet à l’éditeur d’éprouver une conception posthumaniste (ou préhumaine), voire postindividualiste (ou encore: «préindividualiste») de la subjectivité déplaçant la notion d’auctorialité vers une dynamique collective, horizontale, et non anthropocentrée qui n’accorde pas une importance supérieure à une entité humaine que non humaine. C’est la créativité périphérique, plutôt que l’expression d’un individu en particulier, qui y est promue sous la forme d’une entité réticulaire, voire cybernétique, et qui met l’accent sur la liberté d’information si chère aux idéaux manifestaires tels qu’énoncés par McKenzie Wark (A Hacker Manifesto) ou John Perry Barlow (A Declaration of the Independence of Cyberspace). Si la méthode employée peut sembler expérimentale pour l’écriture littéraire, les moyens utilisés sont bel et bien éprouvés, en particulier dans l’industrie du développement logiciel. Leur robustesse ont certainement participé à l’étonnante stabilisation de ce «cadavre exquis» à l’écriture pourtant mouvante et dynamique. Expérience peut-être la plus aboutie de son concept d’antilivre, car (relativement) fidèle à ses manifestes (et notamment grâce à l’écriture «en réseau» et le protocole
une chose dont tu ne parles pas: il est intéressant qu'avec ce type de pratiques, des gens en sciences humaines (et plus précisément littérature) s'interrogent activement sur ce qu'est un texte et sur ce qu'est l'écriture. Ce qui manque bcp actuellement en SH. Git est un truc pensé par les informaticiens, pour les informaticiens. Se l'approprier pour les littéraires a un sens. Mais peut-être il faudrait aussi développer nos propres protocoles?
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On pourrait conclure que le flux éditorial demeure relativement inchangé par rapport au modèle traditionnel, c’est-à-dire que l’éditeur garde la main sur la publication finale. On comprend sans peine le souhait d’inclure une étape de m
ici tu évoques quelque chose qui semble faire référence aux structures à oignions des protocoles. Il serait peut-être intéressant de pousser la théorisation (protocole, protocole d'usage du protocole, protocole d'usage du protocole d'usage du protocole..., applications implémentant le protocole et l’interprétant, appropriations, redéfinitions des pratiques etc.)
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a priori
italique
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rite d’ailleurs d’être interrogé), mais bien le processus que l’ensemble de son paratexte invite à lire à rebours de sa publication (en exposant ses «données» et
il y a quelque chose de profondement valérien ici. Paul Valéry parlait du fait que la vraie oeuvre d'art du sculpteur n'est pas la sculpture, mais les mouvements du sculpteur, sa danse. Aussi dans la Méthode de Léonar de Vinci il y a quelque chose de ce type (c'est le processus qui constitue l'oeuvre d'art). Peut-être serait-il intéressant d'aller voir ces idées.
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ensmble
ensemble
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c Jahjah rapproche du geste d’annotation: «L’annotation partage avec les graffiti une autre caractéristique: elle produit du territoire, c’est-à-dire de l’espace habitable.
super! bravo marc ;)
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te, l’auteur comme figure vénérée s’inscrit dans la continuité d’un système accordant une importance capitale à l’individu; mais la contemporanéité a largement contesté le génie sur lequel cette figure s’appuie (ou s’est appuyé, comme on en retrouve la mention dans les décrets révolutionnaires de 1791, textes pionniers du droit d’auteur en France). Nombreux sont ceux qui se sont déjà prononcés en faveur de la destitution de la figure de l’auteur, tout comme ceux qui, non sans égard au paradigme bien instauré
juste pour discuter: tout cela est au centre de mon travail sur l'éditorialisation, en particulier le rapport éditorialisation/auteurs/autorité. Content de retrouver les mêmes conclusions chez toi, en passant par des chemins différents. Je me demande si le concept d'éditorialisation pourrait être utile encore ici ou pas - probablement pas (en tout cas pas nécessaire)
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t du professeur
pourquoi lui seul est "professeur" ? ;) coupe!
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ssant par référence à la propriété et à l’originalité, et toujours sur le fond de la liberté (du commerce ou de la création), le droit d’auteur participe à ce que l’on peut appeler «l’expansion de la société des individus (M. Gauchet). L’institution juridique porte les traces de deux formes d’individualismes, l’individualisme possessif inventé par L
cf aussi Authors and owners de Rose
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git pull po
quelque chose sur fetch? et rebase?
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une sauvegarde particulière
ou plutôt une "version", ou un "état du texte". Cf Zumthor, sur la notion d'état du texte
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mmunauté des informaticiens, une telle préface n’est pas nécessairement péjorative, au contraire: dans ce contexte, l’adjectif «stupide» signifie simplement que l’outil peut être manipulé à gré par l’utilisateur, sans interférence ou d’introduction de choix inopiné (par opposition aux dispositifs dits «intelligents» qui intègrent des automatismes pouvant s’avérer indésirables) – il fait simplement ce qu’on lui dit de faire, ce qui réitère son caractère (prétendument au moins) instrumental.↩︎
super! Cette distinctoin entre stupid et smart vaudrait la peine d'être approfondie... peut-être dans ton doc? C'est ce que je dis dans mon livre sur le bug...
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n système de gestion de versions distribué. Il permet de contrôler l’état d’une arborescence de fichiers, en enregistrant une copie de chaq
peut-être donner plus d'infos: qui l'a créé (Torvald), pourquoi, qu'est-ce qu'un protocole, différence entre le protocole et les plateformes (type gitlab) etc.
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logiciel Git dans un contexte
est-ce un "logiciel"? Ou plutôt un protocole?
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- May 2023
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maitrise.loupbrun.ca maitrise.loupbrun.ca
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cations politiques et philosophiques radicales: l’épanouissement la plus complète de l’autonomie du sujet et l’abolissement total du culte de l’individualité. Il en résulte une forme unifiée (car collective) de désordre anarchique, dont l’ensemble serait un réseau permettant à chaque entité le composant d’être à la fois libre et en harmonie, dans une horizontalité matérielle qui n‘admettrait aucune hiérarchisation. Ce n’est plus la production du sujet qui prime, mais la production de «mouvement» qui caractériserait cette subjectivité suprême. Ce mouvement, dont l’événementialité échapperait à toujours à un programme dicté d’avance, implique l’ouverture que nous cherchons à cerner à travers ce détour par la cybernétique.
la position de barad met en peu en question cette opposition entre ce qui est déterminé et ce qui ne l'est pas, cette opposition entre sens/herméneutique et détermination materielle
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r. Le statut de la syntaxe JSON dépend du lecteur, qui est à même d’établir, dans le jeu relationnel qu’il se construit avec le texte, s’il s’agit de «bruit» ou d’«information»
exacte
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(déplier le texte à travers ses référents à la culture numérique, se saisir des potentialités techniques qu’il propose, produire un programme nouveau, hors de l’horizon d’attente même de ses géniteurs);
ici l'ambiguïté dans le json d'abrupt entre donnée et texte est surement intéressante. Car ce ne sont pas vraiment des données...
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’est ce La
que
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2.4 Gestes et programmes
petite considération générale: est-ce qu'il serait intéresant de discuter ici l'idée de Mcguire? car abrupt la prend un peu à contrepied (le but n'est pas d'avoir des données structurées... ou pas vraiment)
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un verre à moitié vide ou à moitié plein, dit Hayles: la réponse importe non pas du fait qu’elle soit bonne ou mauvaise, mais parce qu’elle révèle une orientation vis-à-vis du verre – partant, «une attitude vis-à-vis de la vie elle-même39». C’est aussi la construction des programmes, particulièrement le traitement qui est fait de l’aléatoire et de la certitude, qu’il nous semble crucial d’interroger. La syntaxe JSON est-elle une forme de «bruit»? C’est justement en la considérant comme «information» que nous déployons notre réflexion autour du «programme» en tant qu’écriture intentionnelle: le JSON constitue le point de départ d’une gestuelle «programmatique», du fait de l’ouverture de son format et des pratiques de programmation qui s’y rattachent (manipulation des données par un langage de programmation, culture des API).
très intéressant. Bravo!
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type de dispositif.
attention: l'idée de dispositif de bachimont n'a rien à voir avec celle d'agamben ou de foucault. Bachi est bcp plus déterministe: dispositif= truc qui transforme l'espace en temps.
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Nous croyons que le JSON est suffisamment connoté d’un caractère fonctionnel – en particulier dans un contexte de programmation informatique
je me demande s'il serait utile d'jouter quelques considération sur la philo derrière json, justement très "fonctionnel" "utilisable" etc. Mais à plat, par rapport par ex à du xml. Json est très orienté marché, quand même... ou en tout cas application. Donc tension avec l'idée de littérature (s'ils avaient fait la même chose en xml, ça aurait été moins original...)
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page Adobe InD
comme
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dans un logiciel de traitement de texte Microsoft Word
comme...
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www.arthurperret.fr www.arthurperret.fr
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Je retiens de cette expérience que « le bon outil » dépend des circonstances.
oui!
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« pilote automatique » de LaTeX, où on se concentre sur un ou deux problèmes compliqués tandis que le reste est géré automatiquement, je crois que fondamentalement je préfère la possibilité que me donne CSS de tout gérer moi-même sans m’arracher les cheveux.
Je suis d'accord presque sur tout dans ce billet, mais pas sur cette idée de LaTeX. Je pense qu'elle dérive plus de la complexité de LaTeX (et de TeX) que de sa nature. Et j'ai un peu peur qu'on réinvente la roue parfois en refaisant, moins bien, des choses que LaTeX faisait déjà. Mais ce n'est peut-être pas un mal, et c'est bien de créer de nouvelles approches ;)
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- Jan 2023
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stylo.ecrituresnumeriques.ca stylo.ecrituresnumeriques.ca
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Giterature: preliminary definitions We will add to the already long list of neologisms of digital literature the term giterature, a fusion between the GIT computer protocol and literary writing understood in a wider sense, including the editorial device. The following attempt to define literature is largely inspired by the achievements of the Abrüpt publishing house. The Abrüpt example introduces indeed an alternative form of platforming of the literary fact which does not correspond to the third generation as it has been defined by Flores (2019). From then on, it seems essential to us to present giterature as a literary phenomenon combining both the editorial and scriptural anchorage of a platform (the software forges in the case of giterature), and the emancipating mastery of computer writing in the service of a creativity and a poetic innovation [not sure of the term]. [git , which publishers and writers have been seizing on for some time]. Where the study of the third generation could focus more on strategies of use (??? on wattpad, anne savelli on instagram ?) and/or detour [anne archet ?] of the platforms, literature requires us to return to the confrontation between two conceptions of writing : literary writing and computer code writing, reunited in the same writing space through the GIT protocol and the Gitlab platform. Such a subject could undoubtedly fall within the scope of critical code studies, we will once again privilege the intermedial perspective – which in no way prevents us from confronting it with the poetics of code.
Pour moi ici il faut marquer une rupture. Le cas de la giterature est très différent des autres. Je dirais quelque chose du type:
In the cases of the twitterature and the literatube, clearly corresponds to the characteristics of the 3rd generation described by Flores: we go looking for the public where it is and we use platforms that, for this reason, become technically "transparent". The case of literature is somewhat different. If it is true that we use an existing platform, it is less true that we look for an already existing public, because the public of git (as a protocol) and of online platforms like gitlab is not - or not mainly - a literary audience. The technique creates a tension effect, thus between two possible audiences: geeks and literary people. Geeks who can become literary, but also literary people who can become geeks. The technical question - the mastery of the protocol, the mastery of the writing of the code, with its rules, its habits, its habitus - thus becomes the central point: the technique is less transparent and it is far from being a simple "means of expression". It is the meaning of the literary gesture itself. A literary gesture that explicitly becomes a technical gesture, and a particular type of technical gesture; it is not a question of writing on beautiful paper with a well-cut quill pen, like Flaubert, or on Word with a brand new Mac - as the Holliwoodian representation of the writer would have it - but of writing commands in a black terminal - which corresponds more to the image of the hacker than to that of the writer.
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The antilives
r
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of antiliteracy is
antilitterary?
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Marcello Vitali-Rosati
Je ne sais plus si je signe l'article ou pas... si je le signe...
je suis bcp cité pour être co-auteur... peut-être il faut enlever mon nom et dire: dans un article récents nous proposions... et pouis paraphraser au lieu que citer?
Ou peut-être juste dire l'idée sans me citer? Je sais pas. Peut-être ça peut aussi rester comme ça et je signe pas? Ou comme vous voulez
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criticism, the dividing line is far from being so clear.
Peut-être ici ajouter la question des cultural studies
The impact of cultural studies and of the set of interrelated trends that in North America is known under the label of French theory has strongly contributed to blur the line between literary and non-literary works. From the 1970s, following the works of personalities like Barthes, Eco, Kristeva etc... the canon is considered as the fruit of mechanisms of power and it can always be constructed otherwise. The porosity of the frontier between literary and non-literary becomes infinite
Juste une proposition
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between
in-between, peut-être mieux
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echnical device,
pluriel? device est-ce le bon mot?
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stemological reflection. Let us formulate a first observation: we work on a contemporary corpus that we strongly contribute to institutionalize - at the same time as we seek, for ourselves, a form of legitimization in an academic and disciplinary context whose borders are still, despite everything, relatively strict. This corpus is
J'insisterais sur ce point: gerne: If in the print model, a series of legitimating instances had a fundamental role, long before a work could be analyzed by academics, in digital environments many of these actors are no longer relevant. The function of legitimization of academic works is accompanied by few other selection systems.
On pourrait/devrait aussi parler de la question de la selection du "canon" à l'époque post-cukltural studies... car cela n'est possible que pour cette raison. Mai peut-être trop long
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r problematic.
question... research question
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non-e-lite
lit
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literature,
giterature?
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described as “profilary writings”
by who ? Nous, je crois ;)
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~~–
syntaxe ~~
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some researchers today call digita
je dirais many et j'enleverai today... et je citerais des gens: gervais, l'ELO, Serge Bpouchardon etc.
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witterature, literatureTube, auto-blography?
citer quelqu'un... Gilles? Anaïs? Le livre Tous artistes...
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not be wary o
pas sûr
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digital culture w
citer Milad
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of the digital fact
je crois que ça marche pas "digital fact". ici je dirais vraiment digital technologies
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t ici les conjonctures médiatrices
peut-être, si tu décides de l'utiliser, il faut que tu donnes ta définition. Est-ce qu'à la fin de tout le discours sur media tu donnes une idée qui est la tienne? Ou tu en adopte une?
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que est celui d’une relation qui couple humain et non-humain, machine et utilisateur (Larrue et Vitali-Rosati, p. 51) par des fonctionnalités médiatrices et génératives. La dernière procédure fait ce jeu de l’excommunication en constituant un « beyond writing » (Tanasescu 2020), soit un espace qui est au-delà de la médiation de l’écriture et qui a atteint le stade de l’irrémédiable à plusieurs égard. L’irrémédiable est d’abord ce qui ne peux plus être remédié, et qui donc se distingue de la remédiation comme type de relation ou potentialité : il ne médie plus ontologiquement. Sortie du régime de la médiation sans remède, il reste la trace (« a trace always remains » Battles au sujet du palimpseste) qui est une forme de médiation, ou d’extrême médiation.
Toute cette partie sur média, médiation etc me semble très bien. Question: as-tu lu No medium de Dworkin? Parce que tu l'utilises ici en tant que poète, mais tu ne le cites pas en tant que théoricien des médias et en fait il va dans ta direction...
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n : comme Bon dans son éducation littéraire de l’outil GTP Chat pour l’amener à produire une texte littéraire à la
peut-être en dire plus?
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onction du poëte dieu - 12 âme - 8 poëte - 7 In Media Res média - 24 sens - 9 poète - 8 le poème est détourné au profit de la recherche (comme cela a en réalité déjà été le cas par l’analyse de texte) en tranposant les lemmes principaux de l’un à l’autre (d’abord les trois premiers).
j'ai pas compris ta méthode. Expliquer mieux?
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chair de ces théories, tentons un exercice, faisons tabula rasa du média : restons en deçà de ce que nous connaissons de lui, mettons de côté tout les imaginaires, posons à l’écart (symboliquement du moins) les livres lourds des synonymies et imageries que ce terme charrie, plaçons-nous pour quelques lignes en terrain inconnu.
il me semble que l'intégration de la création qui suit fonctionne bien. Tu devrais le faire pour plusieurs créations aussi dans la première partie et peut-être aussi avec des projets de recherche: ap, stylo, revues etc.
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erme Aufschreibesystem
Il faudrait aussi en donner une traduction littérale: Aufschreiden signifie inscrire, écrire sur quelque chose. C'est l'idée d'inscription ici
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notion de frontière,
sur les frontières humain non-humain: cf aussi Barad?
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grande échelle en 2011 jusqu’à récemment (autour de 2019), les andréides de langage (dont Alexa et Siri qui sont jusqu’ici les plus utilisées) étaient programmées pour répondre non seulement poliment à des insultes formulées par les utilisateurs (comme « You’re a slut »), mais de paraître flattées en répondant : « I’d blush if I could » (Siri), « Well, thanks for the feedback » (Alexia). Si depuis la documentation et la conscientisation autour des dérives, les IA ont été mises à jour (Siri depuis avril 2019 répond plus platement à l’insulte avec un « I don’t know how to respond to that »), le modèle de réparti de ces femmes-machines de mots est dirigé et fondé originellement sur un principe de soumission mysogine (Rapport de l’Unesco 2019). L’objectif d’utilisabilité se modèle techniquement sur la reconduite de schémas de domination, d’archétypes hétérosexuels : la femme est dans ce paradigme un être de mots, un objet outillé pour participer d’une conception sexiste du monde. C’est en ce sens que l’invention de la femme machine a produit non seulement des implémentations techniques réelles mais a aussi participé à des modèles culturels
Je crois vraiment qu'étant donné l'impact de chatGPT dans le discours public, tu dois en parler.
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Stéfan Sinclai
peut-être parler des travaux de stéfan sur l'oulipo?
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[J]e ne peux pas comprendre que les gens n’apprennent à lire et à écrire que les 26 lettres de l’alphabet. Ils devraient au moins y ajouter les 10 chiffres, les intégrales et les sinus […]. Ils devraient de plus maîtriser deux langages de programmation, afin de disposer de ce qui, en ce moment, constitue la culture. (Kittler [#source])
cool! tu retrouves la source?
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ence certaines s
certaine
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sent les composés. Les dissections de l’écriture numérique identifient majoritairement ses composants par trois :
ajouter références
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roposition d’image technique permet à la recherche et création de sortir du paradigme de la représenation et de l’imitation. Relevant des imaginaires culturels de la science, non comme « metaphor or representation » (Reisenleitner 2013) mais au sens d’implications concrètes, de « lived experience, material practices, social relations, and public discourse », l’image technique est une pratique du texte numérique qui souhaite approfondir son inscription dans le média.
Il faut vraiment approfondir cette question de l'image
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il fait image comme écran aux potentialités,
pas sûr
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des espaces blancs (Christin 2000), harmonies ou saturations des styles de mises en page, le texte numérique est un évènement régi désormais par de nouvelles caractéristiques plastiques que sont la lumière, surface et mouvement :
Est-ce que cela relève de l'image? Pour moi non, par exemple.
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t posée via l’instance de l’image, comprise comme perception des phénomènes de représentations et de constructions du texte.
Il me semble que la relation image texte devrait être approfondie davantage. Ici tu la donnes par acquise. C'est beaucoup trop complexe pour être jeté là en deux lignes.
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Machine qui se joue avec les doigts, CMMP est donc une réflexion sur la question de l’agentivité et donc du geste de la lectrice en tant que la création prévoit un investissement réel dans la composition des sonnets (e
Serait-ce pertinent de citer l'analyse de Souchier et la notion d'énonciation éditoriale? Ici l'énonciation éditoriale devient dispositif de production du sens.
https://www.cairn.info/revue-les-cahiers-de-mediologie-1998-2-page-137.htm
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dissensions. Le hasard sert au projet oulipien tant qu’un cadre lui est assigné par un programme informatique dont la structure est parfaitement et clairement explicable. Le post-surréalisme, ou ce que Baillehache a décrit comme « computer-generated surrealist writing » (2021, p. 9), constitue une réconciliation non seulement du non-humain et de l’humain mais également de deux programmes littéraires pourtant en réaction sur les principes de création.
tu fais une sorte d'histoire très incomplète de la littérature générée par ordinateur. Il faudrait peut-être en dire davantage ou alors en dire moins et expliquer pourquoi tu choisis de parler de ces choses là plutôt que d'autres
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pourront écrire de sonnets.
Attention: CMMP c'est juste du combinatoire... Aujourd'hui en revanche GPT peut écrire un sonnet original. Peut-être il faut faire la nuance et parler un peu plus de ce qui arrive aujourd’hui.
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ressante, parce que traitant de la question de genre : l’interrogateur n’est plus en face d’un dilemne plaçant son raisonemment face à l’énigme de l’humain et du non-humain mais face à celle du féminin et du masculin. Cette saveur en extension du jeu rejoint la réflexion sur le style féminin, thématique notamment à l’origine des études d
Pas clair: le jeu des genres était le modèle de turing et non une extension. Que veux-tu dire ici?
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natural conceptual horizon of probabiliy, where truth is the provisory production of a set of rules »
je ne comprends pas le sens de cette phrase dans ce contexte. Ton explication après est plus claire, mais la citation reste obscure pour moi
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sera toujours capable de
pourrait... ce n'est pas un fait, à l'époque de Turing. Ça l'est aujourd'hui, mais depuis peu. Faudrait-il parler des chatbot contemporains ici? chatGPT, par ex.? Au moins en note, vu que désormais on est capable de faire des bot qui passent le turing test
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construction du littéraire
pas sûr de cette substantivation de l'adjectif "littéraire". Je ne suis pas sûr de comprendre ce que tu veux dire. Qui est-ce "le littéraire"?
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e principe de machine littéraire est le premier jalon de notre investigation en ce qu’il combine différentes perspectives du texte en concevant la création comme un processus d’articulation : projets littéraires et réalités techniques concordent notamment dans des institutions littéraires comme poétiques exploratoires pour produire une conscience du texte médiatique et technique.
Considération générale: ici ton style est beaucoup moins baroque. Moi je préfère
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Le palimpseste que l’on définira pour cette étape de l’argumentation comme une sur-écriture est une parfaite illustration des multiples status du texte par une principe de stratification des inscriptions. Historiquement assimilé à un parchemin manuscrit, le palimpseste est un texte-support réinscrit par des copistes (principalement entre le VII^eme^ et le XII^eme^ siècle) pour des raisons de coût. L’effacement ou désencrage de la première inscription se faisait au Moyen-âge à l’aide d’un stylet ou d’une pierre ponce5 Au dessus de cette première inscription historique, grattant quelque peu le contexte d’émergence, notre étude cherche à réinscrire le palimpseste comme méthodologie d’écriture transmédiale et transhistorique, soit dans le cadre d’une théorie générale de la littérature sur les matériaux de son écriture. Écriture faite écriture, le palimpseste rejoint en l’état la catégorie des dispositifs selon la définition générale de Foucault [@agamben_theorie_2006, 1. § 4] : une conjoncture de réels établie par un rapport de force motivée par des enjeux de pouvoir et de savoir. Dans le processus palimpsestique, plusieurs corps sont impliqués – le support, la matière de la première inscription, le stylet, la matière de la deuxième inscription – et travaillés dans un jeu de limites – le stylet est retourné/détourné, le support est gratté sans être perforé, la première inscription est effacée en demeurant discernable – et ce, en vue d’imposer un nouveau récit qui ne peut cependant pas se départir de son contexte ou environnement d’écriture. C’est en tant que « réseaux qui existe entre [l]es élém
Bien. Ici utilisé de manière métaphorique. Peut-être tu pourrais développer davantage, notamment en parlant de McLuhan et de l'écriture d'écriture etc... Le média qui est toujours média de média etc.
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L’énigme de l’origine est exposée par la reprise de la conjecture, au demeurant indémontrée, de Syracuse (ou problème 3x +1) selon laquelle la suite de Syracuse de n’importe quel entier strictement positif atteint le chiffre 1.
Je ne comprends pas... 3x+1 c'est forcement > 1 si x est positif, non?
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ique, le récit Incendies suit les romans individuels succe
il faut l'introduire. Il sort de nulle part!
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elle, la fabrique est justement
Sur la notion de fabrique: peut-être en souligner l'émergence collective? Antoine parle aussi de fabriques, moi aussi... c'est intéressant peut-être de souligner ce trait méta: l'émergence même du concept qui renvoie à une dynamique collective ets collective elle aussi. Comment est fabriquée la fabrique? La notion de fabrique?
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e de notre démarche
Nous? Je? Pourquoi?
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S’affichant sur les écrans de leurs machines, lovée dans leurs articulations cagneuses et émergeant des tâches d’encre versées de dépit, une même questionn semble hanter les couloirs des lieux de savoirs notamment ceux arpentés par les théories littéraires et les théories des médias. En ombre partagée des études, l’interrogative – sinon éternelle du moins récurrente – traduit autant une curiosité génésiaque que le soucis de contrôle d’un regard soudainement égocentré : l’humain est-il au centre de sa création, ou est-il le produit de cette dernière ? Et si cette création se trouve être un intermédiaire à la production du sens, l’humain qui l’utilise ou qui la conçoit est-il véritablement au cœur de la fabrication d
Je trouve ton style un peu trop baroque. Est-ce voulu? Pourquoi? Est-ce utile? Qui parle? Qui est l’énonciateur ici? L'instance d'énonciation? Est-ce que tu es en train de mettre en scène l'académicien(ne)? l'écrivain(e)?
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ssant l’homo faber, Flusser développe une réflexion sur l’importance de la fabrique pour la reconnaissance des individus entre eux1. Pour comprendre toute la densité du terme, Flusser mentionne les différentes périodes de la fabrique humaine déterminées par le moyen d’intervention (main, outil, machine, appareils). De ces méthodes d’action sur le monde, Flusser retiendra surtout le premier, le plus « génétique » selon lui : Fabriquer, cela signifie d’abord manipuler et détourner quelque chose qui fait partir du donné, le changer en artefact et le tourner vers l’application pratique. Ces gestes qui manipulent et détournent, ils sont exécutés d’abord par les mains, puis par des outils, des machhines et finalement par des machineries plus complexes. […] [L]a fabrique est le lieu où ce qui était donné est manipulé, transformé en artefact […]. (Flusser 2002, p. 58) Engagée pour la reconnaissance d’un artisannat ou d’activité peu reconnues dans les études archéologiques, sa réflexion distingue peut-être un peu trop artificiellement les fabriques artisannales (comme la p
Ici l'homme (d'ailleurs masculin) est quand même très central, non?
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- Dec 2022
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stylo.ecrituresnumeriques.ca stylo.ecrituresnumeriques.ca
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Cette démocratisation marque véritablemen
NOOOOON!
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démocratisation
non, stp: ce n'est pas une démocratisation (qui implique esprit critique et émancipation), mais une simple diffusion
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- Nov 2022
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blog.sens-public.org blog.sens-public.org
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rate. Socrate vient de s
très intéressant!
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- Oct 2022
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stylo.ecrituresnumeriques.ca stylo.ecrituresnumeriques.ca
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usager
et éditeur
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oit pas beaucoup d’actions, mais on a pu voir le même procédé dans les scholies : les actions qui sont posées sur la plateforme sont donc reliée au pseudonyme d’un éditeur ou d’une éditrice.
expliquer rapport entre traçage des actions et légitimité. + crédits. IMPORTANT
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Commentaires La section commentaires permet à l’éditeur de saisir du texte. Dans le cas de 14.148, l’explication au sujet de Germanus est ajouté
expliquer ce que sont les commentaires (comme des footnotes mais qui concernent l'ensemble de l'épigramme
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scholies sont des fragments à part entière reliés à une épigramme. Le procédé est le même, chaque scholie a une image du manuscrit, des textes, et éventullement des mots-clés.
il n'y a pas une éd complète des scholies. important à dire. et peut-être préciser: scholie, lemmas etc.... toutes les annotations du cp23
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ur divers identifiants uniques (tlg et wikipedia)
il faut insister sur les id. le dire au début par ex (au début de cette poartie, en présentant ;la structure des données
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habituellement à la base de l’approche critique
pas toutes les approches. Lachman oui
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e pas sur le principe du recueil,
je ne comprends pas
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4000 épigrammes contenues dans l’Anthologie grecque jusqu’à trouver celle correspondant à mes souvenirs flous.
il y a en plus la multiplicité de contenus disponibles déjà sur le web: manuscrit, traductions, texte grec etc.
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, pour répondre au titre de notre présentation “L’Anthologie sur le Web - quid novi?” et bien, le numérique, le Web est un espace particulièrement propice à héberger une corpus tel que l’Anthologie, tous deux ayant une structure anthologique, ouverte, collaborative. Mais à la suite, ce que nous tentons de démontrer par le biais de IAL, c’est que l’Anthologie peut aussi apporter beaucoup au numérique.
j'aime pas trop. mais pas grave, on improvisera quelque chose
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voire celui de “postfasciste” quand il s’agit d’évoquer les situations politiques des pays du sud de l’Europe et en particulier l’Italie.
haha intéressant!
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Gilets Jaunes à partir de novembre 2018 (Stiegler 2020), des groupes de citoyens protestaient en Suède contre l’augmentation du coût de la vie et en particulier le prix de l’essence.
une analyse semblable est possible pour comprendre aussi le trumpisme.
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^7] (
syntaxe de la note
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Januariavtalet,
expliquer?
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- Sep 2022
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Five Texts on the Mediaeval Problem of Universals, Indianapolis, Hackett Publishing, 1994. ↩︎
ha ok il est là
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nces dont dérivent les choses9. La matière compte parce qu’elle porte du sens, et dans cette perspective le sens d’un texte est également inscrit dans son support. Dans la lignée de cette considération sur les matières du monde, le média ne peut ici plus être considéré comme un objet mais comme un ensemble de forces d’action (conjonctures) qui fonctionnent ensemble par réseaux de discours (discourses network ou encore stygmergies). Il n’y a, dans cette rhétorique qui s’oppose à celle de l’immatérialité, pas de séparation entre des forces abstraites (discours, pensée, concepts, écritures) et des forces concrètes (matières, supports). Conçu comme matière vibrante, le média (ou le texte puisqu’il en est un) sera défini alors comme un composé indivisible de ces élément (que l’approche distingue selon son orientation, sa perspective d’observation) et qui, en tant que tel, existe en relation avec des forces humaines (on pense immédiatement au lectorat, mais il y a également les corps auctorial et éditorial impliqués).
ces deux parties sont plus théoriques et claires. ok
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e concept pour cristaliser tout l’enjeu d’une approche logique. Le concept succède t-il à la chose (post rem) ? Et dans cette vision nominaliste, les universaux sont donc des mots, au sens de souffles de voix (voces). Le concept précède t-il la chose (ante rem) ? Et dans cette vision réaliste, les universaux sont des choses du réel (res). Ou, et c’est la position défendue par Abélard, le concept réside t-il dans la chose (in re) ? Dans cette position médiane, les universaux sont des concepts (intellectus conceptus) qui demeurent des constructions mentale
peut-être en dire davantage? D'autant plus que tu reprends cette thématique après... tu pourrais mieux expliquer la question. Cf Five texts on the medieval problem of universals (si tu veux j'ai le livre)
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ouligne la partic
r
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que l’on peut dater pour le monde occidental de Platon et Aristote et merner jusqu’à la réflexion de David M. Amstrong
attention, ce que tu dis est inexacte: la querelle des universaux nait avec l'isagoge de Porphire et ensuite sa reprise par boèce.
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C’est à partir de la culture de la communication de masse, associant volume à vitesse des développements, que le recouvrement du pluriel et du singulier se cristalise : les média sont un contexte d’émergence, des puissances d’apparitions des médiums.
cette première partie est très poétique. Je me pose la question du style général de la thèse. C'est peut-être bien comme ĉa, mais il faut bien réfléchir. On s'en reparle
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er les arrêts vocaux de type [b, g et d] dans
je comprends pas
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Je débute cette session mon doctorat en littérature - option humanités numériques, avec l’opportunité de prendre un rôle de leadership dans un projet phare de la Chaire de recherche sur les humanités numériques. Je serai donc au coeur du développement du projet Anthalgo qui cherche à définir formellent le concept littéraire de la variation à l’aide de méthodes algorithmiques. Ce sujet est proche du sujet de mon mémoire dans lequel j’ai défendu l’idée que l’herméneutique n’est pas limitée à la cognition humaine en créant des parallèles entre la
commence par ton sujet et dis ensuite que grâce à la pertinence de ton sujet et de ta recherche pour le mémoire on t'a embauché sur Anthalgo. Aussi: Anthalgo c'est pas son vrai nom. Mets le vrai nom et spécifie que c'est un développement savoir financé par le crsh
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- Aug 2022
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ine relatif des objectifs herméneutiques humains est différent de celle de l’algorithme
selon Searle, oui, mais pas selon d'autres
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Le dasein de l’interprétant humain limite,
mal formulé... le dasein de fait est l'humain... justement parce que Heidegger ne veut pas parler d'humain... peut-être laisse tomber le dasein et parle juste de l'interprétant?
Ou alors parle de quelque chose d'autre... par ex: "Le fait d'être situé de l'intetrpétant (ce que Heidegger exprime avec le concept de Dasein)...."
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ble de répondre en limitant l’étude à un corpus bien construit et, surtout, définit en fonction des barrières à la production, survie et disponibilité des textes. L’induction et l’abduction fournissent des outils logiques et rhétoriques malgré les limites des arguments disponibles pour ces inférences. Lecture humaine : conséquences interprétatives
lien?
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qu’un décodeur saurait plus tard accéder ;
accéder à quelque chose
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il peut être mené à simuler la production humaine de sens sous la forme d’inférences guidée par des “croyances” dans le contexte de réseaux complexes de signes. Méta-modèles et inférences littéraires
saut logique entre ces deux sections
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Bio et cybersémiotique
cette partie est à retravailler. les explications ne sont pas claire, on ne comprend pas pourquoi tu sors ces approches et quel est ton objectif.
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adre de la biosémiotique,
d'où sort la biosémiotique? Faudrait peut-être l'introduire
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réation de sens est basé
e
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Nous identifions deux types de signifiant, le premier étant celui de Charles S. Peirce et de Ferdinand de Saussure, soit un objet, processus, sujet, etc (Culler 1976). Le second type de signifiant et celui qui nous intéresse n’est pas le résultat d’un signe, mais de l’analyse d’un réseau de signes dont le signifiant n’est pas littéral (sémantique), mais une inférence produite à partir du réseau complexe et de son contexte (H
il faut mieux expliquer. je ne comprends presqu rien (si ce n'est ce que je sais déjà)
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Nous avons précédemment déclaré que nous n’étions pas en quête d’un algorithme permettant une interprétation absolue ou idéale du texte littéraire : nous ne cherchons pas à substituer la machine à l’auteur ou à Dieu, et rejetons la thèse d’une méthode capable de découvrir la vérité d’un texte littéraire. Parallèlement, nous ne pouvons pas nous résoudre à allow pure subjectivism, pure chaos ; l’interprétation doit être limitée selon des critères d’intelligibilité et de pertinence.
très bien. il faut peut-être insister sur ce point qui est ta visée. Tu dis ce que tu ne veux pas faire, mais alors qu'est-ce que tu veux faire? Un algo qui interprète "correctement" un texte c'est quoi? Un lecteur?
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qu’il nomme comme étant des brèches da
formulation fastidieuse
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es, et prendre la forme de génér
syntaxe
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direct (l’induction par exemple est mathématisable selon certaines conditions, soit indirect (nous discuterons d
attention, manque une parenthèse fermée
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- Jul 2022
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stylo.ecrituresnumeriques.ca stylo.ecrituresnumeriques.ca
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L’exemple de Boris Iarkho Pour le formaliste russe Boris Iarkho
le passage à cette thématique est trop rapide. Tu mets ensemble la question du sens et la question de la littérature alors que ce n'est pas du tout la même chose. À la limite tu pourrais dire que la litt est un cas a fortiori... mais encore...
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si, la lecture numérique ne saurait être teintée par les traumas et le désire, l’impuissance ou le contrôle, les deuils et les joies ; l’algorithme est libre des affects de la nature humain
bah... a moins de modéliser ces trucs aussi... je trouve ta position dogmatique et pas argumentée. Une sorte de dogmatisme romantique selon lequel l'"humain ne peut pas être réduit à de la syntaxe»"... un peu à la Searle. Je trouve cette position fausse, naïve et en plus ici très mal argumentée.
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L’esprit humain n’est pas formalisable
ça c'est toi qui le dis... moi je ne suis pas d'accord, par ex.
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. À en croire son bagage sémantique, l’ordinateur est formel, mathématique, et rigide ; il offre une seule solution, la bonne et l’unique, au problème soumis. C’est là une extension du pr
attention: est-ce que tu parles du rapport sens-syntaxe et donc de la capacité pour un algo de "comprendre" ou alors de comprendre en particulier la littérature? Les enjeux ne sont pas les mêmes.
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rétations multiples, superposées, incompatibles, concomitantes) imitent ceux de la réalité et leur étude à partir de théories tirées de recherche en sciences humaines enrichie de surcroît la lecture humaine.
il faudrait que tu déclares d'entrée de jeu sur qui tu vas baser ta descriptoin de la lecture "humaine!. Sinon on est un peu perdu dans une théorie qdont on ne comprend pas les fondements. Aussi: parle-t-on de lecture en gnéral ou de lecture littéraire?
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littérature et de la recherche littéra
l'articulation entre lecture/littérature/algorithme n'est pas claire.
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dèles non-textuels (en se restreignant à la
selon qui?
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Nous divisons ce processus
lequel? le processus de la lecture? ou ce que tu en dis? La première partie de la lecture est un chapitre? ou plutôt sera analysée dans un chapitre. pas clair
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du signe dans le cadre d’un modèle ou système.
d'où vient cette définition?
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stylo.ecrituresnumeriques.ca stylo.ecrituresnumeriques.ca
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1) une méthode de lecture autre (actualisation et théorie-fiction) qui pense l’inhumain en tant qu’inhumain ; 2) une accélération de la dé-limitation entre ce qui est humain et ce qui ne l’est pas (la limite et son excès ou excédant) ; 3) critique de la représentation - aussi conceptualisé dans Différence et répétition comme image de la pensée par G. Deleuze - et son rapport anthropo-transcendental et légal (le problème de ce qui est fondé en droit) ; 4) une théologie de l’horreur en tant qu’un processus de désantropomorphisation (l’Un en tant que processus de tensions insolubles) implique un excédant mystique/à-venir/inhumainement transcendantal (le Dehors, le Dieu à venir de Q. Meillassoux, la Deconnection Theory de
ces 4 points sont très obscurs dans leur formulation et surtout dans leur rapport avec l'analyse de Lautréamont.
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nerf ou tension du pli de l’épistémologie sur le poétique
pas clair
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lecture singulière de Hegel par Kojève, q
ouais... bon... le rapport entre Kojève et le post-structuralisme n'est pas si direct.
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- Jun 2022
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ateliers.sens-public.org ateliers.sens-public.org
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présente différentes caractéristiques selon l’orientation, permet d’épier autrui, ou d’être présent·e artefactuellemen
Je décrivais quelque chose de semblable dans un article sur Sens public: "Voir l'invisible : Gygès et la pornographie Facebook" http://sens-public.org/articles/912/
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L’exposition indésirable est parfois une hyper-exposition sonore incidente, qui occupe un tour de parole en dépit de la volonté de l’individu concerné.
Je me demande si ce type de surexposition - ainsi que d'autres formes d'apparant dysfonctionnement du dispositif numérique - dépendent du dispositif lui-même ou juste du fait que nous ne l'avons pas encore suffisamment apprivoisé ou nous ne le sommes pas assez approprié.
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la possibilité d’explorer l’environnement par le mouvement n’est pas une caractéristique constitutive des espaces médiés
Cette observation est évidemment juste par rapport aux espaces médiés les plus répandus dans le cadre des vidéoconférences, mais je ne dirais pas que c'est une caractéristique des espaces médiés en soi. On pourrait imaginer des espaces de médiation qui impliquent la possibilité d'explorer l'environnement par le mouvement: c'est évidemment le cas des dispositifs que vous analysez dans la suite. Est-ce que les proxys kinétiques sont eux aussi des espaces médiés? Ou produisent des espaces médiés?
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stylo.ecrituresnumeriques.ca stylo.ecrituresnumeriques.ca
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(McLuhan 1964) - [Cette citation est-elle suffisante?]
non... il faut au moins citer Souchier et son concept d'énonciation éditoriale. Peut-être Bolter et Grusin. Si tu veux le concept d'éditorialisation...
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Si le refus du besoin d’autojustification est monnaie courante chez les littéraires, une polyphonie d
peut-être citer bourdieu et la notion de champ littéraire? Car il me semble que tes arguments sont très proches et la référence à bourdieu pourrait te simplifier la vie. Certaines de tes affirmations sont un peu trop rapides...
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Le projet littéraire n’est pas trivial à justifier ;
je comprends pas ce que tu veux dire avec "projet littéraire"
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révolution
attention à ce terme... très rhétorique et pas très précis. Les approches computationnelles préexistent les années 50 et l'informatique, par exemple
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ce les sciences formelles et leurs épistémès.
faut peut-être ajouter des références ou une note?
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Philippe (Ie siècle av. J.-C.)
attention! pas vrai! Méléagre 1er av jc, philippe Ier après!
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- May 2022
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souligne l
manque un r
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les petites mains
expliquer?
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(Balzac 1950, 895)
changer bibtex: c'est pas balzac qui parle. donc cite le commentateur in Balzac...
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aussi défini par Zacklad comme un type de documentarisation
oui mais il y a une opposition entre zack et moi: pour lui les deux pôles peuvent être séparés. pas pour moi - ni pour toi
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(l’obole), de l’autre son envers technique (le crâne),
faut que tu parles du tableau, sinon es références à obole et crane sont trop implicites
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les perspectives du média t
je ne comprends pas ce que veut dire "perpectives du média" ici
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(Vitali-Rosati 2018)
déplace la référence: on dirait que j'ai créé le post-structuralisme sinon
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ic
is?
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