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  1. Apr 2020
    1. Ces collaborateurs peuvent subir un stress « technologique » liés à la relation à distance et aux outils numériques mis à la disposition pour l’entreprise. Le télétravailleur est isolé et la solitude engendrée peut dans des cas extrêmes provoquer un sentiment d’exclusion et un stress. Les contraintes fortes, la transformation de la nature du travail avec une relation homme/technologie souvent intrusive, peuvent aboutir au développement de risques psychosociaux. Investi dans ses missions professionnelles, le salarié peut être tenté d’empiéter sur sa vie privée pour terminer son travail, et réciproquement.

      l'auteure expose une chaîne d'arguments défendant sa position ( le télétravail dans certaines conditions ne peut pas être considéré comme une solution pour lutter contre le burn-out )

      • stress technologique et sentiment d'exclusion
      • risques psychosociaux
      • envahissement de la vie professionnelle sur la vie privée. il s' agit la d'un argument rhétorique logos
    2. En cas de doute, on sollicitera le CHSCT (Comité d’Hygiène, Sécurité et Conditions de Travail) sur le sujet du télétravail afin d’apporter les corrections nécessaires à un environnement de travail apaisé.

      l'auteur conclut par rappeler la possibilité du recours au CHSCT, afin de bien encadrer le télétravail et d’éviter ainsi les dérives et les frustrations subies par le télétravailleur et par conséquent éviter de tomber dans le burn-out

    3. En effet, ce mode d’organisation du travail permet au collaborateur de jouir d’une autonomie dans ses missions, de diminuer les temps de trajet.

      L'auteur essaie de faire croire à l'efficacité du télétravail contre le burn-out, en présentant des arguments en faveur de cette organisation particulière du travail. il s'agit là d'un argument dialectique contre.

    4. En 2015 déjà, la loi relative au dialogue social et à l’emploi, dite loi Rebsamen, en son article 27 a consacré la reconnaissance des pathologies psychiques comme maladies professionnelles au niveau de la loi en modifiant l’article L461-1 du code de la sécurité sociale, précisant que « les pathologies psychiques peuvent être reconnues comme maladies professionnelles ». Le décret du 7 juin 2016 vient quant à lui mettre en place des mesures permettant de renforcer l’expertise médicale pour la reconnaissance des pathologies psychiques et précise les modalités applicables aux dossiers concernés.

      l'auteure fait référence à des textes de lois visant la reconnaissance du brun-out comme maladie professionnelle. il s'agit d'un argument épistémique

    5. e télétravailleur doit donc avoir les moyens de répartir son temps entre les diverses tâches qu’il a à accomplir dans le cadre de son travail et sa vie personnelle. En effet, bien qu’il soit distant de l’entreprise il reste soumis aux limites légales imposées par le Code du travail (10h par jour, 48 heures par semaine au maximum, 44 heures en moyenne sur douze semaines) et au repos quotidien minimal de 11 heures. Les télétravailleurs d’eux-mêmes ont tendance à rallonger leur temps de travail. Il est donc important que le salarié conserve une certaine liberté dans la gestion de son temps, tout en veillant à ce qu’il respecte des temps de repos et distingue bien les temps privés et professionnels. Le télétravail sera donc un outil de réduction du stress, uniquement si la déconnexion est effectuée et que la frontière vie-professionnelle/vie-personnelle est claire et respectée.

      dans cette partie de son article, l'auteure donne les précautions à mettre en oeuvre afin que le télétravail puisse être considéré comme un facteur de réduction de stress, chose qui ne sera garantit que si la frontière entre vie professionnelle et vie privée est claire et respectée.

  2. Mar 2020
    1. Télétravail et burn-out

      titre à première vue simple, mais qui cache la relation de cause à effet entre le télétravail et le burn-out.

    2. l auteur expose une chaîne d arguments défendant sa position ( le télétravail dans certaines conditions ne peut pas être considéré comme une solution pour lutter contre le burn-out )

      • stress technologique et sentiment d exclusion
      • risques psychosociaux
      • envahissement de la vie professionnelle sur la vie privée. il s' agit la d'un argument rhétorique logos