- Jan 2022
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Le télétravail a été introduit dans le Code du travail à l’article 1222-9 par la loi du 23 mars 2012 (l’article 46 de la loi dite Warsmann définit le télétravail). Cette loi prévoit des mesures de protection des données et de préservation de la vie privée. L’Accord National Interprofessionnel du 19 juillet 2005 dans son article premier donne du télétravail la définition suivante :
ici on pose le cadre juridique
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La loi n° 2016-1088 du 8 août 2016 relative au travail, à la modernisation du dialogue social et à la sécurisation des parcours professionnels (JO du 9 août 2016), instaure à compter du 1er janvier 2017 (art. 55) un droit à la déconnexion pour tous les salariés ainsi qu’une concertation relative au télétravail (art. 57).
ici on pose le cadre juridique
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- Apr 2021
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Désormais, tout le monde peut parler de n’importe quoi à n’importe qui, et cela au sein même de l’espace public. De cette manière, les conversations ordinaires des internautes sont venues se greffer aux informations médiatiques diffusées sur le web
Après avoir démontré que le contexte de discussion était un facteur important de diffusion d'une fake news, l'auteure explique q'avec l'essor des réseaux sociaux, il n'y aurait finalement plus qu'un seul contexte, celui de l'espace public...puisque que l'on peut parler à n'importe qui de n'importe quoi.
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- Feb 2021
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Que faire ? “Ouvrir un chapitre sur la régulation du marché de l’information, en concertation avec les pouvoirs politiques et les grands acteurs du net. Cela consiste à s’intéresser à la question de la visibilité des contenus” analyse-t- il. Est-il normal que certains mots-clefs renvoient prioritairement à des sites contraires à l’orthodoxie scientifique ? Les GAFA** en concertation avec les politiques ont assurément un rôle à jouer à ce sujet. “L’autre aspect, au moins aussi important, est l’éducation. Il faut se saisir de cette révolution du marché de l’information pour opérer une révolution pédagogique et offrir aux apprenants toutes les occasions pour qu’ils puissent comprendre non seulement le contenu – de la connaissance – mais aussi les raisons pour lesquelles ce contenu leur résiste”, conclut-il. L’urgence est réelle !
L'auteur expose ici clairement les faits en donnant son point de vu, le problème étant réel, il fait appel au bon sens du lecteur pour se réveiller et réfléchir lui aussi à des solutions afin de faire bouger les choses dans le bon sens. Réponse à la question argumentative, c'est clairement un oui que l'auteur donne au lecteur. Pour lui, il est impossible de rester impassible face à ce qui se passe et à la dangerosité que cela entraîne à ne pas réguler les médias.
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La rationalité objective relève de la démarche scientifique et se base sur la construction du savoir par la preuve. La rationalité subjective est du ressort de la croyance. Les croyances ont leur logique propre qu’il convient de décrypter et d’analyser mais ne relèvent aucunement d’une démarche irrationnelle. “Chaque individu a ses raisons de croire. De ces dernières, s’échafaude un système de croyance qui pose l’individu dans une situation souvent valorisante et réconfortante pour lui-même”, développe Gérald Bronner. Cela explique la méfiance qui s’installe à l’égard de la science notamment. Malgré les progrès indéniables dans toutes les disciplines et l’amélioration considérable qu’elle apporte concernant nos conditions de vie, la méfiance et la défiance s’installent. Il est toujours plus facile de croire que d’acquérir un savoir basé sur des preuves. En cela, les fausses informations (notamment en matière de santé) marquent bien souvent l’opinion de façon très profonde.
L'auteur oppose deux points de vu diamétralement opposé, il explique par l'utilisation de ces points de vu l'appartenance à une catégorie ou à une autre en foncions des raisonnements tenus par les individus, il découle logiquement dans l'argumentation. La rationalité objective représente la science, les faits logique et factuels. L'intérêt de chercher et d'avoir des preuves ne s'appuyant que sur des faits et non des sentiments. La rationalité subjective, elle représente la croyance, elle n'effectue pas de recherche et se contentera de croire ce qu'elle aura choisi en fonction de ces convictions, mais surtout ce qu'elle a envie de croire. La conclusion que nous propose l'auteur ici, c'est qu'il est plus facile (intellectuellement parlant) de croire que de chercher à savoir. Et par conséquent, il explique que les fausses informations ont la dent dure et ne disparaisse pas si facilement (Exemple les platiste (croyant la terre plate) alors que cela va faire plus d'un millénaire que nous savons que cette dernière est ronde.).
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- Jul 2020
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D’une façon générale, les socionautes7 tendent à utiliser les RSN en y gérant stratégiquement leurs relations sociales, en travaillant leur présentation de soi, leur image sociale et les impressions que les autres se font d’eux (Krämer, Winter, 2008). Les RSN sont même devenus de véritables espaces de comparaison sociale entre soi et les autres (Haferkamp, Krämer, 2011). Cependant, les internautes qui les fréquentent intensivement ont davantage tendance à effectuer des comparaisons sociales dont les résultats sont en leur défaveur (Lee, 2014). Ils sont aussi enclins à penser que les autres sont plus heureux et ont une vie bien plus agréable que la leur, ce qui leur donne un sentiment d’injustice (Chou, Edge, 2012). Ce biais conduit au déclenchement de certains processus psychopathologiques, comme des ruminations mentales, c’est-à-dire des ressassements incoercibles d’idées et de pensées affectivement négatives, qui peuvent être associées à ou produire des syndromes dépressifs (Feinstein et al., 2013).
Argument epistemique deductif qui permet de conclure que le biais de comparaison conduit a l'apparition de symptomes psychologiques negatifs.
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il parle en des termes peu élogieux du temps où il pilotait des drones en Irak, en Afghanistan, au Pakistan, au Yémen et en Somalie – où il a aidé à tuer 1.626 personnes, d’après ses estimations –, mais à présent les mots semblent lui manquer.
le thème principal : la critique du programme militaire et un argument épistémique déductif (de son expérience personnel au scandale du programme)
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- Jun 2020
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Selon une étude de l’Apec de fin 2014 citée par le ministère du Travail, à peine 23 % des cadres « débranchent » systématiquement, une fois la lumière de leur bureau éteinte.
Une autre étude mentionnée.
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Dumas et Ruiller (2014)
L'auteure cite une autre étude > Argument épistémique déductif.
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La loi n° 2016-1088 du 8 août 2016 relative au travail, à la modernisation du dialogue social et à la sécurisation des parcours professionnels (JO du 9 août 2016), instaure à compter du 1er janvier 2017 (art. 55) un droit à la déconnexion pour tous les salariés ainsi qu’une concertation relative au télétravail (art. 57).
Citation d'un article de loi relatif au droit à la déconnexion > Raisonnement épistémique.
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Le télétravail a été introduit dans le Code du travail à l’article 1222-9 par la loi du 23 mars 2012 (l’article 46 de la loi dite Warsmann définit le télétravail)
Citation de loi sur le télétravail > Raisonnement épistémique.
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Voilà pourquoi, avant de partir du postulat d’un public naïf et passif, il devient crucial d’étudier davantage les circuits conversationnels de la réception d’informations pour lesquels il existe à ce jour un manque drastique de connaissances.
L'auteure nous donne une première conclusion : les individus ont -ils suffisamment de connaissances pour recevoir toutes les informations.
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L’addiction à Internet ne figure pas dans la dernière version du Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM 5 ; APA, 2015) manuel de référence internationale pour la plupart des psychiatres et psychologues. À l’excès, ces habitudes sont étiquetées « comportements excessifs », mais ne sont pas définies comme de véritables troubles mentaux en raison, actuellement, de l’insuffisance de données dans la littérature (DSM 5 ; APA, 2015, p. 571). On manque par exemple de preuves neurobiologiques souvent nécessaires pour définir une véritable addiction. Les examens cérébraux, réalisés par IRM, de personnes développant des symptômes de dépendance montrent que les gros consommateurs d’Internet développent des processus neurobiologiques commun avec les toxicomanes et avec les personnes souffrant de dépendances pathologiques reconnues, comme celle liée aux jeux. Dans tous ces cas, leurs « pratiques addictives » activent le même système amygdale-striatum, système lié à la génèse du plaisir dans le cerveau. Cependant, ils présentent aussi de nombreuses différences, notamment dans le fonctionnement du système cérébral de contrôle inhibiteur, celui qui permet d’inhiber, par la volonté, certains de nos comportements (Turel et al., 2014). L’inhibition semblerait plus facile pour Internet. On manque également d’études cliniques sur des critères comportementaux, comme le sevrage ou la rechute, pour véritablement parler de troubles addictifs pour Internet.
Ici, les auteurs mettent en oeuvre un argument dialectique exposant les atouts et limites des diverses études menées afin de déterminer les effets addictifs à Internet. Cet argument dialectique expose diverses études aux arguments épistémiques déductifs.
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- Apr 2020
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Il faut savoir qu'une bonne lecture c'est une bonne qualité de la prise d'information, en ce sens plus il y de fixations oculaires plus on peut dire que la lecture est difficile.
Argument épistémique déductif.
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Cela conduit à une « saturation de l'information » et le lecteur est perdu dans la masse d'information, on appelle ça la « désorientation cognitive ». En cherchant à enrichir son information, le lecteur navigue dans différends niveaux d'hypertextes et finalement perd de vue son but initial. Une trop grande multiplication des sources est aussi mauvaise pour la mémorisation d'une information.
Argument épistémique déductif.
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Voilà pourquoi, avant de partir du postulat d’un public naïf et passif, il devient crucial d’étudier davantage les circuits conversationnels de la réception d’informations pour lesquels il existe à ce jour un manque drastique de connaissances.
Conclusion : il faut savoir si les personnes ont été assez éduquées pour faire la part des choses, ont ils suffisamment de connaissances ?
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Dans le domaine industriel, grâce à l’informatique, on se passe de prototype dans bien des domaines. Tout est modélisé, ce qui permet de voir immédiatement toutes les conséquences d’une modification. L’un des leaders mondiaux en la matière est l’entreprise française Dassault Systèmes. Dans un autre domaine, un comptable va utiliser aujourd’hui un logiciel qui va lui calculer automatiquement les ratios financiers. Il va utiliser un tableur pour faire ses calculs, et mettre en forme ses tableaux. Cela fait longtemps que dans les grandes surfaces la gestion des stocks se fait en temps réel : le passage en caisse met à jour automatiquement le stock. L’information juridique est disponible sur le web. Là où il fallait soit une connaissance encyclopédique, soit une multitude de codes, il suffit aujourd’hui de rechercher l’information sur internet. sas.cmd.push(function() { sas.render("52019"); // Format : Pave 3 300x250 }); .moakq5ea42aff36126 { margin-left: auto; margin-right: auto; padding: 0px; } @media screen and (min-width: 1201px) { .moakq5ea42aff36126 { display: block; } } @media screen and (min-width: 993px) and (max-width: 1200px) { .moakq5ea42aff36126 { display: block; } } @media screen and (min-width: 769px) and (max-width: 992px) { .moakq5ea42aff36126 { display: block; } } @media screen and (min-width: 768px) and (max-width: 768px) { .moakq5ea42aff36126 { display: block; } } @media screen and (max-width: 767px) { .moakq5ea42aff36126 { display: block; } } Tous les métiers peuvent être impactés. Ainsi, dans la restauration, les serveurs disposent de tablettes. Ils y inscrivent les commandes et un bon est émis au bar ou en cuisine, permettant de lancer la commande. Ou encore c’est en saisissant les commandes sur une caisse que le processus se déclenche. De même, les livreurs de pizzas suivent leur chemin sur leur smartphone. Les chauffeurs de VTC sans expérience peuvent également utiliser une application pour les guider.
L'auteur donne plusieurs exemples dans différents domaines. Deux niveaux peuvent être soulignés:
- la temporalité: "immédiatement", "automatiquement", "en temps réel"...
- la facilité: "un logiciel qui va calculer", "met à jour automatiquement", "sans expérience", "disponible"...
L'auteur souligne l'accès facile à tout, par tous. Sous entend t il que nous allons vers une perte des compétences et des savoir-faire remplacés par le numérique ?
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C’est un fait que cette évolution technologique se diffuse à de nombreux niveaux dans l’économie.
"C'est un fait" c'est argument épistémique n'est pas opposable. Au 21ème s, le numérique est partout et utilisé au quotidien.
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www.happyneuron.fr www.happyneuron.fr
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En définitive, il semble donc bien que les séances d'informatique ont contribué à une (re)construction identitaire effective de la PA d'abord par "une image positive de soi"; par le sentiment d'exister via la maîtrise d'un dispositif à priori complexe et perçu par certains comme inaccessible pour "des gens comme eux" et via aussi la reconnaissance que leur porte subitement leur environnement social et familial; par le fait de retrouver de la confiance dans leurs actes, en faisant preuve d'autonomie et d'initiative.
Validation de l'hypothèse 1 : "l'environnement technologique que nous proposons favorise sinon encourage les interactions de l'usager avec son environnement (en suscitant par exemple, des discussions ou des pratiques collectives autour de l'outil), et qu'il permette aussi à la personne d'obtenir en retour des signes de légitimité, de valorisation par l'utilisation d'un dispositif innovant."
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par la mobilisation individuelle vers et dans un collectif d'orientation (cas du journal informatisé) où chacun, dans un travail coopératif apporte sa contribution à la composition finale et enfin par l'acquisition ou la remobilisation de compétences à partir de la pratique (technique, d'organisation, dextérité sensori-motrice, rédactionnelle, de planification pour la préparation du journal)
Validation de l'hypothèse 2 : "à partir de ces différents apports qu’il pourra ajuster, faire évoluer son rôle, sa fonction et sa contribution dans l'institution et dans le champ social"
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En fait, ce sont toutes les activités, les tâches qui se passent autour, et pas seulement dans, l'atelier informatique, qui "éveilleraient" intellectuellement la PA. Plus précisément, la confection du journal avec l'ordinateur amène les résidents à réfléchir bien en amont de la réalisation informatisée du journal, et à discuter et à échanger bien au-delà des seules séances de formation. Il y a ainsi tout un processus de maturation, de conception, de correction qui peut se dérouler sur une semaine, entre les diverses séances de formation. Ces "cogitations" incessantes obligent les PA à bien réfléchir au document qu'ils veulent intégrer à la mouture finale du journal. Pour cela, ils rédigent plusieurs brouillons papiers en étant très attentifs aux idées, à leur organisation et aussi au style et à l'orthographe. Ils vont par exemple rechercher des informations dans des ouvrages, vérifier l'orthographe dans les dictionnaires, se remémorer d'expériences passées... L'activité de PAO exige alors diverses compétences : de réflexion, de composition, de structuration, de correction, de documentation. Bref c'est une intense activité cognitive qui occupe et stimule les résidents durant les semaines qui précèdent le bouclage de l'édition. «Je fais à chaque fois des petits brouillons, je les écris à l'avance. Je pense à une idée me documente éventuellement, je rédige le sujet, regarde sur le dictionnaire pour ne pas me tromper car à notre âge on ne fait plus trop attention à ça
Stimulation et développement cognitif grâce à l'utilisation du logiciel, mais aussi grâce l'anticipation du travail qu'il est nécessaire de faire pour arriver à la finalité de l'activité. Le logiciel développe donc un environnement stimulant.
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la messagerie donne un moyen virtuel de renforcer les liens sociaux existants ou d'augmenter ceux qui avaient quelques difficultés à s'accomplir en raison d'obstacles géographiques ou personnels (activités professionnelles qui rend la disponibilité de la fille ou du fils difficile, contraintes de mobilité...)
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Les observations de suivi des personnes sur une journée (relevés d'activité) ainsi que les observations par pointage de présence et d’attitude des tableaux d’activité indiquent (Oudart, 2005) (Michel et Al, 2006) globalement que l'activité informatique n'a pas modifié la dynamique d'action des PA sur la journée (deux pic d'activité : au moment du repas de midi et entre 15 et 17 h) mais qu'ils s'orientent sur des activités plus collectives. Les observations montrent également que les résidents pratiquent équitablement les activités individuelles et collectives.En ce qui concerne les pointages de présence et d’attitude des tableaux d’activité (participation des résidents aux ateliers de l’EHPAD), on observe (Michel et Al, 2006) (Oudart, 2005): ??Avant la stimulation; de très fortes participations aux activités d'expression/communication et socioculturelles; et très peu aux activités manuelles, cognitives et physiques. ??Après la stimulation; une répartition globalement conservée à la différence près que les participants sont beaucoup plus actifs (au début 8,17 participations par mois aux activités pour les résidents Mnésis pour 13,36 après les stimulations informatiques). L'augmentation est particulièrement marquée sur les ateliers socioculturels, expression & communication, mais aussi, et c'est une nouveauté, sur les activités manuelles et physiques.
Conclusion générale en ce qui concerne la participation aux activités. Constats : 1) les PA ne font pas plus d'activités qu'auparavant mais plus d'activités collectives 2) les activités socio-culturelles, d'expression et communication ainsi que les activités manuelles et physiques ont subies une augmentation de participation.
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En confrontant l’ensemble des résultats il semble donc qu'il y ait bien une incidence plutôt positive de l'usage de l'environnement technologique sur les PA. Cet usage permet de compenser, d'estomper ou de pallier certains déficits ou de réactiver certaines capacités et certains potentiels que les PA utilisent dans leur vie quotidienne. Ces capacités peuvent se situer à un niveau psychologique (reconnaissance et valorisation par les autres), cognitif (stimulation), social (maintien/accroissement du lien social et de l'intégration sociale) ou moteur (par l'ouverture virtuelle que les TIC apportent sur l'environnement).Elles leur donnent également accès à une maîtrise du monde, mais peuvent aussi évoquer une émotion plus profonde liée à l’idée qu’on est en train de découvrir, d’apprendre un nouveau monde, et au final de s'adapter et de s'intégrer à ce nouveau monde (reconnaissance sociale).
Conclusion générale de l'étude, qui reprend en grande partie aux hypothèses énoncées.
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Toute technique est à la fois remède et poison, émancipation et aliénation. Réfléchir aux conséquences de l’externalisation de la mémoire humaine ne date pas d’hier. Au Ve siècle avant notre ère déjà, Socrate, le père de la philosophie, traitait du sujet dans le Phèdre, un dialogue écrit par Platon. « Dans ce texte fameux, Socrate évoque un mythe égyptien, celui du dieu Theuth qui aurait inventé l’écriture, laquelle serait à l’origine de la puissance des Égyptiens, explique Bernard Stiegler. Lorsque Theuth présente son invention au roi Thamous, celui-ci lui répond que cette mémoire artificielle va affaiblir la mémoire véritable, celle par laquelle l’homme pense par lui-même et invente, et qu’elle va produire une illusion de savoir, l’apparence de la sagesse. En fait, Socrate ne dit pas qu’il ne faut pas fréquenter les livres, bien au contraire, mais que les livres peuvent être toxiques si l’on n’en a pas une pratique raisonnée. »
La réflexion autour des conséquences de l'externalisation de la mémoire, au travers de l'écriture, des livres, et maintenant des outils numériques, sur notre mémoire interne se perpétue depuis des millénaires ; il en était déjà question dans la mythologie égyptienne et dans la Grèce antique.
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Le Web, super-mémoire du mondeSurtout, ordinateurs, smartphones et tablettes permettent d’accéder en un clin d’œil à la super-mémoire du monde qu’est devenu le Web et d’y treuiller à tout moment des savoirs « copiables et collables » qu’il n’est plus indispensable d’apprendre par cœur. Depuis la fin du XXe siècle, le processus d’extériorisation de la mémoire humaine, jadis lent et progressif, s’est donc brusquement accéléré et massifié. Jamais notre mémoire ne s’est trouvée à ce point hors de nos têtes. Un disque dur externe de quatre téraoctets coûtant moins de 200 euros, « tout un chacun ou presque peut désormais tenir entre ses mains un équivalent numérique de la Bibliothèque nationale de France (BNF), laquelle contient environ 14 millions d’ouvrages, indique Jean-Gabriel Ganascia, professeur d’informatique à l’UPMC et chercheur au LIP61. Le volume total du Web, qui vient de franchir la barre du milliard de sites, a quant à lui été évalué en 2012 à 2,8 milliards de téraoctets, soit à peu près 200 millions de BNF. Et les choses ne feront qu’augmenter. Dès 2015, la Toile représentera un demi-milliard de BNF ! Notre époque est la première à disposer de si gigantesques capacités de stockage et de traitement des données », à tel point que la mémoire, au cœur de l’activité d’entreprises comme Microsoft, Apple, Google ou Facebook, est devenue l’un des principaux enjeux industriels du XXIe siècle.
Premier argument s'appuyant sur le volume inégalé de la mémoire du WEB, et sur les enjeux industriels qui en découlent.
Nous sommes passés d'une externalisation de la mémoire humaine indexée sur les capacités purement humaines (dessins, écriture...) à une externalisation accélérée par les outils numériques de plus en plus rapides, et avec des capacités de stockage inégalées.
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Ce type d’avertissement ne fonctionne pas pour tous
En utilisant le témoignage d'une femme, il essaye de prouver que l'application ne remplit pas ses fonctions.
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largement limité mon usage du téléphone en soirée, sans l’arrêter complètement.
Voici une première réponse à sa problématique. Pour la 3ème fois l'auteur essaye de convaincre de l'inadapté de l'appli.
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En 2015 déjà, la loi relative au dialogue social et à l’emploi, dite loi Rebsamen, en son article 27 a consacré la reconnaissance des pathologies psychiques comme maladies professionnelles au niveau de la loi en modifiant l’article L461-1 du code de la sécurité sociale, précisant que « les pathologies psychiques peuvent être reconnues comme maladies professionnelles ». Le décret du 7 juin 2016 vient quant à lui mettre en place des mesures permettant de renforcer l’expertise médicale pour la reconnaissance des pathologies psychiques et précise les modalités applicables aux dossiers concernés.
l'auteure fait référence à des textes de lois visant la reconnaissance du brun-out comme maladie professionnelle. il s'agit d'un argument épistémique
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Dans ses travaux, il explique que nous ne sommes pas des êtres rationnels qui prennent des décisions maximisant notre utilité , mais que nous sommes “victimes” de biais.
Nous sommes victimes de bais cognitifs selon D.Kahneman - éminent économiste (donne du crédit à l'argument). Les dirigeants des GAFA l'ont compris lors d'une master class avec D.Kahneman en 2008 sur le système cognitif. L'auteure en déduit que les GAFA utilisent donc les sciences cognitives pour nous manipuler.
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L’addiction à Internet ne figure pas dans la dernière version du Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM 5 ; APA, 2015) manuel de référence internationale pour la plupart des psychiatres et psychologues. À l’excès, ces habitudes sont étiquetées « comportements excessifs », mais ne sont pas définies comme de véritables troubles mentaux en raison, actuellement, de l’insuffisance de données dans la littérature (DSM 5 ; APA, 2015, p. 571). On manque par exemple de preuves neurobiologiques souvent nécessaires pour définir une véritable addiction. Les examens cérébraux, réalisés par IRM, de personnes développant des symptômes de dépendance montrent que les gros consommateurs d’Internet développent des processus neurobiologiques commun avec les toxicomanes et avec les personnes souffrant de dépendances pathologiques reconnues, comme celle liée aux jeux. Dans tous ces cas, leurs « pratiques addictives » activent le même système amygdale-striatum, système lié à la génèse du plaisir dans le cerveau. Cependant, ils présentent aussi de nombreuses différences, notamment dans le fonctionnement du système cérébral de contrôle inhibiteur, celui qui permet d’inhiber, par la volonté, certains de nos comportements (Turel et al., 2014). L’inhibition semblerait plus facile pour Internet. On manque également d’études cliniques sur des critères comportementaux, comme le sevrage ou la rechute, pour véritablement parler de troubles addictifs pour Internet. 9Cependant une littérature relativement récente s’est développée autour de ce que certains chercheurs nomment tout de même « addictions comportementales » à Internet (Griffith et al., 2016). Celles-ci peuvent être définies comme une habitude répétitive dont l’individu a du mal à se soustraire et qui accroît le risque de maladie et/ou est associée à des problèmes personnels ou sociaux. Elle est souvent ressentie négativement comme une perte de contrôle dans laquelle l’individu a conscience des risques psychologiques et sociaux. En simplifiant, il existe trois grands courants de recherche.
Etat de la recherche concernant le classement de l'addiction à internet comme une pathologie en soi. Habillement, par des arguments épistémiques emboités, les auteurs nous montre que la recherche évolue sur le sujet et qu'un nouveau champ semble s'ouvrir autour de la thématique des addictions à internet.
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En conséquence, le Louvre a décidé d’avancer la mise en place de la réservation obligatoire pour tous
Argument : le numérique permet de réserver en ligne à l'avance. Et cela devient même une obligation dans certains musées et tend à se généraliser. Donc le numérique devient même indispensable.
// Raisonnement : des musées imposent la réservation. La réservation se fait en ligne (donc impose le numérique) donc le numérique est indispensable au musée.
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- Mar 2020
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eux encore, la technologie a clairement un impact positif sur notre capacité à nous concentrer.
conclusion de l'auteur à l'encontre de l'étude Microsoft: la technologie en faveur de la concentration, c'est toujours un argument épistémique déductif.
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Désormais, tout le monde peut parler de n’importe quoi à n’importe qui, et cela au sein même de l’espace public. De cette manière, les conversations ordinaires des internautes sont venues se greffer aux informations médiatiques diffusées sur le web
La prise de parole à été libéré sur les réseaux sociaux pour plusieurs raisons. En effet, internet permet aujourd'hui aux individus de donner leur opinion en toute sécurité, grâce à l'anonymat par exemple. Les échanges des internautes sont devenus public au fil du temps et sont donc maintenant mélangés aux informations médiatiques.
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Dans son étude, Laurent Taskin (2006) a observé l’émergence de nouvelles normes de contrôle social.
Première partie d'argumentation commence par une étude. Argument 1 - épistémique déductif
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Selon une étude de l’Apec de fin 2014 citée par le ministère du Travail, à peine 23 % des cadres « débranchent » systématiquement, une fois la lumière de leur bureau éteinte. Près de neuf sur dix estiment que les outils connectés contribuent à les faire travailler hors de l’entreprise.
Encore une étude pour cette 3ème partie d'argumentation. Chacune des parties commencent bien par la citation d'une étude. Cela donne de la véracité à ses propos.
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Le télétravail ne doit pas devenir uniquement un outil de flexibilité risquant de détruire les identités professionnelles et menaçant la performance et la capacité d’agir du groupe de travail. Le télétravail « gris » correspond à un « débordement » des activités professionnelles induit par les diverses sollicitations (mails, smartphone, forums…). (Y. Lasfargue Obergo)
Registre épistémique toujours présent avec une argumentation appuyée par une étude.
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Dumas et Ruiller (2014) quant à eux s’intéressent aux frontières vie personnelle/vie professionnelle.
Deuxième partie d'argumentation, qui commence toujours dans un registre épistémique avec la citation d'une étude.
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Le télétravail a été introduit dans le Code du travail à l’article 1222-9 par la loi du 23 mars 2012 (l’article 46 de la loi dite Warsmann définit le télétravail). Cette loi prévoit des mesures de protection des données et de préservation de la vie privée. L’Accord National Interprofessionnel du 19 juillet 2005 dans son article premier donne du télétravail la définition suivante :
Nouvelle situation de loi. On reste dans le registre épistémique.
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La loi n° 2016-1088 du 8 août 2016 relative au travail, à la modernisation du dialogue social et à la sécurisation des parcours professionnels (JO du 9 août 2016), instaure à compter du 1er janvier 2017 (art. 55) un droit à la déconnexion pour tous les salariés ainsi qu’une concertation relative au télétravail (art. 57).
L'auteur cite rapidement un texte de loi. Cela donne un cadre légal à son article. Cela nous place tout de suite dans un registre épistémique.
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on parle d'une lecture profonde et attentive. La lecture du Web, elle, n'est pas linéaire. C'est une lecture sélective de recherche d'information qui doit être rapide et efficace
1ère argument qui irait dans le sens "oui, mon cerveau agit différemment avec les écrans et internet" déductif car démontré par l'expérience énoncé ci dessus
Même si c'est implicite et qu'on pas le rapport en lui même pour vérifier à 100% la démarche, Thierry Baccino est un professeur à paris 8 et c'est un laboratoire connu je pense qu'on peut considérer que c'est très fiable
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Les députés s’intéressent de près à la notion de burn-out et sa reconnaissance en tant que maladie professionnelle
Cette introduction et les trois paragraphes suivants ("Le burn-out au cœur des débats", "Le burn-out en bref" et "Des responsabilités partagées") viennent poser toutes les notions nécessaires à une compréhension claire et précise de ce qu'est le burn-out : définition, historique rapide de l'apparition de la notion, débats, y compris législatifs, autour de la question de sa reconnaissance.
On est du côté des arguments de type épistémique, plus spécifiquement déductif car s'appuyant principalement sur des textes de loi, donc à forte valeur persuasive.
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