- Apr 2020
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C’est beaucoup
L'auteur pose le cadre quant au "trop" de temps passé sur son téléphone portable en le comparant au temps qui aurait pu être consacré à du bon temps.
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Car c’est aussi ça qu’est devenu le téléphone : un paquet de cigarettes numérique qu’on dégaine pour avoir quelque chose à faire de ses mains, un palliatif à la torpeur ou à la gêne toujours à portée de doigts.
L'auteur fait un raccourci en comparant le smartphone à un paquet de cigarette. Ainsi il combat l'idée de la maitrise du "temps perdu sur le smartphone" en invoquant l'addiction. De ce fait, il ouvre le débat de l'addiction au smartphone
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Est-ce à cause des « dark patterns », des techniques insidieuses imaginées par les développeurs d’application pour nous forcer à revenir et à réactualiser sans cesse et souvent en vain nos applications ?
De nouveau, il se défend de son comportement addictif a son téléphone en soupçonnant "les développeurs"
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Ce type d’avertissement ne fonctionne pas pour tous
En utilisant le témoignage d'une femme, il essaye de prouver que l'application ne remplit pas ses fonctions.
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largement limité mon usage du téléphone en soirée, sans l’arrêter complètement.
Voici une première réponse à sa problématique. Pour la 3ème fois l'auteur essaye de convaincre de l'inadapté de l'appli.
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je passerai
conditionnel… Une deuxième fois, il fait douter le lecteur quant à l'efficacité de la nouvelle application en employant le conditionnel
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avec son téléphone, y compris quand ce sont des choses enrichissantes ou nécessaires.
Il émet ses premiers doutes quant à l'efficacité de l'application "temps d'écran"
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est contestable
L'auteur essaye de convaincre le lecteur que tout le temps passé sur son smartphone est à bon escient
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Tant et si bien
Dans cette 2ème partie de l'argumentation, l'auteur fait le lien entre le constat qu'il fait du trop plein d'écran et la raison de la mise en place d'un contrôle de celui-ci
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Je ne suis pas le seul à ressentir cela
Il généralise son cas personnel en citant le témoignage d'UNE personne
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Il faut dire que je travaillais, et que je travaille beaucoup sur mon smartphone.
L'auteur se défend de la surutilisation de son smartphone en invoquant son travail.
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Au lieu de quoi
opposition du "bon temps" (celui pas passé sur téléphone portable) et le "temps perdu" (celui passé sur son téléphone)
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