- May 2021
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un nombre croissant de personnes cherchent à s’en déconnecter.
L'auteure présente via c'est "faits" le besoin de déconnexion. En revanche, ces faits s'apparentent plus à des généralités et des opinions en l'absence de source pour corroborer ces arguments.
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- Jul 2020
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Intégrer un modèle gratuit de formation, le faire accepter aux comités de direction, aux CE mais aussi aux collaborateurs qui n’ont pas tous la motivation pour passer du temps régulier à se former. C’est ce qu’on appelle l’accompagnement au changement je crois !
Arguments sur les nouvelles contraintes dont doit faire face le responsable de formation lors de la mise en place d'un nouveau modèle de formation.
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Nous avons besoin que les collaborateurs s’impliquent. La vitesse, l’accélération du monde qui nous entoure entraine la nécessité de se former vite et bien, toujours plus vite. Pour l’entreprise, il s’agit de disposer d’une main d’œuvre toujours employable et compétitive par rapport à ses concurrents. Pour les apprenants, il s’agit de rester employables ou de leur permettre d’atteindre les objectifs qu’ils se sont fixés en termes de projet professionnel.
Arguments épistémiques
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considérer le programme des drones comme un abus de pouvoir inutile, fondé sur des mensonges, et qui a engendré une prolifération de combattants ennemis auxquels ils ne peuvent pas faire face.
c'est le PV de l'inefficacité, et même de la toxicité, du programme : avoir renforcé le terrorisme, c'est la conséquence des attaques par drones
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"frappes signatures", lors desquelles on choisit une cible en fonction de son comportement plutôt que de son identité. Grosso modo, si l’individu se conduit comme un combattant et qu’il agit comme tel, la CIA lui envoie un missile Hellfire. "Ce n’était pas très précis"
relatif au PV sur les erreurs liés à cette guerre des drones. argument épistémique lié à la technique d'identification dont on peut déduire l'ampleur des dégats
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- Jun 2020
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Une enquête nationale de victimation en milieu scolaire – réalisée par la Direction de l’évaluation, de la prospective et de la performance (DEPP) en 2013 – chiffrait à 7,4 % le nombre d’élèves ayant fait l’objet de surnoms méchants et à 9,7 % ceux ayant fait l’objet d’insultes envoyées par SMS ou sur les réseaux sociaux. Cette étude précisait que ces insultes pouvaient être en lien avec l’origine, la religion, la tenue vestimentaire ou encore l’apparence physique, et que la cyberviolence semblait davantage toucher les filles que les garçons.
Après avoir défini l'insulte, présentée comme une première facette de la cyberviolence verbale, et ses différentes catégories, l'auteure s'appuie sur les résultats d'une enquête nationale de victimation en milieu scolaire pour illustrer quantitativement les d'élèves qui en sont victimes.
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L’automutilation digitale a été révélée en 2013 suite au suicide de la jeune Hannah Smith, initialement imputé à un cyberharcèlement dont elle aurait été victime. Mais l’enquête a révélé que les insultes et incitations au suicide qu’elle recevait en ligne émanaient principalement d’elle-même. La jeune fille postait des questions sur le réseau social Ask.fm (ex : « Que pensez-vous de moi ? ») et y répondait elle-même via un compte anonyme qu’elle avait ouvert : « Va mourir », « attrape un cancer », « bois de l’eau de Javel »… Une étude réalisée en 2017 auprès de 6 000 élèves américains âgés de 12 à 17 ans a révélé que 6 % d’entre eux avaient déjà publié anonymement en ligne des propos blessants à leur propre encontre. Parmi ces 360 élèves à s’être adonnés à cette pratique, 51 % ont déclaré ne l’avoir fait qu’une seule fois, 36 % ont déclaré l’avoir fait à plusieurs reprises et 13 % ont reconnu le faire régulièrement (Patchin, Hinduja, 2017).
L'automutilation digitale, 4ème forme de cyberviolence verbale présentée par l'auteure, est présentée et expliquée par le biais du cas concret d'Hannah Smith (2013). Ce phénomène est ensuite approfondie par le biais d'une étude qui révèle le taux d'élèves ayant participé à cette pratique et à quelle fréquence.
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L’étude The World Unplugged a demandé à un millier d’étudiants provenant d’une douzaine d’universités des cinq continents, de faire l’expérience de 24h de déconnexion médiatique (Moeller et al., 2012). Les résultats ont été univoques : une nette majorité d’étudiants a admis l’échec pur et simple de leurs efforts de déconnection. Beaucoup d’entre eux se sont alors auto-déclarés « addicts » aux médias et technologies de communication numérique.
Cette étude pourrait être un raisonnement épistémique, dans le sens qu'il traite d'une certaine conformité au réel, et déductif, car il "consiste à appliquer une règle à une situation particulière". Concrètement, cette étude prend appuie sur une expérience réalisée par "un millier d'étudiants d'une douzaine d'université". Les résultats sont que pour une "nette majorité", il est impossible de se déconnecter de leurs appareils numériques plus de 24 heures. Les auteurs en conclus en recoupant cette expérience avec une autre étude publiée par Hofmann et ses collègues (2012) que le désir d'utiliser les RSN serait plus fort que d'autres activités addictives, comme le tabac, par exemple. De ce fait, je pense qu'il s'agit, ici, d'un argument épistémique déductif. Cependant, le résumé de cette étude ne mentionne pas le profil des étudiants, ni leur situation géographique exacte. Comme mon collègue, je me permet d'appliquer une véracité de niveau 3.
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Le sexe tel que nous le connaissons est sur le point de changer. Nous vivons déjà une nouvelle révolution sexuelle, grâce aux technologies qui ont transformé la façon dont nous sommes reliés les uns les autres dans nos rapports intimes. Mais nous croyons qu’une deuxième vague de technologies sexuelles commence à se manifester, et qu’elles transforment la façon dont certaines personnes perçoivent leur propre identité sexuelle.
Il s'agit d'un point de vue des auteurs.Selon ces dernières il y'a une évolution de la sexualité grâce à la technologie. Cette évolution est divisé en deux partie. La première a changé la forme des rapport intime tandis que la deuxième tend à construire une identité sexuelle différente "digisex".
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- Apr 2020
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Pour Marcel Lebrun, "l'essentiel est de proposer à l'étudiant des activités et de l'interactivité et ce, aussi bien à distance qu'en présentiel". Et de promouvoir des dispositifs hybrides qui mêlent théorie et pratique, compétences et savoirs, mais aussi qui créent des liens entre la classe et la société. Autrement dit, une véritable classe inversée ne se contente pas de donner à lire ou regarder des documents qu'on explique ensuite en cours.
argument : pour appliquer avec succès cette pédagogie, il faut créer des dispositifs permettant différentes activités et de l’interactivité
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Pas de pensée sans mémoire biologiqueVingt-cinq siècles plus tard, la leçon, appliquée au numérique, vaut toujours, estime Bernard Stiegler. Toute technique, depuis que l’homme a commencé à devenir homme en taillant des silex, « est en effet ambivalente comme un pharmakon (un médicament, en grec). Toute technique est à la fois remède et poison, émancipation et aliénation ». Ainsi, les mémoires artificielles offertes par les actuelles technologies de l’information remédient aux failles de notre mémoire biologique, mais nous font entre autres désapprendre l’orthographe avec les systèmes d’auto-complétionFermerFonctionnalité d’Internet consistant à proposer des saisies afin d’aider l’utilisateur dans ses choix..
Cet argument de Bernard Stiegler pourrait se résumer en "il y a du bon à prendre en chaque chose"...mais pas seulement.
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Toutefois, depuis l’irruption d’Internet et des technologies du numérique, « la mémoire nous échappe, commente le philosophe Bernard Stiegler, directeur de l’Institut de recherche et d’innovation du Centre Georges-Pompidou et président de l’association Ars Industrialis. De plus en plus souvent, nous nous dépossédons d’éléments de notre mémoire (numéros de téléphone, adresses, règles d’orthographe et de calcul mental…) que nous confions à des machines presque toujours à portée de nos mains et dont les capacités doublent tous les dix-huit mois pour le même prix, selon la loi de MooreFermerLoi formulée en 1965 par Gordon E. Moore, président honoraire de la société Intel.. »
Bernard Stiegler avance que nous déléguons à des outils numériques des éléments que nous aurions, autrefois, stockés dans notre mémoire.
Cet argument est en partie vrai (épistémique), en partie dialectique, son auteur émettant son opinion.
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L’étude The World Unplugged a demandé à un millier d’étudiants provenant d’une douzaine d’universités des cinq continents, de faire l’expérience de 24h de déconnexion médiatique (Moeller et al., 2012). Les résultats ont été univoques : une nette majorité d’étudiants a admis l’échec pur et simple de leurs efforts de déconnection. Beaucoup d’entre eux se sont alors auto-déclarés « addicts » aux médias et technologies de communication numérique.
La véracité est moyenne car malgré la diversité géographique et culturelle, l'âge et le contexte des sujets est restreint.
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Une utilisation excessive du smartphone est souvent associée à des « hallucinations » sonores et à des perceptions de « signaux fantômes » en provenance du téléphone. Les mobinautes pensent avoir perçu un signal indiquant un appel entrant, un message ou une notification de RSN, alors qu’en fait, aucun signal n’a été émis (Tanis et al., 2015). Ce phénomène, source de stress, est répandu puisque la moitié des mobinautes étudiés perçoivent des signaux fantômes au moins une fois par semaine. Il est particulièrement observé chez les mobinautes ayant un besoin de popularité développé, qui considèrent dès lors le moindre signal du smartphone comme un possible indicateur de leur degré de popularité. Tanis et ses collègues avancent deux explications au phénomène d’hallucinations sonores. Premièrement, ces signaux proviennent d’une utilisation intensive du smartphone susceptible de provoquer des erreurs d’interprétation des autres bruits de l’entourage, et donc des hallucinations bénignes. Deuxièmement, le smartphone est devenu tellement important aux yeux des mobinautes qu’ils seraient à l’affût du moindre signal (Tanis et al., 2015).
Des hallucinations liés aux smartphones sont sources de stress et d'anxiété.
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Selon Utz, Tanis et Vermeulen (2012), qui ont étudié un grand nombre de besoins et motivations psychosociaux conduisant à une forte activité sur les RSN (besoin d’appartenance sociale, estime de soi, vanité, sentiment ressenti par l’individu selon lequel « tout lui est dû »), c’est le besoin de popularité qui en est le prédicteur le plus puissant et le plus constant. Variable individuelle stable, il s’agit du besoin d’être aimé et reconnu par le plus grand nombre. Pour satisfaire ce besoin, les personnes sont motivées à se conformer à la pression de leurs pairs (Santor, 2000) et à adopter des comportements qui donnent l’impression qu’elles sont effectivement « populaires » (e.g. choix très soigneux de la photo de profil, descriptions de soi valorisantes) (Utz et al., 2012). Ces derniers auteurs estiment que les RSN sont un espace d’expression idéal pour les internautes ayant un fort besoin de popularité car ils permettent de s’exposer facilement au plus grand nombre et facilitent la mise en œuvre de stratégies autocentrées de présentation de soi (e.g. amélioration de son profil pour donner l’impression d’être populaire, révélation sur soi…) tout en communiquant avec les autres. Les personnes déjà populaires hors ligne et avec une haute estime de soi cherchent et parviennent souvent à avoir une certaine popularité sur les RSN. Mais gagner en popularité peut aussi être possible pour les personnes ayant une faible estime de soi et qui se considèrent comme impopulaires hors ligne. Un mécanisme de compensation sociale se met alors en place les conduisant à rechercher à être plus populaires sur les RSN (Zywica, Danowski, 2008). Sans doute est-ce leur impopularité hors ligne, source de frustration et d’émotions négatives qui les incite à retourner fréquemment sur les RSN pour gagner toujours davantage de popularité en ligne, avec le risque toutefois d’enclencher le cercle vicieux dont nous avons déjà parlé. 19Une activité soutenue sur les RSN s’explique également par un fort besoin de reconnaissance sociale (Dang-Nguyen et al., 2015) que les socionautes n’ont pas forcément dans la vie hors ligne. Les RSN pourraient alors, de nouveau, agir comme un dispositif de compensation sociale. La volonté de satisfaire ce besoin incite d’abord les socionautes à rendre fortement visible leur image en ayant notamment le maximum de contacts. Ensuite, ils vont chercher de multiples signes de cette reconnaissance sociale. Meshi et ses collègues (2013) estiment que les like, tweet, partages et autres messages sont autant de signes de reconnaissance sociale et deviennent une véritable monnaie d’échange affectif entre personnes en contact.
Argumentaire expliquant une utilisation massive des rsn :
- le besoin de popularité
- le besoin de reconnaissance sociale La distinction n'est pas explicite et ces deux besoins pourrait être corrélés : quelqu'un qui cherche à être populaire cherche aussi certainement en partie de la reconnaissance sociale.
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L’étude The World Unplugged a demandé à un millier d’étudiants provenant d’une douzaine d’universités des cinq continents, de faire l’expérience de 24h de déconnexion médiatique (Moeller et al., 2012). Les résultats ont été univoques : une nette majorité d’étudiants a admis l’échec pur et simple de leurs efforts de déconnection. Beaucoup d’entre eux se sont alors auto-déclarés « addicts » aux médias et technologies de communication numérique. 6Ces conclusions ne sont pas étonnantes au regard des travaux de Hofmann et ses collègues (2012). En effet, parmi les multiples besoins et désirs que nous avons au quotidien (manger, boire, dormir, fumer, avoir des contacts sociaux, besoin d’hygiène, faire du sport…), le désir d’utiliser les médias (consulter ses e-mails, surfer sur le Web, aller sur les RSN, regarder la télévision) est celui pour lequel notre capacité de résister serait la plus faible. Non seulement le désir d’utiliser les médias serait plus fort et plus fréquent dans une journée que, par exemple, le désir de tabac, mais il serait, en outre, plus difficile à contrôler que les désirs de manger ou d’avoir des activités sexuelles (voir figure 1).
On peut penser à un argument rhétorique dont l'objet est de prouver la théories des auteurs. En effet, se déclarer addicts n'est pas être addict mais les sources citées sont convaincantes pour autant.
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conduit à optimiser la présence de cet outil durant les quatre semaines de prêt car jusqu’au dernier jour, Nao était programmé dans mon cahier journal de classe. Une manière de répondre à la demande des enfants qui se sont vite habitués à cet atelier supplémentaire mesurant la chance qu’ils avaient de pouvoir interagir avec un robot et de travailler autrement.
À mon sens, cette partie du texte contient un argument qui est à la fois déductif (si le robot est présent jusqu'au dernier jour c'est à la fois pour "coller" à l'expérience mais aussi par ce que les enfants se sont habitués à sa présence) mais c'est aussi un argument rhétorique dans le sens ou les enfants mesurent la chance (pathos) qu'ils ont de travailler avec un robot et donc "autrement" comme le souhaitait l'auteure.
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On peut certainement aller plus loin, et les limites sont seulement celles de notre créativité pédagogique et des compétences visées. Mais elles se heurtent tout de même à la somme de travail qu’a représenté la construction des programmes pour chaque atelier. Prototyper une séquence pédagogique était une activité nouvelle, elle supposait d’anticiper les réactions des élèves, de tenir compte des temps de réalisation des tâches, des aides et des répétitions de consignes à envisager. Un travail hautement réflexif qui imposait une phase de préparation non négligeable pour ne rien omettre.
Argument comparatif et déductif, l'auteure a testé la mise en place de plusieurs activités ce qui lui permet de dire qu'encore d'autres types d'exercices / ateliers sont possibles en "collaboration" avec le robot, Nao. Mais elle ajoute aussi une nuance à son propos : pour pouvoir utiliser efficacement l'outil il faut déjà savoir comment le programmer, l'utiliser et l'intégrer aux différents exercices. Cela demande un investissement supplémentaire du professeur et l'appui du réseau Canopé qui prête le matériel (le petit Nao).
Ce bilan d'expérimentation permet une fois de plus de répondre en partie à la question posée au départ, du moins d'ajouter des informations utiles pour pouvoir y répondre.
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e télétravailleur doit donc avoir les moyens de répartir son temps entre les diverses tâches qu’il a à accomplir dans le cadre de son travail et sa vie personnelle. En effet, bien qu’il soit distant de l’entreprise il reste soumis aux limites légales imposées par le Code du travail (10h par jour, 48 heures par semaine au maximum, 44 heures en moyenne sur douze semaines) et au repos quotidien minimal de 11 heures. Les télétravailleurs d’eux-mêmes ont tendance à rallonger leur temps de travail. Il est donc important que le salarié conserve une certaine liberté dans la gestion de son temps, tout en veillant à ce qu’il respecte des temps de repos et distingue bien les temps privés et professionnels. Le télétravail sera donc un outil de réduction du stress, uniquement si la déconnexion est effectuée et que la frontière vie-professionnelle/vie-personnelle est claire et respectée.
dans cette partie de son article, l'auteure donne les précautions à mettre en oeuvre afin que le télétravail puisse être considéré comme un facteur de réduction de stress, chose qui ne sera garantit que si la frontière entre vie professionnelle et vie privée est claire et respectée.
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Le groupe de travail de la FING se concentrera donc sur la sensibilisation des designers,
Pour organiser la résistance, les utilisateurs sont impuissants. Il faut donc sensibiliser les designers qui eux peuvent agir et devenir plus responsables face à ce phénomène.
Mise en application rapide de cette résolution. Mais le guide sera t'il vraiment édité ? A qui exactement sera t'il envoyé ? Juste aux futurs designer ? Comment alerter ceux qui travaillent déjà ?
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L’application JeFile est proposée en neuf langues par une start-up française qui collabore avec le Centre des Monuments Nationaux afin de virtualiser les files d’attente pour plus de confort et de sécurité. Le principe est de pouvoir réserver un créneau de visite et de faire d’autres activités en attendant l’horaire choisi. Au lieu de rester à patienter debout dehors, sous la pluie ou en plein soleil, les touristes peuvent visiter un lieu voisin, faire du shopping, se promener dans un parc, ou aller boire un verre. Depuis l’été 2017, JeFile a virtualisé à 100 % la file d’attente de deux heures pour accéder aux tours de Notre-Dame de Paris. Avant que l’incendie n’en rende la visite impossible, les 1 500 visiteurs quotidiens étaient donc libres de faire d’autres activités et les flux étaient mieux répartis.
Argument en faveur de l'utilisation du numérique sous forme d'applications. Argument épistémique inductif et réthorique qui vient appuyer le précédent : des applications numériques permettent de trouver des solutions.
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