297 Matching Annotations
  1. Feb 2024
    1. Réviseur·euse·s

      Je crois qu'on ne le fait pas, mais ça pourrait être une bonne idée d'inclure le nom des réviseur·euse·s dans les métadonnées sur Stylo, si ce n'est pas trop compliqué.

    2. Publisher : Revue Fémur

      À quel point est-ce qu'on a besoin d'informer ce champ ? Je me demande parce qu'au moment de générer des notices ris ça va apparaître, et il me semble que ce n'est pas tout à fait juste. En même temps, c'est un champ qui ne sert pas pour citer des articles dans la plupart des styles bibliographiques en sciences humaines...

      Si on tient à informer ce champ je crois qu'il serait plus juste d'écrire « Département des littératures de langue française » ou quelque chose du genre, sinon le laisser vide ?

    3. pandoc -f docx -t markdown --extract-media=./ --atx-headers {titre du document à convertir}.docx -o {titre souhaité du document une fois converti}.md pandoc -f docx -t markdown --extract-media=./ --atx-headers {titre du document à convertir}.docx -o {titre souhaité du document une fois converti}.md

      Les deux commandes sont exactement les mêmes?

  2. Jan 2024
    1. AGP

      « Anthologie grecque et palatine » ? C'est la première fois que l'on rencontre cette abbréviation. Il faudrait peut-être l'inscrire au long.

    2. péremptoire

      Je ne suis pas certain que cela soit le bon mot. Veut-on dire que les distiques ont une date d'expiration?<br> Je suggère de retirer ce mot et d'écrire seulement : « Par sa brièveté, le distique... »

    3. L’ouverture de l’AP

      Qu'est-ce qu'on entend ici par « ouverture » ?

  3. Dec 2023
    1. ― ⏑ ⏑

      Les caractères ne semblent pas s'afficher ici

    2. La redondilha majeure est une forme poétique classique.

      Si je comprends bien, la redondilha peut être soit un pentasyllabe, soit un heptasyllabe. Dans ce cas, la redondilha est-elle une forme ? J'écrirais peut-être plutôt : « Les poèmes composés à l'aide de la redondilha majeures [appartiennent à/constituent] une forme poétique classique. »

    3. AnthologiaGraeca

      Si l'on parle particulièrement du projet de l'anthologie numérique, il faudrait le spécifier. Je suggère d'écrire par exemple: « C'est ce que fait le projet numérique AnthologiaGraeca » ou encore « C'est ce que fait anthologiagraeca.org ».

  4. Nov 2023
    1. (zenon_de_citium_fragments_1973?).

      Référence manquante

    2. (aristophane_birds_1994?)

      Référence manquante

    3. (walker_first_2018?

      La référence est manquante ici.

    4. Vitali-Rosati, Marcello, et Marcello Vitali-Rosat

      Il faudrait corriger cette référence en bibliographie.

    5. (aristophanes_aristophanes_1907?)

      La référence semble absente de la bibliographie.

    6. Il ne pourra pas parler librement (parrēsia),

      Je suggère de plutôt intégrer le terme parresia en alphabet grec ici.

    7. hires a boy ou

      J'ai corrigé « hires a boy ou » pour « hires a boy out ». À vérifier dans le texte cité.

    8. Il y a là un point de convergence avec l’accueil critique de Philainis, la femme ἀναίσχυντος.

      Puisque cette désignation a fait l'objet d'une discussion dans le chapitre précédent, je suggère de l'intégrer au corps du texte en alphabet latin (anaischyntos).<br>Je suggère de conserver l'alphabet grec lorsqu'il est question de faire référence à la formulation exacte des sources primaires, et l'alphabet latin lors de l'emploi de termes empruntés au grec.

  5. Sep 2023
    1. fait obstacle à l’ataraxie.

      J'ai modifié l'orthographe en « ataraxia » ici, puisqu'on lit « aponia » et non « aponie » plus tôt, et qu'on retrouve une occurence plus loin du mot « ataraxie » sans l'italique.

    2. ho boulomenos

      Ici encore, je crois que cette citation devrait figurer en alphabet grec.

    3. peithein

      Ce mot devrait être écrit en grec (plutôt qu'en alphabet latin comme c'est le cas actuellement) si l'on souhaite respecter la logique interne du texte.<br>Il me semble en effet comprendre que les mots grecs non-traduits intégrés au texte figurent en alphabet latin, alors que les citations tirées des textes et ensuite expliquées figurent en alphabet grec.

    4. qui la soutient.

      « qui la soutient financièrement » ? Dans le contexte actuel, le sens du verbe « soutenir » porte à confusion.

    5. same

      Sic?

    6. autrice

      Ici j'ai féminisé toutes les instances de « auteur » faisant référence à une femme en « autrice » puisque les deux termes étaient utilisés en alternance dans le paragraphe.

    7. dont ils utilisent

      Le verbe « utiliser » ne rend peut-être pas la bonne image ici; je suggère plutôt la formulation « aux femmes qu'ils fréquentent »<br>OU<br>« aux femmes dont ils usent des services »

    8. reçoivent

      Ici on comprend « reçoivent » dans le sens de « accueillent les hommes chez elles ». Est-ce bien là ce qu'on veut dire?

    9. en théorie toutes le font

      elles font toutes en théorie<br>OU<br>toutes les femmes font en théorie

    10. l’AP

      L'usage de « AP » est-il équivalent à l'usage de « AG » ici? C'est le seul endroit du texte où on retrouve cette abréviation.

  6. Apr 2023
    1. Loin de condamner ces langues au mystère, la valeur qu’elles apportent ici est celle de participer à la surface graphique de la page et ce faisant de faire émerger une porosité génétique entre texte et image. Les embrassements du texte et de l’image – liés à des effets de présence, d’absence et d’intimité – démontrent que la littérature est autant un art du temps que de l’espace : dans le rebours du geste, l’image et le texte sont signes d’un même monde.

      Excellente ouverture.

      Généralement, excellent retravail. L'article appuie et étaye plus solidement ses thèses et gagne en richesse. La lecture est agréable et la structure me semble mieux servir le propos que pour la première version. J'ai l'impression que nous en sommes à la version finale, à peu de choses près.

      J'en profite au passage pour réitérer tout l'enthousiasme que j'ai pour ton article, que je trouve absolument passionant. Ça a été un réel plaisir de te lire et de travailler avec toi!

    2. En ce sens, le déchiffrement est d’abord une conscience de la surface d’inscription avant de devenir une interprétation intellectuelle sur le monde.

      Fascinant! Excellente synthèse du propos, très claire.

    3. Le foie de Plaisance est en réalité une carte, celle du ciel, dont le sens est assuré par l’espace, par l’organisation des signes plutôt que le déchiffrement distinct des inscriptions (Anne-Marie Christin 1995).

      La lecture divinatoire prend en effet son sens ici.

      Je me demande cependant s'il n'est pas un peu trop tard, mais considérant que cela explique et enrichit le propos sur le poème de Mallarmé et que l'aspect semble assez indispensable à l'analyse ici, je conserverais tout tel quel.

    4. entre-elles

      entre elles

    5. si

      Je supprimerais

    6. anatomiser

      anatomisé

    7. qui a été écrit sur la langue

      Je ne suis pas certain de comprendre ce qu'on veut dire par là.

    8. le geste d’inscription sur peau humaine est une recherche de retour au commencement mais également une poétique pour réinventer ce rapport.

      Très intéressant, le rapport cyclique rappelle un peu la « boule » de Michaux

    9. ed

      Il manque une espace ici

    10. chinoise

      [sic]?

    11. film

      fil?

    12. comme inspiré que l’était Michaux par les sinogrammes

      La syntaxe accroche ici

    13. une

      un

    14. Michaux comme Christin parviennent à une analogue conclusion, la déraison graphique, celle de considérer le tracé comme une unité élémentaire à partir de laquelle s’invente le signe.

      !!!

    15. C’est une lecture phénoménologique évoquée plus haut qui peut alors réapparaître ici : la présence du mouvement se définit progressivement dans les pages de Michaux par l’absence de la trace, ou, pour paraphraser Christin citée précédemment, le geste « devient visible en rendant aveugle ce qui l’entoure ».

      Le lien avec la lecture phénoménologique est pertinent et bien étayé

    16. Michaux, Mouvements (mise en voix 1), 1951

      Les images sont plus que bienvenues ici!

    17. Michaux, 1972 : 11

      Pas d'appel de note?

    18. Judith Butler, « Le genre comme performance » (1994), in Humain, Inhumain. Le travail critique des normes, Paris, Éditions Amsterdam, 2005, p. 17

      J'imagine que cet ouvrage n'est pas en appel de note puisqu'il n'est cité qu'une fois?

    19. Sh?nagon

      Shōnagon

    20. Ce sol commun est justement ce qui transparaît du parcours artistique de Michaux, allant de l’écriture au tracé, puis du signe au trait pour en faire une expérience du geste.

      Je déplacerais peut-etre cette phrase au début de l'autre paragraphe? Michaux semble un peu artificiellement parachuté ici, alors que les liens se font plus naturellement si on laisse la conclusion de ce paragraphe reposer, et que Michaux est intégré à la réflexion par la suite.

    21. Les consonnances du titre avec le terme « humus » sont des échos d’ailleurs à un progressif travail du signe et de sa porosité dont les états sont rendus disponibles sur le site de l’auteur10. Terreau sensible et plastique, la page se libère des catégories de la raison graphique pour devenir un tableau à partir de mots ayant été assimilés par le travail de réédition de Phillips. Le récit humaine évolue pour devenir un document composé à partir de l’enracinement du signe dans une recherche graphique (le terme composé humument résume cet embrassement).

      Nettement plus clair que dans la première version!

    22. recomposer la poétique du récit premier

      Cette formule laisse un peu perplexe. Est-ce vraiment ce qui est en jeu dans le projet de Phillips? La démonstration plus bas, qui parle plutôt d'une « nouvelle valeur » du texte, me semble plus juste.

    23. intact

      intacts

    24. Le fait que le regard puisse passer d’un registre d’inscription à un autre sans changer de perspective (à la différence du calligramme figuratif qui implique soit une proximité [pour lire le texte] soit une distanciation [pour voir la figure]) évoque une notion d’épaisseur de la page qui ne relève pas des caractéristiques physiques du support mais d’une recherche de coïncidence graphique.

      Très clair, excellente entrée en la matière

    25. déploit

      déploie

    26. Le titre dit que l’image est hors de lui.

      J'aime beaucoup cette citation: très parlante, bien intégrée

    27. reconnaissent

      revendiquent?

    28. La disposition poétique ne fait pas figure de (logique du calligramme) mais est l’image du texte.

      !!!

    29. Le récit d’une navigation contenue dans le poème est donc moins le fait d’un modèle narratif (comme La Traversée d’Apollinaire) que d’un principe graphique (comme le tableau Le radeau de la méduse).

      Étrangement, j'ai l'impression qu'on comprendrait peut-être mieux sans les exemples? Pour qui n'est pas familier·e avec ces œuvres, la lecture risque d'accrocher.

    30. Christin analyse le poème sur le modèle du ciel, comme une double page ouverte invoquant une lecture divinatoire des signes et procédant à l’invention de la page par la donnée graphique blanche, lieu donc où l’œil interroge la surface et le mouvement des signes.

      Je ne suis pas convaincu par cette image de la « lecture divinatoire » du poème. Je ne suis pas certain de comprendre ce qu'elle apporte au propos.

    31. (v

      Cette parenthèse n'est pas fermée

    32. Mallarmé invente l’écran sur le papier. C’est-à-dire qu’il pense la page papier au-delà de ses restrictions classiques (qu’il s’agisse de format ou de mise en page du texte) : la page mallarméenne est structurée sur les mouvements de l’écriture dans un espace ouvert, où les vides sont des respirations graphiques.

      Clair et porteur

    33. perfomatif

      On attendrait « performatif » pour que l'appel de note fonctionne!

    34. la Littérature, parce qu’elle relève de l’articulé, est un art du temps tandis que les Arts plastiques, parce qu’ils relève de la matière, sont des arts de l’espace.

      Remarquablement bien amené, limpide, convaincant

    35. trahi

      trahit

    36. compris

      comprise

    37. reproduise

      reproduisent

    38. Par l’étude des relations entre écriture alphabétique et écritures idéo-picto-phono-graphiques, Christin définit le texte hors d’un figement dû à un régime d’inscription.

      La formule « idéo-picto-phono-graphiques » est plus claire ici et accroche moins que dans la première version.

    39. Autrement dit, pour Goody et l’ensemble des théories classiques le prenant consciemment ou non en héritage, l’écriture, parce qu’elle consiste à inscrire une information dans un espace graphique délimité et donc tend à objectiver le discours

      La reformulation est bienvenue et éclaire bien le propos

    40. la

      le

    41. Chercheure spécialiste de l’histoire de l’écriture et des relations entre texte et image, Christin parle ici d’écran au sens large, soit comme l’espace où l’inscription et la diffusion coexistent.

      Limpide

    42. Par ces « belles » lettres

      Joli!

    43. oin d’incarner à eux seuls l’exhaustivité des rapports entre image et texte, posent justement la question de l’origine du signe.

      Excellent travail!

    44. concrêts

      concrets

    45. Or l’approche que je souhaite adopter ici n’est justement pas celle de nommer des phénomènes d’hybridation ou d’interdisciplinarité mais de se délivrer d’une certaine binarité : il s’agit de dépasser les dissociations de l’image et du texte pour observer ce que produit leur unité, soit de regarder le dispositif de création en tant qu’embrassement.

      !!!

  7. Mar 2023
    1. moins en terme de supports ou de média qu’en terme de pensées et perspectives sur les espace d’inscription.

      Plaide pour une visée subjective et exploratoire de l'article.

    2. Michaux, Sans titre, 1960

      On s'étonne de l'absence de légende pour les images, à l'exception de celle-ci. Les images, qui aident grandement à la compréhension du propos qu'elles appuient, pourraient être plus nombreuses et faire l'objet de renvois au cours du texte.

      On comprend cependant que L'Origine du monde ne soit pas montrée. Sa dissimulation au sein même du texte est soutenue par le propos, et justifiée par sa notoriété.

    3. son voyage en Chine de 1931 (Un barbare en Asie) influencera grandement la forme

      Lien à faire avec The Pillow Book ici? Préparer le terrain? Ou ramener clairement ce point plus loin, dans la section sur The Pillow Book?

    4. Courbet

      Gustave Courbet/G. Courbet

    5. L’entrée en matière par l’origine

      A-t-on ici affaire à une réflexion méta sur l'article? Cette formule s'appréhende difficilement. S'il est question du tableau de Courbet, je suggère: « le tableau de Courbet ». Dans le cas contraire, peut-être préciser que quelle origine il est question ici?

    6. origine

      Laquelle? C'est peut-être la mention du tableau de Courbet qui confond ici.

    7. délivrance

      Cette notion revient souvent, et n'est pourtant pas souvent explicitée. Pourtant, il me semble qu'elle pourrait constituer l'un des fils rouges du texte.

    8. impossible dissociation entre le texte et l’image

      Ligne directrice intriguante, intéressante, riche.

    9. prestiges

      Qu'est-ce qu'on entend par là?

    10. intimités

      Ce mot, qui était pourtant une articulation principale du titre, ne figure presque pas dans le texte. Trop peu trop tard? On aimerait comprendre davantage cette dimension de l'intime/intimité qui se devine dans la dernière seciton sur The Pillow Book et qui intrigue.

    11. Dans tout le film domine l’écriture chinoise : soit en tant que pages que l’on peut penser issues du Pillow Book ; soit en tant qu’inscriptions sur le visage de Nagiko faites par son père, puis, le jour de la mort de ce dernier, par l’éditeur ; soit en tant qu’inscriptions faites par ses amants sur son corps avec un mélange de calligraphies, puis, finalement sur les treize hommes que Nagiko envoie à l’éditeur comme les treize chapitres d’un livre dont le dernier signe la mise à mort de l’éditeur avec son consentement (le film se termine aussi par Nagiko écrivant sur le visage de sa fille nouveau-né). Le jeu de l’écriture sur la toile renvoie au jeu de l’écriture sur les corps et vice versa46.

      Toute cette citation, surtout en ce qui concerne la mention de « l'éditeur », mériterait un peu de contextualisation afin d'etre mieux comprise par le·a lecteur·trice.

    12. La transmission de l’intime

      Cette section, particulièrement porteuse et bien articulée (mais souffrant, comme le reste de l'article, de phrases trop longues), n'est pas explicitement rattachée aux notions précédemment explorées. On comprend sa place à cet endroit dans l'article en raison de la progression des idées, mais il me semble qu'il y aurait un lien clair à faire entre le geste-écriture-image de Michaux et la performativité du geste d'écriture idéogrammique dans Pillow Book.

      De plus, on comprend mal le lien immédiat entre A Humument et The Pillow Book. Je suggère aussi de rappeler l'idée de stratification du signe comme texte et du signe comme image, développée à partir des calligrammes de Leiris et approfondie avec le travail de Philips. Dans les deux cas, on croit comprendre que l'on a affaire à une inscription qui sert de fondation, presque architecturale, à une autre inscription qui suit. On pourrait également s'attendre à ce que soit fait ici un lien avec le rôle particulier de la pratique cinématographique dans l'indissociation entre texte et image qui a été soulevé dans l'introduction.

    13. impératifs de structure

      L'idée de l'impératif de structure me semble particulièrement porteuse: on aimerait la voir rappelée ailleurs dans le texte.

    14. L’origine

      Le tableau L'Origine du monde est une amorce intéressante et accrocheuse.

      On gagnerait cependant à voir figurer en introduction des précisions sur le plan adopté, la problématique et le thème de l'article. Il me semble aussi que le lien entre L'Origine dont il est question ici et l'origine du signe/de l'écriture dont il est question dans l'article n'est clairement défini nulle part.

      L'introduction telle qu'elle figure actuellement, à la suite d'un titre amorcé par une citation à l'interrogative et sous le signe des « intimités », laisse croire à un article au ton davantage essayistique, dont la visée subjective et exploratoire serait assumée plus qu'elle ne l'est dans la version actuelle.

      Somme toute, il semble, à cette étape, que l'article pourrait prendre deux directions:

      1) en faire quelque chose de plus didactique. Préciser le cadre théorique, préciser les références, adopter un style plus scientifique (phrases plus courtes, formules plus éloquentes), encadrer le propos;

      2) en faire quelque chose de plus assumé dans sa visée exploratoire, voire essayistique. Verser davantage dans l'interrogation, se laisser porter par les œuvres, nommer l'affect, désigner le flou, narrativiser le propos.

      Dans les deux cas, il faut nommer un **fil conducteur clair**. C'est avant tout ce qui manque au texte.

    15. MELLET

      Ce titre ne figure pas en bibliographie.

    16. Autre détournement

      La mention de A Humument me semble nécessaire et intéressante, mais il faudrait – encore une fois dans la perspective d'un article plus didactique – mieux articuler le lien entre cette œuvre et les travaux de Leiris.

      Je suggère un rappel de l'idée de mise en scène du texte comme image et/ou un retour à la notion de la lecture palimpsestique, du signe comme donnée picturale donnant de l' épaisseur à l'œuvre?

      Autre piste: on pourrait glisser un mot sur le fait qu'à la façon du texte pré-existant, A Human Document, le mot du dictionnaire "amour" sert de base, de structure, de fondation au calligramme de Leiris.

      Quoiqu'il en soit, la progression des idées dans le texte entre le calligramme de Leiris (qui se lit de l'intérieur vers l'extérieur, en sortes de strates) et le projet de T. Philipps mériterait d'être davantage axée sur la question de l'épaisseur, des strates: c'est porteur.

    17. « [L]orsqu’une écriture est encadrée, elle devient une image »42

      La présence inhabituelle d'un exergue au sous-point de réflexion étonne. Dans une visée plus didactique de l'article, il faudrait l'intégrer au discours tenu; dans une visée plus essayistique, on pourrait ajouter des exergues à toutes les sections.

    18. impliqué une réflexion à rebours, menant à la quête de l’origine des signes pour comprendre comment le geste peut opérer l’hybridité.

      La précision de la problématique est ici la bienvenue, mais elle arrive un peu tard et la formulation en est un peu confuse. La quête d'une archi-origine de l'écriture (en deça de l'opposition texte/image) qui s'opère ici est cependant passionnante. La démarche gagnerait à être précisée d'entrée de jeu.

    19. le geste peut opérer l’hybridité

      On ne comprend pas tout à fait de quoi il s'agit ici.

    20. , r

      . Il reconduit...

    21. sur leurs réciproques inter-pénétration

      à partir de leur réciproque interpénétration

    22. donne toute le sens à un discours poétique du monde

      Que veut-on dire par là?

    23. toute

      tout

    24. une déclaration de l’être

      Qu'est-ce qu'on entend par là?

    25. c’est donc

      Formulation un peu orale.

    26. superpositions

      superposition

    27. nous sera conté

      est relaté

    28. pour poser

      Formulation à revoir: anacolute.

    29. le cinéaste britannique déjà habitué de l’interartialité49

      Intégrer et développer ailleurs. Le propos est déjà très développé ici et on s'y perd quelque peu.

    30. pour faire de l’écriture une donnée de la contemplation et de l’image une donnée de la lecture

      Riche et fascinant!

    31. opère le transfert d’une poétique du fragment à une structure de l’image en mouvement moins par un respect narratif que par un principe de montage pour réinventer l’écran en fonction d’une histoire des signes.

      La formulation est un peu complexe, l'idée n'est pas évidente à saisir.

    32. composition

      Suggestion: « un film »?

    33. Greenaway

      Peter Greenaway/P. Greenaway

    34. lien

      Suggestion: « le lien réalisé »

    35. cinema

      cinéma

    36. Les consonnances du titre avec le terme « humus » sont des échos d’ailleurs à un progressif travail du sign

      Déplier la proximité entre le titre et le terme « humus »?

    37. de le dessin

      le dessin

    38. jeu

      Supprimer, mot en trop?

    39. un ton définitionnel ou actant la figuration de chaque lettre

      À clarifier: ce qu'on entend par un « ton définitionnel » n'est pas immédiatement compréhensible.

    40. Chaque lettre valorisée dans la valeur graphique de son signe devient un mot, l’inscription devenant image, devenant mot.

      Peut-être est-ce attribuable à la référence de l'image, qui permet d'appréhender visuellement ce que l'on tentait de décrire plus haut, mais cette formule est beaucoup plus évidente que le paragraphe qu'elle suit.

      La phrase se présente comme le point de départ d'une réflexion riche, que l'on aimerait voir dépliée encore davantage.

    41. picturale

      Suggestion: « figurative »

    42. une transposition du linguistique vers le graphique

      Suggestion: « une transposition du régime linguistique vers le registre graphique »

    43. désignent une forme plastique qui se traduit par une disposition éditoriale

      Que veut-on dire ici?

    44. en dissimulant la motivation d’un texte.

      Formule qui touche à une idée extremement riche et porteuse, qui mériterait d'etre explicitée ou, à tout le moins, reformulée pour permettre au lecteur·trice d'accéder à l'idée par un autre angle d'approche.

    45. 33

      S'agit-il ici vraiment d'une citation de Leiris? On aimerait d'ailleurs la voir davantage commentée.

    46. constitue

      Suggestion: « constitue avant tout »

    47. Le mot demeure au centre de la poétique de Leiris mais constitue une donnée plastique, il vise à saisir le support pour faire du geste d’écriture un processus architectural ou, terme plus proche de nos modèles de pensées actuels, un design du signe.

      Clair; fascinant.

    48. Dans cet

      Suggestion: « Sur ce »

    49. plus proche du Radeau de la méduse que de La Traversée d’Apollinaire

      On sent sous cette remarque une réflexion riche, qui intrigue, mais on peine à la saisir concrètement. Quelque peu clarifié par la suite de la phrase (« une disposition qui relève du tableau »), mais une reformulation de cette idée dans une phrase suivante serait bienvenue.

    50. invente l’écran sur le papier

      Cette formule laisse quelque peu perplexe.

    51. de blanc et donc de respiration autant que de quête de lecture

      Accroche à la lecture, on ne comprend pas tout de suite ce qui est entendu par là. Préciser?

    52. 28.

      En l'absence de référence dans la not de bas de page 27, Ibidem renvoie ici au poème de Mallarmé. Est-ce exact?

    53. amenant

      Suggestion: « l'amenant »

    54. Mallarmé

      La mention de Mallarmé mériterait d'être mieux introduite, peut-être par une exploration plus large de son approche de l'écriture à la fin du paragraphe précédent.

      On s'étonne aussi de la transition rapide entre Michaux, Leiris et Mallarmé, pour finalement revenir à Leiris. Le paragraphe pourrait s'ouvrir sur les pratiques d'investissement calligrammique de la page d'Apollinaire et Mallarmé, en lien avec la recherche de liberté dans le signe de Michaux, avant de s'attaquer à la pratique de Leiris? Question d'éviter l'aller-retour.

    55. Si les créations de Leiris rompent avec un héritage qui est celui d’Apollinaire, car il ne s’agit pas comme Corrège d’affirmer « [et] moi aussi je suis peintre »25, c’est que l’auteur se reconnaît davantage dans l’approche mallarméenne de l’écriture qui consiste à réinventer un espace poétique pour en faire le lieu de tous les commencements possibles.

      Cette phrase est trop longue. Peut-être la scinder pour parler de la rupture entre Leiris et Apollinaire d'une part, et de son rapprochement avec « l'approche mallarméenne de l'écriture » d'autre part?

    56. Leiris23

      On suggère d'enrichir la transition entre Michaux et Leiris dans la perspective d'un article plus didactique. Dans le cas du choix d'un ton plus subjectif, les liens entre Michaux et Leiris gagnerait toujours à être clarifiés, mais cela pourrait se faire en aval.

    57. d’une délivrance de Michaux

      Formule porte à confusion: on croirait que Michaux était emprisonné. Je suggère: « La recherche par Michaux d'une délivrance du signe ».

    58. phénomène du signe

      De quoi est-il question ici?

    59. la musique du pinceau

      Métaphore un peu lyrique. À évacuer dans la perspective d'un article plus didactique?

    60. projet-Michaux

      Cette formule étonne: c'est sa seule utilisation dans le texte. Pourquoi ici? Que veut-on dire?

    61. ainsi

      Suggestion: « dès lors »

    62. dans ssa

      Suggestion: « suivant une »

    63. peuvent

      peut

    64. Par l’entremise de la question de l’outil ou de l’instrument, Michaux comprend le geste comme une conjoncture de son environnement de création

      Extrêmement porteur, fascinant. La formule est claire.

    65. substantifique

      Subjectif. À évacuer selon l'orientation éditoriale.

    66. instrument réel

      Amusant, mais risque d'accrocher à la lecture pour certain·e·s lecteur·trices. Évacuer?

    67. conditionnement de l’image

      Cette formule accroche: elle gagnerait à être clarifiée, ou cette idée exprimée autrement.

    68. plusieurs exemples de créations qui, loin de représenter à eux seuls une exhaustivité des rapports entre image et texte, lèvent le voile sur plusieurs aspérités de l’être dans son geste d’expression.

      Les références sont nombreuses et de qualité, mais on aurait peut-être avantage à se concentrer davantage sur un·e seul·e artiste/écrivain·e pour approfondir l'analyse.

      On suggère d'autre part d'expliciter en amont les idées auxquelles les différentes références serviraient d'arguments, ce qui participerait à justifier le corpus. La construction de l'article fait signe vers un mouvement inverse: convoquer des auteur·trices/des œuvres puis voir ce qui peut les relier. Les liens entre les idées sont présents et pertinents, bien que quelque fois ténus dans le corps du texte. On aurait généralement avantage à prendre davantage le·la lecteur·trice par la main.

      Une orientation plus subjective et essayistique à l'article permettrait cependant de justifier cette approche des idées à partir des créateur·trices, de laisser l'article et la pensée qu'il déploie être guidés par les œuvres.

      Dans tous les cas, l'article bénéficierait grandement de clarifier sa ligne directrice dès l'introduction (ou, du moins, de gloser sur « l'impossible dissociation entre le texte et l'image ») et de la rappeler ponctuellement, ainsi que sa progression, au cours de l'article. Le·la lecteur·trice risquerait, dans l'état actuel de l'article, de ressentir une sorte d'effet mosaïque à la lecture.

    69. est moins celle de

      Syntaxe avec deux propositions adversatives (moins en terme de [...] qu'en terme de/moins celle de [...] mais plutôt d[e]) identique à quelques phrases plus haut. Je suggère de faire attention à ne pas surutiliser cette structure syntaxique, puisqu'elle engendre des phrases très longues qui nécessitent parfois plusieurs lectures pour être bien comprises.

    70. reportent un regard

      Cette formulation accroche à la lecture. Que veut-on dire?

    71. qui voit autant qu’il est vu par la peinture

      Cette formule un peu vague semble cacher une réflexion riche qui ne se discerne pas aisément. On aimerait comprendre mieux de quoi il s'agit ici.

    72. Si l’audace du pinceau de Courbet, qui montre ce qu’une peinture académique s’évertuait à cacher et participe ainsi – avec Manet notamment – d’une révolution picturale, est une composante indéniable du tableau, c’est qu’elle permet de se questionner sur la fonction du peintre (dans sa définition lacanienne de livrer à la vue le fantasme enseveli3) ou la fonction du spectateur (qui voit autant qu’il est vu par la peinture).

      Cette phrase est trop longue.

    73. Michaux comme Christin parviennent à une analogue conclusion, la déraison graphique, celle de considérer le tracé comme une unité élémentaire à partir duquel s’invente le signe.

      Formule et idée fortes.

    74. duquel

      de laquelle

    75. Mouvements 1951

      On apprécierait une référence ici (peut-être une image?).

    76. Dans cette recherche de l’origine du signe, ni le discours ni la ligne ne suffisent tout à faire à saisir le mouvement du corps sans le contraindre à certains impératifs de structure. Poésie et peinture, si elles permettaient de penser une libération, se révèlent finalement être des systèmes analogues d’agression dans la mesure où elles conditionnent à des pratiques et des mécanismes de présence

      À l'exception de la question de l'origine, la formule est limpide. Les idées soulevées sont géniales et bien étayées.

    77. les lieux

      Lesquels?

    78. noicir

      noircir

    79. un état de l’aboutissement

      Suggestion: « marque l'aboutissement d'un processus »

    80. espace qui participe autant du mouvement qu’il est immobile.

      On ne comprend pas immédiatement cette formule qui, pourtant, est particulièrement intriguante et semble fascinante. À déplier.

    81. semble se manifester

      Suggestion: « se manifeste »

    82. faire

      fait

    83. verbal

      Suggestion: « Son émancipation du régime verbal »

    84. Moi roulé sur lui-même, cercle parfait – qui n’est pas sans évoquer justement un tableau sur papier à l’encre de chine daté de 1970 – le rond ou la ronde est le principe de composition d’un idéal où les mots peuvent tisser des liens véritables entre eux tout comme le trait d’union – qui sera un motif très important dans la dernière période de l’artiste – est ce qui relie l’individu au monde.

      Encore une fois, la phrase est longue, ce qui est dommage puisqu'elle aborde des éléments intéressants. On aimerait comprendre immédiatement de quoi il s'agit. Il faudrait simplifier ou fluidifier. Peut-etre la scinder en deux?

    85. conjoints

      Suggestion: « conjoints, solidaires »

    86. moins

      Suggestion: « non »

    87. mais en quête d’un élément bien plus fondamental

      Suggestion: « mais en étant en quête d'un élément considéré comme plus fondamental »

    88. support

      Lequel? Le support papier?

    89. a rencontré

      rencontre

    90. Oscillant entre la lettre et l’esquisse, la marque de Michaux a rencontré le support dans une recherche non d’une interdisciplinaire mise en relation de deux registres d’inscriptions (à l’instar du calligramme) mais en quête d’un élément bien plus fondamental : le mouvement.

      Cette phrase présente quelques problèmes syntaxiques et de compréhension. Il s'agit pourtant du point de départ de la réflexion: elle gagnerait à être scindée et/ou davantage claire.

    91. une interdisciplinaire mise en relation

      Suggestion: « mise en relation interdisciplinaire »

    92. Au prémisces

      Aux prémices

    93. La lecture des signes

      On signale ici l’article d’Elise Tourte datant de 2018, qui pourrait être intéressant pour nourrir la perspective dépliée dans l’article

    94. Michaux

      Suggestion: « Henri Michaux/H. Michaux »

    95. dans

      Suggestion: « depuis »

    96. un

      Le?

    97. une

      La? Sinon, préciser de quelle tradition humaniste il est ici question.

    98. signe

      Lequel? De quoi est-il question précisément?

    99. arts de l’espace

      Cette conception de l'écriture, de la littérature ou du signe comme un art de l'espace semble récurrente dans le texte, au point d'avoir le potentiel de tracer des liens solides entre les différentes parties (notamment entre la dimension stratifique des calligrammes de Michaux et de la représentation du signe dans l'image de Greenaway). Elle mériterait d'être appuyée davantage.

    100. Littérature, comme art du temps, et Arts plastique, comme arts de l’espace

      Suggestion: « Littérature, appréhendé comme un art du temps, et Arts plastiques, perçus comme des arts de l'espace »

    101. la Renaissance a institué

      Cette formulation, qui relève du raccourci, nécessiterait une précision: fait-on référence à un courant de pensée en particulier?

    102. infernale

      Ce genre de formule me semble à éviter si l'on adopte une approche plus didactique dans l'article.

    103. une

      un

    104. généalogies

      L'idée est intéressante, mais elle surprend: peut-etre déplier la notion, à défaut de quoi, trouver un autre terme?

    105. un a-priori de la trace

      Que veut-on dire ici?

    106. a-priori

      a priori

    107. le signe

      Lequel? Me semble quelque peu absolutisé.

    108. modèle

      Suggestion: « une dynamique »

    109. pour instaurer

      Suggestion: « qui instaurent »

    110. Caractérisés par un principe de subordination, ces schémas idéalisent la présence de l’un au profit de la disparition de l’autre : l’illustration place l’image en complément d’une idée du texte tandis que la légende fait du texte un composé descriptif ou informel mais bien secondaire.

      Idée bien développée, très porteuse.

    111. schémas majoritaires de la mise en relation

      On peine à saisir de quoi il est question ici.

    112. Études littéraires

      Les Lettres? Les Belles Lettres?

    113. eux

      elles seules

    114. leur dissociation

      Suggestion: « la dynamique cherchant à la dissocier »

    115. accordés

      accordées

    116. espace

      espaces

    117. perspectives

      et de perspectives

    118. Au-delà des distinctions image/texte qui, si elles servent aux théories et analyses pour délimiter une expertise, reportent un regard sur la question d’une institution, se noue une recherche de l’être dans ce qui le lie au monde.

      Cette phrase est trop longue et change trop souvent de référent.

    119. une fluidité des frontières

      Suggestion: « une fluidité des frontières accrue »

    120. – et le premier voile sert à nous interroger sur les possibilités graphiques d’une telle origine –

      L'incise, en plus d'alourdir la phrase, est difficile à saisir. On comprend que la question des « possibilités graphiques de l'origine » (ou plutôt, des possibilités de l'origine graphique) travaille le texte, mais l'enjeu exact de la précision apportée ici est vague. Peut-être vaudrait-il mieux de l'articuler plus tard dans le paragraphe, pour prendre le temps et l'espace de développer cette idée?

    121. certainement la beauté de son sens

      Dans le cas ou l'article s'orienterait vers un ton plus didactique, il faudrait retravailler cette formulation subjective, qui se lit comme un jugement de valeur.

    122. violence

      Ce qu'on entend par « violence » n'est pas immédiatement évident. Expliciter ou évacuer?

    123. ou la fonction

      Suggestion: « que sur celle »

    124. 3

      A-t-on affaire à une citation directe ici? Si oui, il faudrait ajouter des guillemets.

    125. questionner

      Suggestion: « se questionner à la fois sur... »

    126. qu’une peinture académique s’évertuait

      Suggestion: « que les peintures académiques s'évertuaient »

    127. intimités

      Le choix de terme étonne: l'emploi métaphorique oriente d'abord la lecture vers un article plus subjectif, exploratoire ou personnel que ce qui est finalement donné à lire. De plus, ce terme figure peu dans le corps du texte et n'est jamais vraiment expliqué à l'extérieur de la dimension de « l'intime » que l'on retrouve dans la dernière partie.

    128. Ce sol commun est justement ce qui transparaît du parcours artistique de Michaux, allant de l’écriture au tracé, puis du signe au trait.

      Le lien entre ce point et le suivant est très bien explicité ici. On aimerait voir la meme chose entre les sections suivantes, ce qui fluidifierait le propos général.