- Nov 2024
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archivistesqc.wordpress.com archivistesqc.wordpress.com
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De nombreuses organisations qui gèrent des archives mettent sur pied des projets qui impliquent directement la population qu’elle desservit, renforçant du coup leur rôle d’acteur dynamique dans une collectivité.
cf Baillargeon et Levesque, comme de quoi que l'archiviste doit aller vers les publics
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- Oct 2024
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stylo.ecrituresnumeriques.ca stylo.ecrituresnumeriques.ca
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how does one deal with works of which the main concern is by no means websites on a server, but the journey which starts there and cannot be controlled? Works that are strictly defined as net artworks contradict the logic of proprietary thinking. Contradict the old logic of proprietary thinking. And contradict the old logic in general.
Je suggère une traduction:
Comment peut-on considérer les œuvres qui ne se préoccupent aucunement des sites web sur des serveurs, mais plutôt de l'aventure qui y débute et échappe à notre contrôle? Les œuvres qui se définissent exclusivement comme des œuvres d'art numérique contredisent la logique du modèle propriétaire. Contredisent l'ancienne logique du modèle propriétaire. Et contredisent l'ancienne logique en général.
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- Sep 2024
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stylo.ecrituresnumeriques.ca stylo.ecrituresnumeriques.ca
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Le « Quo diversus abis ? » vient rétablir un sujet pour le perdre aussitôt, ne marquant donc qu’une interruption passagère de la dynamique glissante du texte, et n’opérant aucune réelle transition structurelle signifiante
Fascinante remarque!
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lui permet d’assumer les désordre de celui-ci non pas comme des erreurs, mais comme des choix faits en vertu d’une certaine authenticité.
Voilà qui ficelle parfaitement ton hypothèse des divagations vs. digressions exposée plus en haut!
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Elle montre assez où elle change, où elle conclud, où elle commence, où elle reprend
Encore une citation que nous avons vue plus tôt. Peut-être faudrait-il le signaler?
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[…]
:]
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…]
la citation suppose déjà une troncation, etc. etc.
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le service public demande une certaine fourberie, une certaine duplicité, « desguisement et mensonge.128 »
Oh Montaigne, si seulement tu avais pu connaître les aléas du service à la clientèle dans les magasins grandes surfaces...
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Tu as l'air de t'amuser beaucoup davantage quand tu es proche de Montaigne que lorsqu'il est temps de résumer les propos de Tournon et compagnie...
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122,
Une autre citation cocasse.<br> « À la page 1033... » (source: page 1033)
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[…]
Même remarque sur les ellipses en fin de citation (je dois commencer à te tomber sur les nerfs à l'heure qu'il est...)
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Indois116
Qui?
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se « regardent, mais d’une vue oblique115 »
Oh la formule est délicieuse.
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Rien n’est donc atypique ici, et le lecteur de Montaigne, bien habitué à ces procédés, ne cille pas. Pour cette raison, la transition toute rhétorique que Montaigne insère à la page 1027 parait dépareillée à son contexte : « Pour revenir à mon conte. Il n’y a donc pas beaucoup de mal de mourir loing, et à part.114 » D’abord, cette formule ne saurait être la clausule qui marquerait la fin d’une digression rhétorique, puisqu’aucune préface n’en a marqué le début. Plutôt, l’écart s’est installé progressivement.
La progression logique est impeccable.
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L’ami assez sage pour être de secours est rarissime
Pauvre Montaigne...<br>Et pauvre de nous toustes...
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108,
La citation ici m'amuse.<br>« À la page 1023... » (source: la page 1023).
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[…]
Même commentaire par rapport à l'ellipse.
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Analyse de la divagation dans De la Vanité (III, 9)
Le corpus n'est pas justifié ici. J'ose imaginer qu'il le sera dans l'introduction?
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Nous considérons donc qu’une digression n’est plus vraiment digression si elle s’incorpore parfaitement au discours-cadre au point d’en perdre tous contours précis, toute délimitation convaincante.
Très juste!
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Ce chapitre est tout à fait fantastique. Tu décortiques bien les différentes lectures de Montaigne (j'aimerais bien que tu te positionnes toutefois par rapport à elles) et tu expliques très bien les concepts d'ethos, de digression et de divagation.<br>Excellent travail!
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distance du thème, proximité du but.
Très bonne synthèse.
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[…]
Même commentaire que plus haut.
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leur plein sens
Limpide.
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je ne pleuvis autre certitude, sinon que c’est ce, que lors j’avais en la pensée. Pensée tumultuaire et vacillante.
Tu cites déjà ce passage plus haut. Peut-être vaudrait-il mieux avertir tes lectaires? « Comme nous l'avons cité plus haut »...
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[…]
Même commentaire que plus haut sur la troncation à la fin d'une citation.
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il faut préciser que le ceci et le cela ont trait à des valeurs morales.
La précision est juste et bienvenue.
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Nous tenons à préciser ce que nous entendons par les mots « effet » et « expérience »,
Ces définitions sont très justes et les bienvenues.
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Les Essais semblent bouger : ils sont dynamiques et imprévisibles
Très bonne introduction, qui fait un lien efficace avec ce qui précède.
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qui
que?
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auteur
Peut-être préciser qu'il est question de Montaigne, et non de Desan ici?
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enfuit
L'image est jolie!
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Desan semble demander ici que nous résistions à la tentation de systématiser l’œuvre.
~~Un peu comme Tournon, qui remarque l'inextricabilité de la forme et du fond?<br>Ce commentaire me fait aussi réaliser que, jusqu'ici, tu compares assez peu les lecteurs de Montaigne entre eux, ce qui ne pourrait pas faire de mal.~~
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La position de Desan est ici contraire à celle de Pouilloux et de Tournon, pour qui les Essais ne prenaient leur plein sens qu’à la lumière de la posture « philosophique » qui leur donnait naissance.
J'ai donc parlé trop vite.....
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Le mérite que nous lui voyons, c’est d’avoir bien voulu ausculter le fond à partir de la forme (alors que d’autres ont fait le contraire), et d’avoir montré l’interdépendance de la pensée et du texte.
Oui! Très content de voir ta couleur ici!
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Ici la forme et le fond ne peuvent être séparés : tout effort de rendre claire et directe les pensées de Montaigne les dénature, leur confère une force d’affirmation qui ne leur appartient pas
Le propos est limpide!
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exorciser
[sic]?
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1.3
1.2.6?
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1.2.3.1
Un autre doublon! Je crois qu'on devrait lire 1.2.5.2 ici!
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En résumé d’un chapitre assez riche, nous pouvons dire que Tournon voit dans le monde juridique du XVIe siècle une source probable de la pratique réflexive présente dans les Essais, d’abord parce que le texte des Essais peuvent imiter les relations de commentaires des gloses juridiques; ensuite parce que l’essayiste fait montre d’une prudence intellectuelle semblable à celle qui caractérise l’activité des glosateurs; enfin parce que Montaigne déploie dans son œuvre une reflexion critique qui pourrait prendre ses origines dans les treize années qu’il a passées dans la Chambre des Enquêtes.
Ces résumés sont vraiment excellents.
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1.2.3
Deux fois 1.2.3? Si je suis bien, on devrait être à 1.2.5, non?
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Ils se succèdent donc, se superposent ou s’imbriquent, ce qui donne des successions sans progression apparente.
Cette théorie me plait beaucoup. J'aime ce qu'elle convoque spatialement, l'idée d'un texte qui tente de faire éclater sa propre linéarité.
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pp.
Pourquoi pp ici, mais p partout ailleurs pour un intervalle de pages?
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isotopie
Les fameuses isotopies! La définition est effectivement concise, mais ce n'est pas un concept facile à saisir. Je crois qu'il serait intéressant que tu le reformules dans tes mots?
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La langue prévoit d’ailleurs, dans son fonctionnement normal, certaines permutations, comme le renversement des deux parties d’une suite logique, moyennant un changement de conjonction (un « donc » contre une « puisque », par exemple)
Peut-être qu'un exemple plus étoffé pourrait aider à comprendre ici?
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A. Tournon (Tournon 2000, 105‑9.)
J'ai fait ici un commentaire sur la forme directement dans le code source.
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i l’inspire.
Toute cette section, qui résume bien, de manière claire et concise, la pensée de Pouilloux par rapport aux essais, serait peut-être plus efficace si on y retrouvait aussi tes propres points de vue par rapport à ses lectures. J'aurais envie de t'entendre te positionner par rapport aux points de vue d'autrui, où tu les rejoins et où tu en diverges. Sans cela, j'ai l'impression que cette section recoupe beaucoup la fonction d'un état de la question tel qu'on en retrouverait dans une introduction.
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respect
Respecte?
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«
Les guillemets ouverts ici ne seront jamais refermés.
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Si cette interprétation est tenue pour vraie, la fidélité du portrait devient la principale exigence applicable au texte
Ce passage n'est pas tout à fait clair pour moi.
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[…]
Une citation implique d'emblée la troncation. L'ellipse n'est donc pas nécessaire avant la fermeture des guillemets.
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« Le Livre de sieur de Montagne est comme un plat d’écrevisses où ce qu’il y a de nourrissant est vraiment friand et délicat, mais il y a plus à esplucher qu’à manger9 […] ».
Délicieuse citation (sans mauvais jeu de mots).
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qui ne s’est pas donné la peine de mettre ses propos en ordre8
Je suis peut-être capricieux, mais je crois qu'il serait bien de citer directement le texte ici, plutôt que d'y renvoyer seulement.
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À la digression, mal adaptée aux Essais, nous fournirons un alternatif, la divagation, qui permet de parler de la composition du texte de façon non-réductive.
Très clair et précis. Les phrases courtes rendent la lecture aisée.
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un œuvre
Dans le sens de l'ensemble des créations d'un·e auteurice? Sinon, une œuvre
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Nous retracerons ici certaines des façons les plus importantes dont a été pensé la composition des Essais.
Ce commentaire de ma part vient peut-être trop tôt, mais j'aimerais avoir tout de suite une idée de comment tu te positionnes, justement, par rapport à ces lectures. En d'autres mots, il serait peut-être utile de présenter tes conclusions d'avance.
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Les conclusions sont à l’images des enquêtes menées sur le texte, qui se plie si bien a chacune d’entre elles, qu’on puisse en dire, comme Philippe Desan, que « [l]a forme des Essais est par définition malléable; elle se plie au sujet que la perçoit.5 »
Je trouve riche que tu exposes d'entrée de jeu la difficulté de travailler sur ton sujet, et l'admission en toute honnêteté que l'originalité de tes conclusions provient en majeure partie de la subjectivité que tu injectes dans la lecture.
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d’une impression de lacune
Très bonne entrée en la matière
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- Jul 2024
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stylo.ecrituresnumeriques.ca stylo.ecrituresnumeriques.ca
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L’ethos effectif dépend d’une intéraction entre le dit et le montré, qui ne sont pas carrément distincts, mais plutôt des formes variables d’un seul phénomène textuel58.
Impeccable
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elle est plutôt impliquée dans toute prise de parole
Cette partie est plus claire!
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une certaine figuration de la source causale d’un événement énonciatif
Cette citation n'est pas super claire : je crois qu'on aurait une meilleure idée du concept si tu prenais un peu le temps de la reformuler dans tes mots.
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- Feb 2024
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Réviseur·euse·s
Je crois qu'on ne le fait pas, mais ça pourrait être une bonne idée d'inclure le nom des réviseur·euse·s dans les métadonnées sur Stylo, si ce n'est pas trop compliqué.
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Publisher : Revue Fémur
À quel point est-ce qu'on a besoin d'informer ce champ ? Je me demande parce qu'au moment de générer des notices
ris
ça va apparaître, et il me semble que ce n'est pas tout à fait juste. En même temps, c'est un champ qui ne sert pas pour citer des articles dans la plupart des styles bibliographiques en sciences humaines...Si on tient à informer ce champ je crois qu'il serait plus juste d'écrire « Département des littératures de langue française » ou quelque chose du genre, sinon le laisser vide ?
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pandoc -f docx -t markdown --extract-media=./ --atx-headers {titre du document à convertir}.docx -o {titre souhaité du document une fois converti}.md pandoc -f docx -t markdown --extract-media=./ --atx-headers {titre du document à convertir}.docx -o {titre souhaité du document une fois converti}.md
Les deux commandes sont exactement les mêmes?
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- Jan 2024
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stylo.ecrituresnumeriques.ca stylo.ecrituresnumeriques.ca
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AGP
« Anthologie grecque et palatine » ? C'est la première fois que l'on rencontre cette abbréviation. Il faudrait peut-être l'inscrire au long.
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péremptoire
Je ne suis pas certain que cela soit le bon mot. Veut-on dire que les distiques ont une date d'expiration?<br> Je suggère de retirer ce mot et d'écrire seulement : « Par sa brièveté, le distique... »
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L’ouverture de l’AP
Qu'est-ce qu'on entend ici par « ouverture » ?
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- Dec 2023
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stylo.ecrituresnumeriques.ca stylo.ecrituresnumeriques.ca
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― ⏑ ⏑
Les caractères ne semblent pas s'afficher ici
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La redondilha majeure est une forme poétique classique.
Si je comprends bien, la redondilha peut être soit un pentasyllabe, soit un heptasyllabe. Dans ce cas, la redondilha est-elle une forme ? J'écrirais peut-être plutôt : « Les poèmes composés à l'aide de la redondilha majeures [appartiennent à/constituent] une forme poétique classique. »
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AnthologiaGraeca
Si l'on parle particulièrement du projet de l'anthologie numérique, il faudrait le spécifier. Je suggère d'écrire par exemple: « C'est ce que fait le projet numérique AnthologiaGraeca » ou encore « C'est ce que fait anthologiagraeca.org ».
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- Nov 2023
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stylo.ecrituresnumeriques.ca stylo.ecrituresnumeriques.ca
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(zenon_de_citium_fragments_1973?).
Référence manquante
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(aristophane_birds_1994?)
Référence manquante
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(walker_first_2018?
La référence est manquante ici.
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Vitali-Rosati, Marcello, et Marcello Vitali-Rosat
Il faudrait corriger cette référence en bibliographie.
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(aristophanes_aristophanes_1907?)
La référence semble absente de la bibliographie.
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Il ne pourra pas parler librement (parrēsia),
Je suggère de plutôt intégrer le terme parresia en alphabet grec ici.
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hires a boy ou
J'ai corrigé « hires a boy ou » pour « hires a boy out ». À vérifier dans le texte cité.
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Il y a là un point de convergence avec l’accueil critique de Philainis, la femme ἀναίσχυντος.
Puisque cette désignation a fait l'objet d'une discussion dans le chapitre précédent, je suggère de l'intégrer au corps du texte en alphabet latin (anaischyntos).<br>Je suggère de conserver l'alphabet grec lorsqu'il est question de faire référence à la formulation exacte des sources primaires, et l'alphabet latin lors de l'emploi de termes empruntés au grec.
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- Sep 2023
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stylo.ecrituresnumeriques.ca stylo.ecrituresnumeriques.ca
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fait obstacle à l’ataraxie.
J'ai modifié l'orthographe en « ataraxia » ici, puisqu'on lit « aponia » et non « aponie » plus tôt, et qu'on retrouve une occurence plus loin du mot « ataraxie » sans l'italique.
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ho boulomenos
Ici encore, je crois que cette citation devrait figurer en alphabet grec.
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peithein
Ce mot devrait être écrit en grec (plutôt qu'en alphabet latin comme c'est le cas actuellement) si l'on souhaite respecter la logique interne du texte.<br>Il me semble en effet comprendre que les mots grecs non-traduits intégrés au texte figurent en alphabet latin, alors que les citations tirées des textes et ensuite expliquées figurent en alphabet grec.
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qui la soutient.
« qui la soutient financièrement » ? Dans le contexte actuel, le sens du verbe « soutenir » porte à confusion.
-
same
Sic?
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autrice
Ici j'ai féminisé toutes les instances de « auteur » faisant référence à une femme en « autrice » puisque les deux termes étaient utilisés en alternance dans le paragraphe.
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dont ils utilisent
Le verbe « utiliser » ne rend peut-être pas la bonne image ici; je suggère plutôt la formulation « aux femmes qu'ils fréquentent »<br>OU<br>« aux femmes dont ils usent des services »
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reçoivent
Ici on comprend « reçoivent » dans le sens de « accueillent les hommes chez elles ». Est-ce bien là ce qu'on veut dire?
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en théorie toutes le font
elles font toutes en théorie<br>OU<br>toutes les femmes font en théorie
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l’AP
L'usage de « AP » est-il équivalent à l'usage de « AG » ici? C'est le seul endroit du texte où on retrouve cette abréviation.
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- Apr 2023
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stylo.ecrituresnumeriques.ca stylo.ecrituresnumeriques.ca
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Loin de condamner ces langues au mystère, la valeur qu’elles apportent ici est celle de participer à la surface graphique de la page et ce faisant de faire émerger une porosité génétique entre texte et image. Les embrassements du texte et de l’image – liés à des effets de présence, d’absence et d’intimité – démontrent que la littérature est autant un art du temps que de l’espace : dans le rebours du geste, l’image et le texte sont signes d’un même monde.
Excellente ouverture.
Généralement, excellent retravail. L'article appuie et étaye plus solidement ses thèses et gagne en richesse. La lecture est agréable et la structure me semble mieux servir le propos que pour la première version. J'ai l'impression que nous en sommes à la version finale, à peu de choses près.
J'en profite au passage pour réitérer tout l'enthousiasme que j'ai pour ton article, que je trouve absolument passionant. Ça a été un réel plaisir de te lire et de travailler avec toi!
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En ce sens, le déchiffrement est d’abord une conscience de la surface d’inscription avant de devenir une interprétation intellectuelle sur le monde.
Fascinant! Excellente synthèse du propos, très claire.
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Le foie de Plaisance est en réalité une carte, celle du ciel, dont le sens est assuré par l’espace, par l’organisation des signes plutôt que le déchiffrement distinct des inscriptions (Anne-Marie Christin 1995).
La lecture divinatoire prend en effet son sens ici.
Je me demande cependant s'il n'est pas un peu trop tard, mais considérant que cela explique et enrichit le propos sur le poème de Mallarmé et que l'aspect semble assez indispensable à l'analyse ici, je conserverais tout tel quel.
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entre-elles
entre elles
-
si
Je supprimerais
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anatomiser
anatomisé
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qui a été écrit sur la langue
Je ne suis pas certain de comprendre ce qu'on veut dire par là.
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le geste d’inscription sur peau humaine est une recherche de retour au commencement mais également une poétique pour réinventer ce rapport.
Très intéressant, le rapport cyclique rappelle un peu la « boule » de Michaux
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ed
Il manque une espace ici
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chinoise
[sic]?
-
film
fil?
-
comme inspiré que l’était Michaux par les sinogrammes
La syntaxe accroche ici
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une
un
-
Michaux comme Christin parviennent à une analogue conclusion, la déraison graphique, celle de considérer le tracé comme une unité élémentaire à partir de laquelle s’invente le signe.
!!!
-
C’est une lecture phénoménologique évoquée plus haut qui peut alors réapparaître ici : la présence du mouvement se définit progressivement dans les pages de Michaux par l’absence de la trace, ou, pour paraphraser Christin citée précédemment, le geste « devient visible en rendant aveugle ce qui l’entoure ».
Le lien avec la lecture phénoménologique est pertinent et bien étayé
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Michaux, Mouvements (mise en voix 1), 1951
Les images sont plus que bienvenues ici!
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Michaux, 1972 : 11
Pas d'appel de note?
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Judith Butler, « Le genre comme performance » (1994), in Humain, Inhumain. Le travail critique des normes, Paris, Éditions Amsterdam, 2005, p. 17
J'imagine que cet ouvrage n'est pas en appel de note puisqu'il n'est cité qu'une fois?
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Sh?nagon
Shōnagon
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Ce sol commun est justement ce qui transparaît du parcours artistique de Michaux, allant de l’écriture au tracé, puis du signe au trait pour en faire une expérience du geste.
Je déplacerais peut-etre cette phrase au début de l'autre paragraphe? Michaux semble un peu artificiellement parachuté ici, alors que les liens se font plus naturellement si on laisse la conclusion de ce paragraphe reposer, et que Michaux est intégré à la réflexion par la suite.
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Les consonnances du titre avec le terme « humus » sont des échos d’ailleurs à un progressif travail du signe et de sa porosité dont les états sont rendus disponibles sur le site de l’auteur10. Terreau sensible et plastique, la page se libère des catégories de la raison graphique pour devenir un tableau à partir de mots ayant été assimilés par le travail de réédition de Phillips. Le récit humaine évolue pour devenir un document composé à partir de l’enracinement du signe dans une recherche graphique (le terme composé humument résume cet embrassement).
Nettement plus clair que dans la première version!
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recomposer la poétique du récit premier
Cette formule laisse un peu perplexe. Est-ce vraiment ce qui est en jeu dans le projet de Phillips? La démonstration plus bas, qui parle plutôt d'une « nouvelle valeur » du texte, me semble plus juste.
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intact
intacts
-
Le fait que le regard puisse passer d’un registre d’inscription à un autre sans changer de perspective (à la différence du calligramme figuratif qui implique soit une proximité [pour lire le texte] soit une distanciation [pour voir la figure]) évoque une notion d’épaisseur de la page qui ne relève pas des caractéristiques physiques du support mais d’une recherche de coïncidence graphique.
Très clair, excellente entrée en la matière
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déploit
déploie
-
Le titre dit que l’image est hors de lui.
J'aime beaucoup cette citation: très parlante, bien intégrée
-
reconnaissent
revendiquent?
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La disposition poétique ne fait pas figure de (logique du calligramme) mais est l’image du texte.
!!!
-
Le récit d’une navigation contenue dans le poème est donc moins le fait d’un modèle narratif (comme La Traversée d’Apollinaire) que d’un principe graphique (comme le tableau Le radeau de la méduse).
Étrangement, j'ai l'impression qu'on comprendrait peut-être mieux sans les exemples? Pour qui n'est pas familier·e avec ces œuvres, la lecture risque d'accrocher.
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Christin analyse le poème sur le modèle du ciel, comme une double page ouverte invoquant une lecture divinatoire des signes et procédant à l’invention de la page par la donnée graphique blanche, lieu donc où l’œil interroge la surface et le mouvement des signes.
Je ne suis pas convaincu par cette image de la « lecture divinatoire » du poème. Je ne suis pas certain de comprendre ce qu'elle apporte au propos.
-
(v
Cette parenthèse n'est pas fermée
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Mallarmé invente l’écran sur le papier. C’est-à-dire qu’il pense la page papier au-delà de ses restrictions classiques (qu’il s’agisse de format ou de mise en page du texte) : la page mallarméenne est structurée sur les mouvements de l’écriture dans un espace ouvert, où les vides sont des respirations graphiques.
Clair et porteur
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perfomatif
On attendrait « performatif » pour que l'appel de note fonctionne!
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la Littérature, parce qu’elle relève de l’articulé, est un art du temps tandis que les Arts plastiques, parce qu’ils relève de la matière, sont des arts de l’espace.
Remarquablement bien amené, limpide, convaincant
-
trahi
trahit
-
compris
comprise
-
reproduise
reproduisent
-
Par l’étude des relations entre écriture alphabétique et écritures idéo-picto-phono-graphiques, Christin définit le texte hors d’un figement dû à un régime d’inscription.
La formule « idéo-picto-phono-graphiques » est plus claire ici et accroche moins que dans la première version.
-
Autrement dit, pour Goody et l’ensemble des théories classiques le prenant consciemment ou non en héritage, l’écriture, parce qu’elle consiste à inscrire une information dans un espace graphique délimité et donc tend à objectiver le discours
La reformulation est bienvenue et éclaire bien le propos
-
la
le
-
Chercheure spécialiste de l’histoire de l’écriture et des relations entre texte et image, Christin parle ici d’écran au sens large, soit comme l’espace où l’inscription et la diffusion coexistent.
Limpide
-
Par ces « belles » lettres
Joli!
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oin d’incarner à eux seuls l’exhaustivité des rapports entre image et texte, posent justement la question de l’origine du signe.
Excellent travail!
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concrêts
concrets
-
Or l’approche que je souhaite adopter ici n’est justement pas celle de nommer des phénomènes d’hybridation ou d’interdisciplinarité mais de se délivrer d’une certaine binarité : il s’agit de dépasser les dissociations de l’image et du texte pour observer ce que produit leur unité, soit de regarder le dispositif de création en tant qu’embrassement.
!!!
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- Mar 2023
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stylo.ecrituresnumeriques.ca stylo.ecrituresnumeriques.ca
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moins en terme de supports ou de média qu’en terme de pensées et perspectives sur les espace d’inscription.
Plaide pour une visée subjective et exploratoire de l'article.
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Michaux, Sans titre, 1960
On s'étonne de l'absence de légende pour les images, à l'exception de celle-ci. Les images, qui aident grandement à la compréhension du propos qu'elles appuient, pourraient être plus nombreuses et faire l'objet de renvois au cours du texte.
On comprend cependant que L'Origine du monde ne soit pas montrée. Sa dissimulation au sein même du texte est soutenue par le propos, et justifiée par sa notoriété.
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son voyage en Chine de 1931 (Un barbare en Asie) influencera grandement la forme
Lien à faire avec The Pillow Book ici? Préparer le terrain? Ou ramener clairement ce point plus loin, dans la section sur The Pillow Book?
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Courbet
Gustave Courbet/G. Courbet
-
L’entrée en matière par l’origine
A-t-on ici affaire à une réflexion méta sur l'article? Cette formule s'appréhende difficilement. S'il est question du tableau de Courbet, je suggère: « le tableau de Courbet ». Dans le cas contraire, peut-être préciser que quelle origine il est question ici?
-
origine
Laquelle? C'est peut-être la mention du tableau de Courbet qui confond ici.
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délivrance
Cette notion revient souvent, et n'est pourtant pas souvent explicitée. Pourtant, il me semble qu'elle pourrait constituer l'un des fils rouges du texte.
-
impossible dissociation entre le texte et l’image
Ligne directrice intriguante, intéressante, riche.
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prestiges
Qu'est-ce qu'on entend par là?
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intimités
Ce mot, qui était pourtant une articulation principale du titre, ne figure presque pas dans le texte. Trop peu trop tard? On aimerait comprendre davantage cette dimension de l'intime/intimité qui se devine dans la dernière seciton sur The Pillow Book et qui intrigue.
-
Dans tout le film domine l’écriture chinoise : soit en tant que pages que l’on peut penser issues du Pillow Book ; soit en tant qu’inscriptions sur le visage de Nagiko faites par son père, puis, le jour de la mort de ce dernier, par l’éditeur ; soit en tant qu’inscriptions faites par ses amants sur son corps avec un mélange de calligraphies, puis, finalement sur les treize hommes que Nagiko envoie à l’éditeur comme les treize chapitres d’un livre dont le dernier signe la mise à mort de l’éditeur avec son consentement (le film se termine aussi par Nagiko écrivant sur le visage de sa fille nouveau-né). Le jeu de l’écriture sur la toile renvoie au jeu de l’écriture sur les corps et vice versa46.
Toute cette citation, surtout en ce qui concerne la mention de « l'éditeur », mériterait un peu de contextualisation afin d'etre mieux comprise par le·a lecteur·trice.
-
La transmission de l’intime
Cette section, particulièrement porteuse et bien articulée (mais souffrant, comme le reste de l'article, de phrases trop longues), n'est pas explicitement rattachée aux notions précédemment explorées. On comprend sa place à cet endroit dans l'article en raison de la progression des idées, mais il me semble qu'il y aurait un lien clair à faire entre le geste-écriture-image de Michaux et la performativité du geste d'écriture idéogrammique dans Pillow Book.
De plus, on comprend mal le lien immédiat entre A Humument et The Pillow Book. Je suggère aussi de rappeler l'idée de stratification du signe comme texte et du signe comme image, développée à partir des calligrammes de Leiris et approfondie avec le travail de Philips. Dans les deux cas, on croit comprendre que l'on a affaire à une inscription qui sert de fondation, presque architecturale, à une autre inscription qui suit. On pourrait également s'attendre à ce que soit fait ici un lien avec le rôle particulier de la pratique cinématographique dans l'indissociation entre texte et image qui a été soulevé dans l'introduction.
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impératifs de structure
L'idée de l'impératif de structure me semble particulièrement porteuse: on aimerait la voir rappelée ailleurs dans le texte.
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L’origine
Le tableau L'Origine du monde est une amorce intéressante et accrocheuse.
On gagnerait cependant à voir figurer en introduction des précisions sur le plan adopté, la problématique et le thème de l'article. Il me semble aussi que le lien entre L'Origine dont il est question ici et l'origine du signe/de l'écriture dont il est question dans l'article n'est clairement défini nulle part.
L'introduction telle qu'elle figure actuellement, à la suite d'un titre amorcé par une citation à l'interrogative et sous le signe des « intimités », laisse croire à un article au ton davantage essayistique, dont la visée subjective et exploratoire serait assumée plus qu'elle ne l'est dans la version actuelle.
Somme toute, il semble, à cette étape, que l'article pourrait prendre deux directions:
1) en faire quelque chose de plus didactique. Préciser le cadre théorique, préciser les références, adopter un style plus scientifique (phrases plus courtes, formules plus éloquentes), encadrer le propos;
2) en faire quelque chose de plus assumé dans sa visée exploratoire, voire essayistique. Verser davantage dans l'interrogation, se laisser porter par les œuvres, nommer l'affect, désigner le flou, narrativiser le propos.
Dans les deux cas, il faut nommer un **fil conducteur clair**. C'est avant tout ce qui manque au texte.
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MELLET
Ce titre ne figure pas en bibliographie.
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Autre détournement
La mention de A Humument me semble nécessaire et intéressante, mais il faudrait – encore une fois dans la perspective d'un article plus didactique – mieux articuler le lien entre cette œuvre et les travaux de Leiris.
Je suggère un rappel de l'idée de mise en scène du texte comme image et/ou un retour à la notion de la lecture palimpsestique, du signe comme donnée picturale donnant de l' épaisseur à l'œuvre?
Autre piste: on pourrait glisser un mot sur le fait qu'à la façon du texte pré-existant, A Human Document, le mot du dictionnaire "amour" sert de base, de structure, de fondation au calligramme de Leiris.
Quoiqu'il en soit, la progression des idées dans le texte entre le calligramme de Leiris (qui se lit de l'intérieur vers l'extérieur, en sortes de strates) et le projet de T. Philipps mériterait d'être davantage axée sur la question de l'épaisseur, des strates: c'est porteur.
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« [L]orsqu’une écriture est encadrée, elle devient une image »42
La présence inhabituelle d'un exergue au sous-point de réflexion étonne. Dans une visée plus didactique de l'article, il faudrait l'intégrer au discours tenu; dans une visée plus essayistique, on pourrait ajouter des exergues à toutes les sections.
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impliqué une réflexion à rebours, menant à la quête de l’origine des signes pour comprendre comment le geste peut opérer l’hybridité.
La précision de la problématique est ici la bienvenue, mais elle arrive un peu tard et la formulation en est un peu confuse. La quête d'une archi-origine de l'écriture (en deça de l'opposition texte/image) qui s'opère ici est cependant passionnante. La démarche gagnerait à être précisée d'entrée de jeu.
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le geste peut opérer l’hybridité
On ne comprend pas tout à fait de quoi il s'agit ici.
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, r
. Il reconduit...
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sur leurs réciproques inter-pénétration
à partir de leur réciproque interpénétration
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donne toute le sens à un discours poétique du monde
Que veut-on dire par là?
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toute
tout
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une déclaration de l’être
Qu'est-ce qu'on entend par là?
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c’est donc
Formulation un peu orale.
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superpositions
superposition
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nous sera conté
est relaté
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pour poser
Formulation à revoir: anacolute.
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le cinéaste britannique déjà habitué de l’interartialité49
Intégrer et développer ailleurs. Le propos est déjà très développé ici et on s'y perd quelque peu.
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pour faire de l’écriture une donnée de la contemplation et de l’image une donnée de la lecture
Riche et fascinant!
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opère le transfert d’une poétique du fragment à une structure de l’image en mouvement moins par un respect narratif que par un principe de montage pour réinventer l’écran en fonction d’une histoire des signes.
La formulation est un peu complexe, l'idée n'est pas évidente à saisir.
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composition
Suggestion: « un film »?
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Greenaway
Peter Greenaway/P. Greenaway
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lien
Suggestion: « le lien réalisé »
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cinema
cinéma
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Les consonnances du titre avec le terme « humus » sont des échos d’ailleurs à un progressif travail du sign
Déplier la proximité entre le titre et le terme « humus »?
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de le dessin
le dessin
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jeu
Supprimer, mot en trop?
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un ton définitionnel ou actant la figuration de chaque lettre
À clarifier: ce qu'on entend par un « ton définitionnel » n'est pas immédiatement compréhensible.
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Chaque lettre valorisée dans la valeur graphique de son signe devient un mot, l’inscription devenant image, devenant mot.
Peut-être est-ce attribuable à la référence de l'image, qui permet d'appréhender visuellement ce que l'on tentait de décrire plus haut, mais cette formule est beaucoup plus évidente que le paragraphe qu'elle suit.
La phrase se présente comme le point de départ d'une réflexion riche, que l'on aimerait voir dépliée encore davantage.
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picturale
Suggestion: « figurative »
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une transposition du linguistique vers le graphique
Suggestion: « une transposition du régime linguistique vers le registre graphique »
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désignent une forme plastique qui se traduit par une disposition éditoriale
Que veut-on dire ici?
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en dissimulant la motivation d’un texte.
Formule qui touche à une idée extremement riche et porteuse, qui mériterait d'etre explicitée ou, à tout le moins, reformulée pour permettre au lecteur·trice d'accéder à l'idée par un autre angle d'approche.
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33
S'agit-il ici vraiment d'une citation de Leiris? On aimerait d'ailleurs la voir davantage commentée.
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constitue
Suggestion: « constitue avant tout »
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Le mot demeure au centre de la poétique de Leiris mais constitue une donnée plastique, il vise à saisir le support pour faire du geste d’écriture un processus architectural ou, terme plus proche de nos modèles de pensées actuels, un design du signe.
Clair; fascinant.
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Dans cet
Suggestion: « Sur ce »
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plus proche du Radeau de la méduse que de La Traversée d’Apollinaire
On sent sous cette remarque une réflexion riche, qui intrigue, mais on peine à la saisir concrètement. Quelque peu clarifié par la suite de la phrase (« une disposition qui relève du tableau »), mais une reformulation de cette idée dans une phrase suivante serait bienvenue.
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invente l’écran sur le papier
Cette formule laisse quelque peu perplexe.
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de blanc et donc de respiration autant que de quête de lecture
Accroche à la lecture, on ne comprend pas tout de suite ce qui est entendu par là. Préciser?
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28.
En l'absence de référence dans la not de bas de page 27, Ibidem renvoie ici au poème de Mallarmé. Est-ce exact?
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amenant
Suggestion: « l'amenant »
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Mallarmé
La mention de Mallarmé mériterait d'être mieux introduite, peut-être par une exploration plus large de son approche de l'écriture à la fin du paragraphe précédent.
On s'étonne aussi de la transition rapide entre Michaux, Leiris et Mallarmé, pour finalement revenir à Leiris. Le paragraphe pourrait s'ouvrir sur les pratiques d'investissement calligrammique de la page d'Apollinaire et Mallarmé, en lien avec la recherche de liberté dans le signe de Michaux, avant de s'attaquer à la pratique de Leiris? Question d'éviter l'aller-retour.
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Si les créations de Leiris rompent avec un héritage qui est celui d’Apollinaire, car il ne s’agit pas comme Corrège d’affirmer « [et] moi aussi je suis peintre »25, c’est que l’auteur se reconnaît davantage dans l’approche mallarméenne de l’écriture qui consiste à réinventer un espace poétique pour en faire le lieu de tous les commencements possibles.
Cette phrase est trop longue. Peut-être la scinder pour parler de la rupture entre Leiris et Apollinaire d'une part, et de son rapprochement avec « l'approche mallarméenne de l'écriture » d'autre part?
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Leiris23
On suggère d'enrichir la transition entre Michaux et Leiris dans la perspective d'un article plus didactique. Dans le cas du choix d'un ton plus subjectif, les liens entre Michaux et Leiris gagnerait toujours à être clarifiés, mais cela pourrait se faire en aval.
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d’une délivrance de Michaux
Formule porte à confusion: on croirait que Michaux était emprisonné. Je suggère: « La recherche par Michaux d'une délivrance du signe ».
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phénomène du signe
De quoi est-il question ici?
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la musique du pinceau
Métaphore un peu lyrique. À évacuer dans la perspective d'un article plus didactique?
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projet-Michaux
Cette formule étonne: c'est sa seule utilisation dans le texte. Pourquoi ici? Que veut-on dire?
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ainsi
Suggestion: « dès lors »
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dans ssa
Suggestion: « suivant une »
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peuvent
peut
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Par l’entremise de la question de l’outil ou de l’instrument, Michaux comprend le geste comme une conjoncture de son environnement de création
Extrêmement porteur, fascinant. La formule est claire.
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substantifique
Subjectif. À évacuer selon l'orientation éditoriale.
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instrument réel
Amusant, mais risque d'accrocher à la lecture pour certain·e·s lecteur·trices. Évacuer?
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conditionnement de l’image
Cette formule accroche: elle gagnerait à être clarifiée, ou cette idée exprimée autrement.
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plusieurs exemples de créations qui, loin de représenter à eux seuls une exhaustivité des rapports entre image et texte, lèvent le voile sur plusieurs aspérités de l’être dans son geste d’expression.
Les références sont nombreuses et de qualité, mais on aurait peut-être avantage à se concentrer davantage sur un·e seul·e artiste/écrivain·e pour approfondir l'analyse.
On suggère d'autre part d'expliciter en amont les idées auxquelles les différentes références serviraient d'arguments, ce qui participerait à justifier le corpus. La construction de l'article fait signe vers un mouvement inverse: convoquer des auteur·trices/des œuvres puis voir ce qui peut les relier. Les liens entre les idées sont présents et pertinents, bien que quelque fois ténus dans le corps du texte. On aurait généralement avantage à prendre davantage le·la lecteur·trice par la main.
Une orientation plus subjective et essayistique à l'article permettrait cependant de justifier cette approche des idées à partir des créateur·trices, de laisser l'article et la pensée qu'il déploie être guidés par les œuvres.
Dans tous les cas, l'article bénéficierait grandement de clarifier sa ligne directrice dès l'introduction (ou, du moins, de gloser sur « l'impossible dissociation entre le texte et l'image ») et de la rappeler ponctuellement, ainsi que sa progression, au cours de l'article. Le·la lecteur·trice risquerait, dans l'état actuel de l'article, de ressentir une sorte d'effet mosaïque à la lecture.
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