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  1. Oct 2021
    1. « Les périodes de grandes transformations donnent lieu à bien des fantasmes et bien des frayeurs aussi. Mais les technologies ne sont qu’un potentiel : c’est à nous de décider de ce que nous en ferons. »

      Avons nous réellement la main dessus? Est ce que la transformation numérique ne nous échappe pas? Un potentiel certes mais mal utilisé ou à outrance empêche les externalités positives

    2. Il existe un lien positif entre le degré de numérisation de l’entreprise et l’adoption de modes d’organisation du travail dits « flexibles » (travail en équipes autonomes, polyvalence, décentralisation des décisions, etc.) ;

      degré de numérisation doit être élevé? Est ce un lien harmonieux qui le rend positif? Est ce que trop de flexibilité nuit au lien positif avec la numérisation de l'entreprise et vice versa?

    3. Il est urgent de mettre fin à ce paradoxe qui voit plusieurs millions de salariés de nos entreprises amenés à adapter leur quotidien de travail à la diffusion des outils numériques, sans que cette question n’ait été réellement abordée au niveau national, que ce soit dans le cadre du dialogue interprofessionnel ou des récents débats législatifs.

      Se dédouane de la problématique, distille le problème sur des "organisations" non clairement défini (qui est désigné et comment accompagner cette réflexion)

    4. Comme toute transformation majeure, elle comporte des risques qu’il convient d’anticiper, de prévenir, notamment via le dialogue social et un effort d’éducation au numérique de grande ampleur.

      minimisation par comparaison. C'est banal, les risques existent il faudra les anticiper

    5. La transformation numérique est d’abord une chance, une opportunité pour permettre la mise en place progressive de nouvelles organisations du travail plus transversales, plus souples, de nouveaux modes de fonctionnement, plus coopératifs et plus collectifs qui répondent à des maux, à des excès de l’entreprise d’aujourd’hui et d’un modèle taylorien à bout de souffle.
    6. Dans tout processus de création, il y a un processus de destruction. La révolution digitale se caractérise par une automatisation à très grande échelle, qui interroge sur la place de l’homme dans la production, voire dans la décision. Des métiers très qualifiés ou hautement intellectuels, jusqu’alors préservés, se verront concernés.
    7. Les entreprises dans leur mode de management et leurs injonctions paradoxales, sont anxiogènes.

      argument non détaillé, semble sortir de nul aprt. Non détaillé, Pourquoi leur mode de management et leurs injonctions paradoxales sont anxiogènes?

    8. Faire émerger des idées, des compétences… et se recentrer sur l’humain, est primordial pour une transformation digitale réussie.

      Affirmation de l'auteur Problématique avancée

    9. Le progrès ne s’arrête pas mais il s’accompagne ! La démocratisation de l’usage des technologies numériques et la transformation digitale ont des effets notables sur l’organisation, le management, la culture, le rapport au travail, les échanges, les compétences de l’ensemble des acteurs de l’entreprise, mais aussi chez ses parties prenantes et clients. La transformation digitale, parfois appelée transformation numérique, désigne le processus qui consiste, pour une organisation, à intégrer les technologies digitales dans l’ensemble de ses activités. La numérisation arrivée avec l’ère d’internet s’est enrichie de la transformation digitale, qui modifie en profondeur le rapport au travail, en rendant possible des modes de collaboration différents, que le salariat séculaire.

      Arguments épistémiques déductifs Arguments DIalectique neutre