- Jan 2022
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Après la «nurse cathodique», on a dit beaucoup de mal des parents qui usent de «nounous numériques» pour avoir la paix. Que ce soit sur la route des vacances ou à la maison pour retrouver un peu d'intimité en couple
Le psychologue cite ironiquement certains phénomènes pour lui inoffensif en eux mêmes.
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Ils pourraient s'intéresser à ces activités numériques : un enfant jouant à un jeu vidéo devient tour à tour réalisateur, acteur et metteur en scène d'un spectacle qui se donne à voir à plusieurs.
Selon M.S. le parent ne devrait pas interdire complètement les outils numérique à son enfant mais au contraire rentrer dans son univers pour le comprendre d'avantage, cette position du parent est importante selon lui.
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Les jeunes qui passent à l'acte possèdent déjà en eux une violence inquiétante, voire une paranoïa schizophrénique. Ce sont des cas isolés.
Pour lui la source du problème est indépendante de l'outil numérique en lui même.
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Il constitue un apport fondamental à l'appareil médical.
Point de vue positiviste sur le thème.
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chacun se «soigne» avec les objets numériques.
Le psy défend encore son point de vu.
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- Oct 2021
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Parmi les impacts très positifs de ces outils collaboratifs sur les relations humaines, on peut citer, entre autres :
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La transformation numérique est d’abord une chance, une opportunité pour permettre la mise en place progressive de nouvelles organisations du travail plus transversales, plus souples, de nouveaux modes de fonctionnement, plus coopératifs et plus collectifs qui répondent à des maux, à des excès de l’entreprise d’aujourd’hui et d’un modèle taylorien à bout de souffle.
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- Apr 2021
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Ensuite parce que ces traces numériques sont bien laconiques par rapport aux commérages, parlementages ou ergotages que la réception de « fake news » est susceptible d’engendrer dans la vie réelle. Car après tout, est-ce parce qu’une « fake news » a été partagée par des milliers d’internautes que chacun d’entre eux y a cru ? Que ce soit sur Facebook ou dans un groupe WhatsApp, au téléphone ou au comptoir d’un café, les réactions des individus face aux informations qu’ils reçoivent peuvent être multiples et variées. byronv2/Flickr, CC BY-SA Ne se peut-il pas au contraire que certains l’aient diffusée pour signaler sa fausseté comme ce fut par exemple le cas pour l’infox ayant désigné Emmanuel Macron comme étant gay ? Ou encore, pour la détourner et s’en moquer auprès de leurs amis ? Difficiles à appréhender, ces questions nécessitent d’aller à la recherche des significations cachées derrière certaines données numériques. Voilà pourquoi, avant de partir du postulat d’un public naïf et passif, il devient crucial d’étudier davantage les circuits conversationnels de la réception d’informations pour lesquels il existe à ce jour un manque drastique de connaissances.
second argument en faveur de l'idée selon laquelle la désinformation n'est pas seulement le fruit d'une diffusion massive de la fake news.
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Tout d’abord, parce que pris à l’état brut, ces nombres absolus ne veulent pas dire grand-chose. Par exemple, il a été montré que les 20 « fake news » les plus partagées pendant la campagne électorale américaine de 2016 ont suscité 8,7 millions de likes, partages et commentaires sur Facebook. A priori vertigineux, ce chiffre, qui a soulevé beaucoup d’inquiétudes auprès du grand public en raison de son importante couverture médiatique, a bien moins fière allure si on le met perspective avec le nombre total des interactions des utilisateurs américains du réseau social sur la même période car il ne représente alors plus que 0,006 % !
premier argument démontrant qu'une diffusion qui peut paraitre massive n'est pas nécessairement le signe d'une désinformation effective.
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La question de la vérité du corps mis en présence et en performance sur le Web par les internautes anorexiques et boulimiques ne se pose plus en termes de sa cohérence avec le corps hors ligne, « en coulisses », de l’usager.
Corps image sur scène Vs Corps vrai en coulisse : il y a ce que l'on veut montrer de soi et ce que l'on est réellement, dans la vraie vie. Mais si les échanges se basent sur une image construite donc fausse de soi, comment avoir une juste représentation de soi ?
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- Feb 2021
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Nous croyons qu’au cours des décennies à venir, à mesure que ces technologies deviendront plus sophistiquées et plus répandues, il y aura un nombre croissant de personnes qui choisiront de rechercher des activités et des partenaires sexuels entièrement auprès d’agents artificiels ou dans des environnements virtuels.
point de vue + dialectique pro : deux argumentas sont opposés 1) la VR sera plus adaptée et satisfera davantage > soutenue par les auteurs
2) les relations humaines seront privilégiées > sous entendue et pas appuyée par les auteurs
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Facebook users also scored higher than non-users in measures of social support. They had more friends who were willing and able to offer advice, companionship, and physical help. Hampton adds digital technology provides a platform to ask for that help quickly.
C'est bien interessant que ce monsieur Hampton dit!
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- Jan 2021
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Proposer de l'e-learning pour de l'e-learning n'a évidemment pas de sens. Le modèle du MOOC peut être intéressant, mais l'apprentissage y est encore trop passif et le format gagnerait à plus d'interactivité. Dans l'apprentissage, le rôle du maître reste primordial : il permet de pointer les erreurs des individus et d'identifier les limites de leurs connaissances. Avec l'e-learning, le bât blesse au niveau des contrôles des connaissances en fin d'apprentissage, qui sont parfois insuffisants. En présentiel, il est plus facile d'apporter un retour efficace à l'apprenant.
Une controverse entre les MOOC et les cours en présenciel?Parfois c'est difficile de te préparer en presentiel par manque des recours.Toujours est mieux de voir et parler avec l'enseignant!C'est un point de vue.
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- Dec 2020
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Nao, le robot qui focalise l’attention
Confirmation sur les exploits de Nao.
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L'heure est à la robotique
l'ère de la technologie et de la robotisation est une partie intégrante de notre vie au quelle adhère l'auteur
L'idée de l'auteur est fixe et ferme sur le fait que le robot est bien dans son époque et le salon Innorobo est la preuve de cela
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Un petit robot humanoïde nommé Nao a été utilisé avec succès pour focaliser l'attention d'enfants atteints d'autisme. Il ne peut remplacer un thérapeute mais il semble un outil supplémentaire pour essayer d'atténuer les symptômes de ce trouble, comme le déficit de l'attention conjointe.
Les fonctionnalités du robot a une incidence sur l'attraction des autistes par la focalisation de leur attention ce qui atténue sur leurs troubles . ici l'auteur résume l'efficacité du robot et défend l'idée qui revient à dire que Nao est un succés auprès des autistes.
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Le premier prototype de Nao a été conçu entre janvier 2005 et mars 2006. Depuis, il a été décliné en plusieurs versions. Avec l'ajout des chercheurs américains, ces derniers prouvent que le robot peut être effectif pour concentrer l'attention des enfants atteints d'autisme. © Kai Schreiber, Wikipédia, cc by sa 2.0
La date et les versions qui ont découlé de la version originale qui arrivent à capter l'attention des autistes.
Explication scientifique utilisée pour persuader toujours le lecteur de l'importance de ce robot
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- Jul 2020
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Cependant une littérature relativement récente s’est développée autour de ce que certains chercheurs nomment tout de même « addictions comportementales » à Internet (Griffith et al., 2016). Celles-ci peuvent être définies comme une habitude répétitive dont l’individu a du mal à se soustraire et qui accroît le risque de maladie et/ou est associée à des problèmes personnels ou sociaux. Elle est souvent ressentie négativement comme une perte de contrôle dans laquelle l’individu a conscience des risques psychologiques et sociaux. En simplifiant, il existe trois grands courants de recherche. Un courant portant sur les addictions sur (et non à) Internet. Il s’agit de la reproduction sur Internet d’un comportement addictif particulier que la personne effectue également en dehors du Web (addictions aux jeux, au sexe, aux achats… Billieux, 2012). 6 Dans cet article, nous faisons la distinction entre les phénomènes en ligne et hors ligne. Les prem (...) Un courant portant sur les addictions à Internet. Les internautes sont dépendants d’activités que l’on ne trouve que sur Internet, essentiellement l’usage des RSN (Griffiths et al., 2014). Ils se construisent, la plupart du temps, un « soi virtuel » bien différent de leur « soi réel ». L’écart entre les deux « sois » semble être un prédicteur de l’implication excessive dans leurs activités sur les RSN (Billieux et al., 2015). De nombreux travaux insistent sur les vulnérabilités psychosociales préexistantes chez les jeunes « addicts » : importante anxiété sociale, sentiment de solitude dans la vie sociale hors ligne6. Ils trouvent alors de forts attraits aux RSN. Cependant, il n’est pas rare de voir, chez les plus jeunes, un usage intensif d’Internet les amener à négliger leur travail scolaire, à entrer en conflits avec leurs parents… ce qui accroît leur anxiété. Le temps passé à surfer sur Internet est positivement associé aux symptômes de la dépression et à l’anxiété sociale chez les adolescents ayant un réseau amical de faible qualité. Plus le temps passé sur le web est élevé et plus leur bien-être est faible (Yang, Tung, 2007). En effet, si interagir avec les RSN peut créer une certaine satisfaction immédiate contribuant à accroître leur dépendance, les satisfactions à plus long terme et dans la vie sociale hors ligne sont quasi inexistantes. Les jeunes internautes entrent alors dans un cercle vicieux : ceux qui ont déjà peu d’amis passent plus de temps sur Internet ; l’excès de web et l’absence de vie sociale hors ligne développent, en retour, des problèmes de confiance de soi et d’anxiété (Selfhout et al., 2009). Un courant portant sur des modèles plus compensatoires, comme celui de « l’usage compensatoire de l’Internet » (Kardefelt-Winther, 2014). Les personnes vont sur le web pour échapper à leurs problèmes dans la vie hors ligne, à leur manque de stimulation sociale ou pour atténuer leur humeur dysphorique. Elles cherchent alors à se socialiser par Internet, par exemple dans les jeux en ligne ou sur les RSN. Dans certains cas, les résultats sont positifs car ces personnes se sentent effectivement mieux en obtenant les stimulations sociales désirées. Dans d’autres cas, les résultats sont négatifs dans la mesure où elles deviennent « dépendantes » du Web pour obtenir satisfactions et stimulations sociales. Cependant, de telles pratiques ne constituent pas une réelle dépendance au sens pathologique car elles ne sont pas de nature compulsive. Cette théorie explique notamment pourquoi certaines personnes continuent à passer autant de temps à surfer sur le web bien qu’elles considèrent ces expériences comme globalement négatives.
L'auteur expose ici le cadre général de réponse choisi. Certaines recherches récentes identifient l'usage abusif d'internet comme "addiction" en se basant sur trois axes: internet en tant que moyen d'assouvir d'autres addictions, internet en tant qu'objet d'addiction et internet en tant qu'objet compensatoire à d'autres problèmes de la vie réelle.
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- Apr 2020
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Pour Didier Roy, chercheur à l’INRIA, la robotique apporte «un micro-monde d’apprentissage en phase avec les problématiques d’aujourd’hui et un champ d’application privilégié des démarches d’investigation et de coopération. Un dispositif comme R2T2 Meteor amplifie ces effets et ajoute une communication ouverte sur le monde, créant des liens transnationaux autour d’objectifs communs».
Troisième étage de l'argumentation. L'argument est dialectique, même si cela peux paraître des faits. il s'agit également du point de vue d'un chercheur en informatique appliquée. l'auteure utilise une nouvelle fois une citation pour soutenir l'argumentaire. La préposition "pour" indique un point de vu, ici celui de Didier Roy.
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Un exemple probant: la mission R2T2 Meteor En janvier dernier, dans le cadre de la conférence 2017 de la communauté d’apprentissage interactif Scratch, à Bordeaux, en France, une expérience internationale de programmation de robots par des élèves s’est déroulée avec succès. Ce projet, nommé R2T2 Meteor, était organisé par des collègues de la France, de la Martinique, du Mexique1 et moi-même. R2T2 Meteor consistait en un défi technologique créatif de robotique pédagogique distribuée. Des élèves français assistant à la conférence Scratch étaient connectés en vidéoconférence avec des élèves du Mexique et d’autres de la Russie. Ensemble, ils ont collaboré en temps réel pour réussir une sorte de mission spatiale au cours de laquelle chaque équipe devait programmer son robot Thymio pour lui faire accomplir des actions et les coordonner avec celles du robot des autres équipes, un défi d’une grande complexité. En effet, la programmation visuelle et la manipulation du robot pédagogique Thymio sont relativement faciles pour les élèves du primaire, mais la coordination entre les équipes a été tout un enjeu pour l’ensemble des participants. Pour l’assurer, ils ne devaient pas simplement programmer leur robot, ils devaient également s’organiser de manière concertée en tenant compte de la programmation du robot des autres équipes.
Premier étage de l'argumentation. L'argument est dialectique, l'auteure qui est co-organisatrice justifie l'expérience comme probante et comme étant un succès, n’y a-t-il pas ici un biais d’objectivité? L' auteure ne peux nous garantir de son impartialité. Quels sont les marqueurs qui prouvant d'une réussite? Du coup il est en même temps un point de vue.
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Comme le souligne Francesco Mondada, chercheur en robotique à l’École polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL), «le robot et sa technologie forment dans cette activité un outil dans un cadre plus complet, avec des éléments sociaux, de méthodologie de travail, de communication et de gestion de projet. C’est très représentatif de ce qu’on doit développer dans notre société».
Deuxième étage de l'argumentation. L'argument est dialectique, le chercheur donne également une opinion en fin de phrase. l'auteure cite les propos du chercheur pour étayer ses propos.
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Plus de la moitié des mobinautes ont déclaré éprouver de l’anxiété en cas de perte de leur smartphone mais également quand ils ne pouvaient pas l’utiliser à cause d’une mauvaise couverture réseau ou d’une batterie faible
La genèse d'anxiété et de peur due à une perte d'accès aux technologies numériques appuie la thèse des auteurs.
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Des recherches en neurosciences sociales montrent que même lorsque la comparaison sociale est en faveur du socionaute, celle-ci n’est pas systématiquement source de satisfaction. En effet, une comparaison sociale positive activerait une zone cérébrale dédiée aux plaisirs et bien-être, le noyau accumbens (Meshi et al., 2013). Cette zone est impliquée dans le circuit de la récompense et du plaisir. Elle est toutefois également activée lors des pratiques excessives des socionautes et on observe un phénomène d’habituation nécessitant de toujours remporter davantage de comparaisons sociales pour obtenir la même satisfaction.
Effets négatifs même en cas de comparaisons favorables.
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Ce biais conduit au déclenchement de certains processus psychopathologiques, comme des ruminations mentales, c’est-à-dire des ressassements incoercibles d’idées et de pensées affectivement négatives, qui peuvent être associées à ou produire des syndromes dépressifs
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les dépressions liées à des usages intensifs des RSN, ne font pas uniquement courir aux préadolescents et adolescents des risques d’un plus grand isolement social dans lequel ils se trouvent souvent déjà. En effet, souffrir de troubles dépressifs en s’exposant excessivement à Internet est d’autant plus problématique que les adolescents, alors fragiles psychologiquement, pensent parfois trouver sur certains RSN, sites ou blogs, du réconfort psychologique. Le danger est de tomber sur des sites qui incitent à des comportements personnellement (e.g. toxicomanie) ou socialement risqués ou les incitant à adhérer à des idéologies dangereuses.
Argument teinté de pathos pour alerter sur le danger encore plus fort chez les plus "vulnérables". Champs lexical adéquat.
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une association positive a même été mise en évidence entre l’usage de ce RSN et des symptômes de dépression
Argument d'association, mais pas de causalité.
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Plus les gens sont actifs sur Facebook, sans forcément en être « addicts », et plus leur humeur est négative après les usages du RSN
Argument de causalité.
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Cependant une littérature relativement récente s’est développée autour de ce que certains chercheurs nomment tout de même « addictions comportementales » à Internet (Griffith et al., 2016).
Ici commence une série d'arguments pour expliquer que même si on ne peut pas (encore ?) parler d'addiction à proprement parler, certains usages des technologies de communication en ont de plusieurs caractéristiques. La création de l'expression "addiction comportementales" permet d'être explicite tout en respectant le cadre sémantique.
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Qu’en disent les recherches scientifiques ? Quels effets affectifs négatifs provoquent les usages intensifs des technologies et contenus de communication numérique tels le smartphone, Internet ou les réseaux sociaux numériques (RSN) ?
Dans la façon de poser la problématique on voit bien que la question n'est pas de savoir s'il existe des effets affectifs négatifs, il y en a, il s'agit de savoir lesquels.
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Subrepticement, l’écran se présente à l’utilisateur comme un outil doté d’une performance innée et rend le lecteur trop confiant face à ses capacités. Ainsi, la tâche lui semble facile, alors qu’inversement, le support papier est traditionnellement associé à un processus d’apprentissage plus ardu.
Dichotomie entre les deux supports concernant le processus d'apprentissage;
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Alors, comment expliquer l’avantage « cognitif » que semble conserver le support papier ?
L'auteure pose de manière manifeste le thème de l'article: l'avantage "cognitif "du support papier .
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Toutefois lorsque le texte dépasse les 500 mots, le recours aux outils de navigation entame la qualité de la compréhension.
L'auteur utile un exemple avec des données quantifiables pour justifier son argument et l'opposé à l'exemple fait précédemment. Elle utilise en début de phrase l'adverbe "Toutefois" qui annonce un contre argument de la phrase précédente.
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lejournal.cnrs.fr lejournal.cnrs.fr
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Toutefois, depuis l’irruption d’Internet et des technologies du numérique, « la mémoire nous échappe, commente le philosophe Bernard Stiegler, directeur de l’Institut de recherche et d’innovation du Centre Georges-Pompidou et président de l’association Ars Industrialis. De plus en plus souvent, nous nous dépossédons d’éléments de notre mémoire (numéros de téléphone, adresses, règles d’orthographe et de calcul mental…) que nous confions à des machines presque toujours à portée de nos mains
IED_DP, IED_RL4 Bernard Stiegler intervient en faveur de la thèse de l'auteur, à partir de l'état de fait établi au paragraphe précédant : le support externe de la mémoire prend de plus en plus de place au détriment de la mémoire interne.
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grham.hypotheses.org grham.hypotheses.org
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on voit des copieurs-colleurs rendre honnêtement hommage aux créateurs originaux (si cette notion existe encore) des contenus qu’ils répliquent. D’autres, au contraire, se les approprient sans vergogne, et sans même un lien hypertexte pour signaler la source.
Met en évidence le côté répréhensible et sans honte du journalisme plagiat.
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- Mar 2020
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Trouvez du soutien dans cette démarche qui va à contre-courant de la tendance générale de surconsommation et de surconnection. Non, vous n’êtes pas seul. Oui, il existe d’autres manières de vivre. Vous pouvez prendre part à des activités de groupe vous permettant de vous recentrer sur vos sens et votre ressenti. Par exemple, apprendre à jouer d’un instrument de musique, à sculpter le bois, à jardiner – même si vous habitez en ville, etc.
L’enchaînement des idées a un effet persuasif au service de l'auteure. Fluide, "non, vous n'êtes pas seul. Oui, il existe d'autres manière de vivre." encourage le lecteur tout en défendant le point de vue de l'auteure.
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