Ces études illustrent l’impossibilité qu’il y aurait à conclure à une quelconque supériorité des documents électroniques sur leurs homologues imprimés. L’idée défendue ici est que c’est une meilleure connaissance des nouvelles opportunités offertes par ces nouveaux médias, mais aussi une évaluation plus systématiques des nouvelles difficultés qu’ils entraînent
Voici présenté le point de vue de l'auteur : il n'est pas question d'établir une hiérarchie entre documents électroniques et documents imprimés, mais bien plutôt de connaître les avantages et les limites des documents électroniques, pour être ainsi en mesure de tirer pleinement profit des opportunités qui leur sont propres.
La conclusion pourrait donc être résumée en ces termes : les nouveaux médias, un plus pour la mémorisation, s'ils sont correctement utilisés.