- Dec 2022
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Parler ainsi de transformation du bois de noyer noir nous a amenés à la troisième plénière qui se penchait sur laproblématique du choix des plants nucifères qui présenteront un potentiel commercial intéressant autant par lesproduits dérivés (le bois, le brou, l’écale) que par les quantités de fruits produites et leur qualité. Cette plénière étaitanimée par M.Alain Rémillard, un des principaux fondateurs du Club, et son trésorier actuel.Des dizaines de variétés de noyers noirs ont été mises au point aux États-Unis durant le vingtième siècle et chacuneprésente des caractéristiques intéressantes en fonction du type de production recherchée : il y a des variétés de noyersnoirs qui font du meilleur bois, des variétés dont l’écale est plus ou moins épaisse, le brou plus ou moins abondant, lefruit plus ou moins charnu... Et il y a eu aussi de nombreux développements de variétés pour les autres arbres à noixnordiques, sans parler des nouvelles espèces hybrides qui ont été mises au point par des croisements inter-espèces :noyers cendrés hybrides, noyers en cœur, hicaniers, bitcaniers, châtaigniers d’Amérique résistants à la brûlure etproduisant de plus gros fruits que les spécimens indigènes, etc.Pour en arriver à produire suffisamment d’arbres à noix qui conviennent au climat québécois, certaines lacunesdevront être comblées. Il faudrait d’abord s’assurer de la rusticité des variétés qui nous apparaissent les plusintéressantes en fonction des différents objectifs que nous nous fixons (culture du bois, des fruits).
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Résultats des analyses des plantations de 2005 par Giulio NeriEn 2004-2005, dans le sud-ouest du Québec, une implantation importante d’environ 1000 arbres à noix a été réaliséeavec l’aide du PPMV-Volet II du Ministère des Ressources du Québec, l’Agence forestière de la Montérégie et laFédération Régionale de UPA St-Jean-Valleyfield. Six ans après cette implantation, le CPNCQ voudrait démontrerque les arbres à noix pourraient être une avenue viable pour les producteurs agroforestiers.Voici les résultats des analyses faites en 2005, suite à cette implantation. Nous sommes présentement en train devalider les données recueillies sur ces mêmes sites en 2011. Ces résultats vous seront divulgués dans la prochaineLettre du Club, à paraître en automne.«Plantation d’essences feuillues nobles pour la production de noix comestibles en attente d’une production de bois. »Chaque site visité a reçu une recommandation de plantation avec un dossier personnalisé sur les types d’arbres àplanter. De cette façon, les producteurs intéressés mais non sélectionnés pourront prendre l’initiative de planter cesarbres. Des notes techniques sur la plantation, l’entretien et le suivi ainsi que sur les arbres à noix ont également étéfournies.Grâce à la collaboration du MAPAQ, des fiches techniques sur chaque espèce d’arbres à noix ont été produites etoffertes à tous les producteurs intéressés.Sur chaque site accepté, il y a une recommandation de plantation et une régie de culture qui peut varier selon laréalité du producteur. Par exemple, certains arbres sont plantés sur une bande de paillis de plastique, d’autres ont unpaillis de plastique individuel et un site réprime les mauvaises herbes par le passage d’un rotoculteur. Cette diversitépermettra de voir quel type de régie profite le mieux aux arbres.8 sites ont été choisis pour une moyenne de 130 arbres par site.Voici les endroits choisis :Producteur Ville MRCRobert Patenaude Lacolle Jardins de NapiervilleMartin Bartczak St-Constant RoussillonFerme Louise Théorêt St-Stanislas-de-KostkaBeauharnois-SalaberryPépinière Ébriclore Coteau-du-Lac Vaudreuil-SoulangesGérard Bastien-TAS agriculture Carignan Vallée du RichelieuAu cœur de mon vergerM. Gérard LemieuxHavelock Haut St-LaurentJakob Weibel et Christina Droulers Franklin centre Haut St-LaurentLa face cachée de la pomme Hemmingford Jardins de NapiervilleVoici la conclusion du projet un an après la plantation.Sur les 1 043 arbres plantés à l’automne 2004, 79% étaient toujours vivants à l’automne 2005. Le site Bastien, où laplantation tardive a été suivie par une période de gel, a montré un taux de survie moyen (47 %), de beaucoup inférieurà ceux des autres sites, qui présentaient des taux variant de 75 à 100%. Seulement trois espèces présentent des taux desurvie inférieurs à 80 %, le chêne à gros fruits (Quercus macrocarpa), le noyer noir (Juglans nigra) et le châtaigner(Castanea sp). Si on exclut le site Bastien, les taux de survie dépassent 80 % dans le cas du noyer et du chêne, mais nechangent pas dans le cas du châtaigner
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http://www.threeriversrcd.org/pcwl%20information/2009%20resources/How%20to%20%20Mound%20Layer%20Hazelnuts%20(2).pdf
Techniques de marcottage de noisetiers
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Pignons de pin de Corée et noix de ginkgonécessitent 2 mois à 20°C suivis de 3 mois au froid (4*).
4* À défaut de leur laisser 2 mois de chaleur après la cueillette, ces noix germeront vers juillet-août seulement.
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Châtaignes, noix des Carpates etglands doux (3*) peuvent germer sans stratification au froid
3* Se réfère au groupe des chênes blancs, prins, verts et d’Eurasie: chêne blanc, à gros fruits, bicolore, pédonculé et autres
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En principe, une période de froid (avoisinant 0-4° c) d’une durée de 3 mois minimum est nécessaire pourla plupart des noix de noyer, caryer, noisetier (1*) et pour les glands amers (2*).
1* Nous avons vu des noisettes germer dès l’automne lorsqu’elles sont soumises à un fort taux d’humidité.
2* Se réfère au groupe des chênes rouges: chêne noir, écarlate, des marais, ellipsoïdal et imbriqué.
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Lemoment de germination, qui doit le moins possible excéder la mi-juin, est très délicat. La chaleur combinée à unebonne humidité doivent être présentes dans ce processus et maintenues de la façon la plus égale possible. Pourcela, on peut créer un effet de serre au début de la levée des semences, en prenant certaines précautions. C’estl’humidité de la surface du sol qui doit être encouragée
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Lorsque la chaleur se manifeste en mars, nul besoin de précipiter les semis d'arbres puisque c’est en mai que laterre se réchauffe, de même que les nuits. À partir de mars-avril, il vaut mieux bien protéger les semences (lesnoix) des rongeurs vagabonds de toutes sortes qui sont alors si affamés que même après la germination, en saisonplus chaude, ils chercheront à déterrer les petits semis fragiles. Un grillage quadrillé recouvrant les noix prévientbeaucoup de pertes.
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8. La photo 8 montre l’évolution de la germination d’une semence de noyer du Japon.
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7. Éviter l’excès de soleil jusqu’au début août et arroser régulièrement.
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6. Les photos 6 et 7 montrent des semis de chênes et de caryers démarrant leur 2e année de croissance auprintemps. Il est recommandé de ne planter en pleine terre toute la motte (sans la défaire) qu’au début de la 3eannée, au printemps, et de laisser aux arbrisseaux encore une année de plus de croissance en pot. Si les noyerspeuvent être séparés et envoyés en terre après 1 an, il faut compter 2 ans en pots pour toutes les autres espèces.
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5. Après un arrosage copieux, recouvrir chaque pot d’un sac de plastique en laissant un bon espace comme sur laphoto 5. Ceci permet de maintenir un bon taux d’humidité à la surface et aide grandement à la germination.Lorsque les semis ont germé et que les jeunes pousses ont plus de 4 cm de haut, on enlève le sac. Recouvrir ànouveau les semences du même terreau si les semences se découvrent par les arrosages.
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4. Recouvrer les semences de 1 cm de mélange terre / paillis et étiqueter avec un crayon à encre résistante. Voirphoto 4.
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3. Remplir chaque pot d’un mélange terre noire / paillis fin ou d’un autre mélange d’empotage qui se draine bienmais sans excès. Des fertilisants peuvent être incorporés dans le cas d’espèces à croissance lente comme lescaryers. Remplir les pots jusqu’à moins de 2’’ (5 cm) du bord. Les semences sont déposées en surface et lesgermes sont placés vers le bas si la germination a déjà commencé. Voir photos 2 et 3.
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2. Mettre dans le fond du pot un paillis grossier pour un bon drainage, comme dans la photo 1.
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1. Choisir des pots de 1 à 3 gal. ou plus selon la quantité de semences qui seront distancées de 4 cm pour leschênes, caryers et noisetiers mais de 8 cm environ pour les noyers. Les pots doivent avoir une profondeurminimale de 20 cm.
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Faire des semis en contenants B. ContréLes méthodes de semis de noix chez les pépiniéristes sont variées et celle qui est proposée ici permet en général deconnaître en pots un taux de succès élevé en faisant germer rapidement les semences
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Par contre, la plupart des cultivars de caryers ont besoin d’un autrecompagnon spécifique pour la pollinisation croisée
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Pour les semer, le semis d’automne se fait très bien à 3 cm de profondeur; semerdirectement dans le paillis ou dans une matière équivalente donne de très bons résultats; recouvrir ensuite les semisd’un grillage métallique de ½ x ½ est nécessaire
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il a tendance à produire plus régulièrement même en sol marginal et ne subitpas les attaques dommageables des charançons des noyers (Curculio spp.). On peut aussi le considérer assezrésistant aux vents quoique les coups de vent” lui sont souvent fatals. Partant de là, une taille rigoureuse audépart et des tailles de suivi leur sont indispensables.
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- Nov 2022
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Un intéressant document écrit par P.M. Kilburn en collaboration avec l’AFCE fait la description de plusieurs autrespièces de matériel de même type et donne aussi divers conseils sur leurs usages, voir :http://www.agenceestrie.qc.ca/Documents_PDF/Protection%20feuillus-exp%E9rience.pdf.
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Prenez seulement note questimuler la croissance excessive des jeunes arbres dans les premières années peutexposer les bourgeons et les jeunes pousses de l’année, mal préparés, à des gelsl’hiver suivant, pour ce qui est des espèces à risques (ex.: espèces zonées et cultivéesen zone 4). Les tubes ou gaines peuvent être enlevées à la fin de l’été pour unmeilleur durcissement du bois de l’année. En général, on les utilise pour les 2 ou 3premières années à partir de la plantation.
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De plus en plus, nous voyons des producteurs forestiers utiliser des tubes ou gainesqui entourent les jeunes arbres récemment plantés pour leur donner soit uneprotection soit pour accélérer leur croissance. Il y a en effet des avantages, semble-t-il, à les utiliser si on veut optimiser la croissance et limiter les dégâts causés par leschevreuils et mulots.
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En 2008, je suis devenue membre du CPNCQ et, lors d’une visite du Jardin Botanique de Montréal, en discutantavec d’autres membres, j’ai su qu’il fallait ébrouer les noix de noyer noir avant de les faire sécher, sinon le broudonnait un mauvais goût à la noix. Donc, pour la première fois cette année-là, nous avons ramassé les noix(environ 18 poches).
19% des noix étaient vides
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La récolte de 2009 a été très faible, pour un grand total d’une seule poche, à cause du gel printanier et de l’hiver quia affecté très sérieusement plusieurs noyers
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Et voici un petit compte-rendu de la récolte 2010. Environ 60 noyers ont produit des noix. Nous avons récolté 26poches
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À ce jour, en date du 17 décembre 2010, j’ai cassé 1000 noix qui pesaient au total 10.98 kg et j’ai eu 2.22 kg de noixprêtes à manger, soit un rendement d’environ 20%. Comme la température a été très favorable cet été, seulement12% des noix ne sont pas bonnes.
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Dans certaines circonstances, cela vaut le coût de raser au complet une talle pour recommencer à zéro
car noisetiers hybrides ont des fois des troncs qui deviennent large, ce n'est pas un problème avec les indigènes.
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En plus de la taille des tiges (gourmands), la taille consiste à éliminer les branches trop vieilles, celles avecpeu de vigueur, les bouquets trop serrés entre eux et bien sûr, les tiges portant des brisures ou des infections par leEFB
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On est tout de mêmeconscient que plusieurs nouvelles tiges drageonnantes émergeront de plus belle durant l’année en cours, qu’ilfaudra éliminer l’année suivante. Ces nouvelles tiges n’encombreront pas les tiges restantes.
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J’ai effectué sur la quasi totalité de mes noisetiers en culture et semi-culture de mon verger les tailles d’entretien etde correction de décembre à février. Cette période où l’on est moins actif dans nos travaux saisonniers coïncide bienavec cette opération qui est vitale pour les noisetiers. Grâce à la faible couche de neige nous permettant de mieuxcirculer autour des plants au début de l’hiver, j’ai pu couper la plupart des tiges au ras du sol. Comme le montrentles photos avant et après la taille, une quantité assez importante de tiges ont été éliminées pour permettre unemeilleure fructification des tiges porteuses de bourgeons floraux.
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Les noyers ont 40’ (12 m) de distance entre eux. Dans les rangées verticales, certainsproposent de planter jusqu’à deux noisetiers entre les noyers. Les rangées horizontalessont laissées à 20’ pour permettre la circulation.Total : 120 arbres pour 1.2 acre ou ½ hectare
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Pour éviter toute cette corvée dans notre prochain verger de 40 arpents, la solution serait de n’utiliserque des carrés de paillis plastique, en plantant chaque arbre au milieu de chacun de ces carrés quidevraient mesurer environ trois mètres par trois mètres, au maximum. Ainsi, beaucoup moins dedépenses en plastique, beaucoup moins de paillis à enlever dans quelques années et en attendant,beaucoup moins de surface à entretenir (dans une optique écologique d’arrachage à la main...).
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- Oct 2022
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Méthode de désinfection des noix avec le savon Ivory :1. Emplir d'eau tiède les gros contenants;2. Ajouter 20 ml de savon «Ivory» ;3. Tremper un lot de semences (maximum 500 litres / bac complet) durant 2 minutes ;4. Retirer les semences de l'eau savonneuse ;5. Rincer les noix à l'eau courante avec un boyau d’arrosage ;6. Égoutter et déposer les noix dans des bacs perforés.
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L’entretienLes deux experts préconisent les opérations suivantes dans le maintien des noyers en place:1. Repérer les arbres qui ont de 70 à 80% et plus de cime vivante et qui ont moins de 20 à 30% du troncde la base affectée par le chancre.2. Voir si les arbres ont au moins 50% de cime vivante et pas de présence de chancre noir au tronc.Dans ces deux cas, les noyers sont gardés.Il est recommandé :1. D’émonder les branches affectées et exciser les chancres au tronc des noyers préservés.2. D’abattre les arbres qui ont plus de 50% de parties mortes en cime sans dommage au tronc.3. D’abattre les arbres qui ont 20% de parties mortes en cime et 25% de perte de circonférence annelée.Le bois et les branches doivent être brûlés.Note : en bas âge, les noyers coupés à la base du tronc rejèteront une ou plusieurs tiges .
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En autre; des noix de noyer noir du cultivarSparks 127, variété prometteuse pour la minceur de sa coquille (ressemble à Emma Kay)
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N’oublier pas que lesnoix séchées ne serviront plus àdes fins de semences d'arbres.
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À la fin des années 50, j’ai mêmetransplanté, fertilisé et taillé des noisetierspris à l’état sauvage (Corylus cornuta et C.americana) lesquels ont donné un bonrendement en fruits
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Actuellement nos plants de noisetiers etnoyers proviennent de Ontario et de Jolymais nous travaillons étroitement avec laPépinière Lafeuillée (Bernard Contré) pourproduire nos futurs plants mieux adaptés ànotre climat
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LesAmandes du Québec propriété de JacquesBlais et de Diane Pageau de Joly dansLotbinière
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Mon père a quand mêmejugé préférable de suivre le conseil de M.Bernard Contré, et semer du maïs à tigepersistante en bordure de chaque petitnoyer noir, chêne blanc et châtaignier, ducôté d’où souffle le vent dominant en hiver
Intéressante idée pour protéger les cultures temporairement
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Après la chute des feuilles,enfin, il ne nous restait plus qu’à protégernos autres petits arbres en pots, en lesplaçant tous en position inclinée, et en lesrecouvrant de grandes toiles géotextiles
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La pépinièreaméricaine nous a offert de généreusescompensations sans mettre notre parole endoute, en nous promettant 400 plants desureau rouge et 150 coudriers pour leprintemps prochain. Les noyers noirs quiont succédé à ceux que nous n’avons pasvu "débourrer" sont ceux que nous avonscréés durant l’été à partir des noix de Joly-de-Lotbinière
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Pour lancer notre verger, nous avons faitvenir du Dakota du Nord 1800 noyers noirsdont la rusticité avait été éprouvée par leclimat de là-bas : aussi froid que le nôtre enhiver, mais avec moins de neige au sol.Nous avons aussi fait stratifier et germer desnoix de toutes les espèces d’arbres quenous projetons de voir dignementreprésentés dans notre futur verger-école,durant l’hiver 2006-2007; merci au domaineJoly-de-Lotbinière, à M. Bernard Contré et àM. Neil Thomas pour les semences. Nousnous sommes aussi procuré 60 chênesblancs et 25 châtaigniers d’Amérique auprèsde l’UPA de Valleyfield, grâce aux initiativesde M.Giulio Neri, et enfin, nos 60 premiersnoisetiers hybrides à la Pépinière Lafeuilléede M. Contré
Sources des premiers arbres du Jardin des Noix
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Pourquoi d’autres végétaux n‘ont-ils pas subiles même dommages (comme les noisetiers)? Toutest une question de teneur en eau contenue dans lesnouvelles tiges récemment en croissance
idéalement sélectionner individus avec une teneur en eau moindre. comment mesurer ?
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un double tronc estdevenu avec les années sérieusement susceptible àl’ouverture complète du tronc. J’ai proposé aupropriétaire la solidification ou réparation du tronc carse noyer, en plus de produire des noix hâtives, est undes rares dans cette ville. Le temps chaud et sec deseptembre était idéal et voici les étapes qui ont étéfaites :Un trou de 5/8’’ est percé à travers le diamètre dutronc à la hauteur de la fourche (environ 26’’de large) .Une tige filée en acier est insérée (ligne orange photo4), 2 boulons et 2 rondelles sont fixés aux extrémités.Les rondelles sont accotées au bois et non surl’écorce et donc , il faut la découper et l’enlever. Onserre les 2 boulons (photo 2). Avec les années,l’écorce recouvrira les boulons et rien ne paraîtra.Pour sécuriser d’avantage l’arbre qui fait 25’ (8m)dehaut, 2 crochets sont aussi installés et tendus avecune broche. Cette étape peut être considéréefacultative mais les rafales de vends en été secouentfortement les noyers (photo 3).Bien que les 2 troncs ont été rapprochés, uneouverture évidente reste présente laissant l’eau et legel pouvant pénétrer (photo 1) . Une quantitésuffisante de ciment est appliquée pour boucher toutesinfiltrations nouvelles (photo 4).
solidification d'une double fourche de noyer noir
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e froid, et quelque fois de l’eau s’infiltrent etselon l’intensité des T° de l’hiver, peuvent facilement faire périr la partiegreffée (le cultivar). Le printemps suivant aucun démarrage se fait et leporte greffe rejette une ou plusieurs tiges à la base. Pour éviter la perte dela partie greffée il est recommandé de couvrir (la terre locale estsuffisante) cette partie d’au moins 15 cm ou plus encore, ce qui donne unmonticule de 30-40 cm de haut, voir le dessin. Au printemps on dégage laterre. Cette protection est répétée pendant quelques années jusqu’à ceque l’arbre a une bonne vigueur de croissance et que la greffe soitparfaitement soudé
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Walnut (Black) Richard Fahay – Singing Tree, 588 Turner Rd., Oxford, NY 13830
Personne contact pour le groupe d'intérêt sur le Noyer Noir de NAFEX
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over the past 30 years I have done approx. 150 of these bud grafts. They seem to take best when grafted just at bud out, that is the buds are swollen but not yet opening (this is the point of first sap flow). I did the first of these grafts for one of my family members peach farms (they wanted to branch out to nuts other than pecans so they decided on chestnut) and the first takes are still producing and should do so for another 40 years at least.
Greffe de châtaigniers sur hêtres
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Pour plus d’informations, contacter GiulioNeri tf au 450-454-5115 poste 234 ou parcourriel : g.neri@xittel.ca
Personne ressource pour la culture de noix au Québec
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5 ans d’avance pour le début de notreproduction (et même 7 ans pour ce qui est dunoyer noir au lieu d’attendre de 12 à 15 ans)
Un avantage certain pour la production
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