- Mar 2024
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thebaffler.com thebaffler.com
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Sam Harnett’s 2020 paper “Words Matter: How Tech Media Helped Write Gig Companies Into Existence” remains one of the best accounts of how swaths of the media enthusiastically generated on-demand propaganda for the tech industry, directly setting the stage for these firms to exploit, codify, and expand legal loopholes that largely exempted them from regulation as they raided their users for data and generated billions in revenue. Such intellectual acquiescence would, as Harnett writes, “pave the way for a handful of companies that represent a tiny fraction of the economy to have an outsized impact on law, mainstream corporate practices, and the way we think about work.”
Harnett, Sam. “Words Matter: How Tech Media Helped Write Gig Companies into Existence.” SSRN Scholarly Paper. Rochester, NY, August 7, 2020. https://doi.org/10.2139/ssrn.3668606.
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- Jun 2022
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18. The success of the referendum orga nized by Uber and Lyft to preserve their ex-tremely precarious model in California in 2020 illustrates the limits of an idyllic visionof direct democracy, as well as the need to reconceive a salarial status that makes it pos-sible to reconcile protection and autonomy.
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The develop-ment of digital platforms and gig workers paid by the task now con-stitutes as much a redoubtable threat to salarial status as to our liber-ties, and we will be able to fight it only if the public authority regainscontrol of the sector and implements new laws.11
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- Oct 2020
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www.nytimes.com www.nytimes.com
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The backlash from gig economy companies was immediate, and Uber and similar app-based businesses have committed nearly $200 million to support a state ballot measure — making it the costliest in state history — that would exempt them from the law.
This is a pretty good indicator that it will save them 10x to 100x this amount to get rid of this law.
One should ask: "Why don't they accept it and just pass this money along to their employees."
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- Jun 2020
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theconversation.com theconversation.com
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Et si nous choisissions de jouer notre propre musique avec la gig Economy ? Selon l’auteur, la révolution numérique actuelle a engendré la « gig economy ». Une part de plus en plus importante de travailleurs indépendants( 35 % aux États-Unis, l’auteur ne le source pas) sont payés à la tâche via des plateformes numériques. La problématique est posée sous forme dialectique, la « gig economy », étant soit un nouveau paradigme économique, soit une régression vers un vieux modèle d'économie à la tâche du XIXème siècle mais mondialisé. Il démontre que les principaux effets bénéfiques de la « gig economy », entre autres la compétitivité des entreprises, la liberté des travailleurs sont contrebalancés par l’inadaptabilité du modèle de protection sociale actuel (basé sur un regroupement de travailleurs). Il conclue en affirmant que si les politiques ne prennent pas en compte cette évolution, inévitable selon certains prospectivistes, pour réformer le système de protection sociale, la gig economy ne serait finalement qu’une économie à la tâche mondialisée, qui laisserait les travailleurs dans l’insécurité et l’incertitude, les privant ainsi de tout projet de vie.
Et si, au contraire, l'évolution vers une économie à la tâche mondialisée était évitable ? En effet, le « néo » travailleur indépendant pourrait avoir une conscience de classe et bloquer ainsi cette évolution. L’auteur, dans ses arguments, oublie cet aspect là. Le futur modèle de protection pourrait naître de cette prise de conscience et de luttes car les acquis sociaux ne sont jamais octroyés.1
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Qu’est-ce que la gig economy ?
Puisque l'auteur a posé sa problématique sous forme de raisonnement dialectique, la première proposition étant que la gig economy serait un nouveau pardigme économique, il va s'atteler sur quelques paragraphes à définir ce qu'elle est, ce qu'elle propose , son périmètre, et ses conséquences avant de conclure et répondre à sa question. Raisonnement rhétorique et dialectique. Il nous donne déjà un premier point de vue qui laisse présager de sa réponse en disant qu'aujourd'hui la gig economy ressemble plus à une cacophonie qu'à un concert de musique harmonieuse.
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Au-delà de cette tendance de fond, ce sont de nouveaux modèles économiques et sociaux qui se mettent en place et qui nous rappellent l’économie à la tâche que nous avons déjà connue au XIXe siècle. Alors, retour vers le passé ou changement total de paradigme ?
C'est ici que se pose la question argumentative. L'auteur se demande si cette révolution numérique avec tous les changements sociaux et économiques qui vont avec, est en soi un nouvel équilibre (la gig economy) des forces économiques et sociales au sein de la société ou bien est-ce une régression vers un modèle d'économie à la tâche qui existait déjà au XIX ème siècle,mais qui serait cette fois-ci, généralisé au niveau mondial. . Nous avons donc ici la problématique posée sous forme dialectique. Je peux déjà mettre pro puisque la conclusion nous le confirmera.
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- Oct 2018
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betterworldsblog.com betterworldsblog.com
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On the other hand, though much less likely, is the possibility of the gig economy becoming a long-term fixture of capitalism.
Whether or not the gig economy is here to stay, the result will be widespread un- or under-employment caused by technological displacement. Whether workers are gathered into a gig economy or are outright unemployed is what remains to be seen.
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- Sep 2018
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www.forbes.com www.forbes.com
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Simply put, the modern economy is evolving beyond the constraints of traditional work models. As a society, we are demanding the freedom of flexible work environments. Collectively, we are breaking barriers and smashing limitations, especially when it comes to making a living. The time is ripe for us to champion our own destiny by harnessing the power of the gig economy to spur lasting social change.
This is all very "uplifting," but this entire paragraph is devoid of meaning. When is it NOT the time to "champion our own destiny?" What does it even mean to "harness the power of the gig economy to spur lasting social change?" What sort of change? People can't afford to live in Silicon Valley. The ethos of the tech companies show that they don't care about the communities of which they are a part.
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It is this progressive attitude
This is a flowery puff piece regarding the gig economy. The supposed "progressive attitude" of piecemeal labor hides the grim reality of people working harder and longer for less. Read some counterpoints to this article's perspective here.
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- Oct 2017
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www.nature.com www.nature.com
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People with scientific training are adopting these practices as well, either by offering services on sites such as Upwork or finding projects through their previous academic networks.
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