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  1. Feb 2024
    1. Résumé de la vidéo [00:00:00][^1^][1] - [00:22:52][^2^][2]:

      Cette vidéo présente le déploiement des PIAL, des entités qui visent à améliorer l'accompagnement des élèves en situation de handicap dans le système éducatif français. Elle explique les objectifs, les acteurs, les missions, les enjeux et les perspectives des PIAL.

      Temps forts: + [00:00:09][^3^][3] Introduction * Présentation du sujet et du plan + [00:01:13][^4^][4] La genèse des PIAL * Analyse des besoins et des difficultés des élèves handicapés * Nécessité d'une réorganisation et d'une adaptation des pratiques * Principe de conception universelle et de parcours + [00:06:35][^5^][5] Les acteurs des PIAL * Rôle de l'enseignant référent de suivi de scolarisation * Missions du pilote, du copilote et du coordonnateur de PIAL * Identification des partenaires et des ressources du réseau + [00:10:07][^6^][6] Les missions du référent AESH * Un pair expérimenté qui accompagne et forme les accompagnants * Un acteur de la mutualisation des outils et des pratiques * Un contributeur à l'autonomie des élèves + [00:13:00][^7^][7] La dynamique engagée autour des PIAL * Une stabilisation de l'organisation et des périmètres * Une flexibilité et une réactivité des équipes * Un sentiment d'appartenance des accompagnants + [00:16:00][^8^][8] La démarche d'amélioration continue des PIAL * L'usage d'un référentiel national PIAL * L'évaluation des points forts et des marges de progrès * Les préconisations en matière de pilotage, de formation et de coopération + [00:20:07][^9^][9] Conclusion * La coopération comme condition de réussite des PIAL * La prise de conscience et la transformation des pratiques * La réponse aux besoins des élèves comme objectif premier

    1. à mettre en lien avec https://hyp.is/go?url=https%3A%2F%2Fwww.planning-familial.org%2Fsites%2Fdefault%2Ffiles%2F2023-11%2FLIVRE_BLANC_WEB.pdf&group=world<br /> et le rapport IGESR,

      Biais d’autorité :

      le document s’appuie sur des témoignages de médecins, de psychologues, de juristes, etc., sans préciser leurs sources, leurs qualifications, leurs affiliations, ou leurs conflits d’intérêts éventuels. Il donne ainsi l’impression que ces experts sont unanimement d’accord et qu’ils représentent la vérité scientifique, juridique ou morale sur le sujet de l’éducation à la sexualité à l’école.

      Biais de confirmation :

      le document sélectionne et interprète les faits, les chiffres, les études, les exemples, etc., qui vont dans le sens de sa thèse, à savoir que l’éducation à la sexualité à l’école est dangereuse, nuisible, et idéologique. Il ignore ou minimise les éléments qui pourraient contredire ou nuancer son propos, comme les bénéfices potentiels de l’éducation à la sexualité, les recommandations internationales, les avis divergents, etc.

      Biais de généralisation :

      le document extrapole à partir de cas concrets, souvent anecdotiques, isolés, ou non vérifiés, pour en tirer des conclusions générales et alarmistes sur l’ensemble du système éducatif, des intervenants, des contenus, et des élèves. Il utilise des termes comme “toujours”, “jamais”, “partout”, “aucun”, etc., qui ne reflètent pas la diversité et la complexité de la réalité. Biais de faux dilemme : le document oppose de façon simpliste et manichéenne deux conceptions de l’éducation à la sexualité : celle qui respecte l’enfant, sa maturité, son intimité, et son développement, et celle qui le sexualise, le traumatise, le manipule, et le dénature. Il ne laisse pas de place à une approche nuancée, critique, ou alternative, qui pourrait reconnaître les enjeux, les difficultés, et les limites de l’éducation à la sexualité à l’école, sans la diaboliser ou la rejeter.

    1. Biais d’autorité :

      le document s’appuie sur des témoignages de médecins, de psychologues, de juristes, etc., sans préciser leurs sources, leurs qualifications, leurs affiliations, ou leurs conflits d’intérêts éventuels. Il donne ainsi l’impression que ces experts sont unanimement d’accord et qu’ils représentent la vérité scientifique, juridique ou morale sur le sujet de l’éducation à la sexualité à l’école.

      Biais de confirmation :

      le document sélectionne et interprète les faits, les chiffres, les études, les exemples, etc., qui vont dans le sens de sa thèse, à savoir que l’éducation à la sexualité à l’école est dangereuse, nuisible, et idéologique. Il ignore ou minimise les éléments qui pourraient contredire ou nuancer son propos, comme les bénéfices potentiels de l’éducation à la sexualité, les recommandations internationales, les avis divergents, etc.

      Biais de généralisation :

      le document extrapole à partir de cas concrets, souvent anecdotiques, isolés, ou non vérifiés, pour en tirer des conclusions générales et alarmistes sur l’ensemble du système éducatif, des intervenants, des contenus, et des élèves. Il utilise des termes comme “toujours”, “jamais”, “partout”, “aucun”, etc., qui ne reflètent pas la diversité et la complexité de la réalité. Biais de faux dilemme : le document oppose de façon simpliste et manichéenne deux conceptions de l’éducation à la sexualité : celle qui respecte l’enfant, sa maturité, son intimité, et son développement, et celle qui le sexualise, le traumatise, le manipule, et le dénature. Il ne laisse pas de place à une approche nuancée, critique, ou alternative, qui pourrait reconnaître les enjeux, les difficultés, et les limites de l’éducation à la sexualité à l’école, sans la diaboliser ou la rejeter.

  2. Jan 2024
  3. Dec 2023
  4. Nov 2023
  5. Sep 2023
  6. Apr 2023
  7. Jun 2022
  8. Apr 2022
    1. Le travail matériel préalable et notamment la présentation des documents en plis clos ou agrafés doivent être assurés par les associations.

      circulaire n°88-208 du 29/8/88

  9. Feb 2022
  10. Dec 2021
    1. b) Étendre le champ des ORS à de nouvelles missions Le temps consacré par les professeurs du second degré au suivi, à l’évaluation et l’aide à l’orientation des élèves, au travail en équipe pédagogique ou pluri-professionnelle, aux relations avec les parents d’élèves, n’est actuellement pas quantifié, bien que ces travaux fassent depuis 2014 explicitement partie de leurs missions. En conséquence, le travail des professeurs en dehors des heures de cours repose aujourd’hui, dans le second degré, sur la seule bonne volonté de certains enseignants,

      Il faut approfondir cette question

  11. Jul 2021
  12. Apr 2021
    1. Pour les lycées, nous sommes tout de même à 23 lycées privés et 49 publics soit 31% de privé. La proportion est de 20% de privé pour les collèges 4% de privé dans le primaire Avec une migration en première pour ceux qui veulent intégrer des CPGE publiques plus facilement.

      Quel est l'impact de ce comportement?

  13. Mar 2021
  14. Feb 2021