7,898 Matching Annotations
  1. Sep 2020
    1. Avant le confinement, la France était l'un des pays où l'on utilisait le moins les nouvelles technologies en classe. Seuls 36% des professeurs incitaient leurs élèves à le faire, contre 53% pour la moyenne occidentale. Malgré ce "handicap", le retard a été comblé notamment grâce à la formation des enseignants sur le tas, estiment les experts de l'OCDE.
    2. L'Organisation de coopération et de développement économiques publie mardi 8 septembre son rapport annuel "Regards sur l'Education" consacré notamment à la gestion de la crise du coronavirus par chacun des systèmes scolaires. Premier enseignement, l'école française n'était pas aussi prête que les autres pays occidentaux à faire face à cette crise
    1. Un diplôme professionnel plus fréquent pour les élèves issus des communes rurales très peu denses ou éloignées des grandes villes
    2. Une structure des écoles spécifi que dans les communes rurales
    3. NoteN° 19.35 – Octobre 2019d’informationd’informationDirectrice de la publication : Fabienne RosenwaldÉdition : Bernard JavetMaquettiste : Frédéric Voirete-ISSN 2431-7632DIRECTION DE L’ÉVALUATION,DE LA PROSPECTIVEET DE LA PERFORMANCEDEPP-DVE61-65, RUE DUTOT75732 PARIS CEDEX 15Une typologie des communes pour décrire le système éducatifUne typologie des communes en neuf catégories a été établie par la DEPP pour décrire le système éducatif. Cettecaractérisation du territoire, basée sur un croisement d’approches morphologique et fonctionnelle, permet de distinguer plusieurs types de communes rurales et urbaines. Cette nouvelle typologie apparaît adaptée pour décrire lesconditions de scolarisation, mais aussi les parcours des élèves. Dans les communes les plus rurales, plus de la moitié des élèves du premier degré ne disposent pas d’une école dans leur commune et sont scolarisés dans une autre commune, notamment dans le cadre d’un réseau pédagogique intercommunal. Dans le premier degré, le type de commune de résidence correspond à celui de la commune de scolarisation pour 92% des élèves. Dans le second degré, cette proportion est de 65%, compte tenu de la localisation des établissements dans des communes plus urbaines. Les territoires se distinguent également selon les conditions socio-économiques des élèves et les conditions d’accès à l’offre scolaire. Celles-ci peuvent infl uer sur leurs parcours et leurs résultats. Ainsi, les élèves des communes les plus rurales s’orientent moins fréquemment vers l’enseignement général et technologique et davantage vers l’enseignement professionnel; néanmoins, ils sortent aussi souvent avec un diplôme que la moyenne nationale.
    1. Il faudrait procéder à une analyse très précise de la manière dont les options ont été implantées, suivies, favorisées dans les établissements concernés, examiner les raisons du peu de succès dans certains autres.
    2. action rectorale, en préconisant de passer d’une politique de filière à une politique de parcours. Cependant ce rapport n’a pas encore eu de suite concrète

      concrétisé par les EDS

    3. Les personnels spécialisés des RASED font cruellement défaut dans des zones difficiles, où ils seraient très utiles, et couvrent confortablement des secteurs scolaires accueillant des populations plutôt favorisées et où les résultats sont bons. Par ailleurs on constate également une insuffisance de personnel formé. De nombreux postes spécialisés ne sont pas pourvus par des enseignants ayant reçu une formation spécialisée, ils sont alors tenus, la plupart du temps, par des professeurs des écoles sortant de formation, ou encore utilisés à d’autres fins.
    4. L’éducation spécialisée et la prise en charge du handicap L’académie compte 8 000 élèves handicapés dans les 1er et 2nd degrés, 200 à 300 élèves par département, scolarisés ou non, qui restent à leur domicile
    5. YVELINES
    6. Cartes départementales des langues à faible diffusion
    7. n taux de moyens de remplacement (8,07) supérieur à la moyenne académique (7,83), le taux d’efficience du remplacement dans ce département (68,17 %) est de loin le plus faible de l’académie (87,27 %).
    8. La Région a dépensé, en 2002, 1 136 euros par élève (1 145 en moyenne en métropole).
    9. La Région se situe en dessous de la moyenne avec 340 euros pour une moyenne métropole de 392 euros en 2002
    10. Les dépenses de fonctionnement, telles que les chiffrent les tableaux de la DGCL, paraissent moins s’écarter des moyennes nationales : 382 euros en moyenne métropole en 2002, 200 euros pour les Yvelines, 325 pour l'Essonne, 396 pour les Hauts-de-Seine et 393 pour le Val-d'Oise

      Les Yvelines sont bien en dessous

    11. Les exemples de l'Essonne et des Hauts-de-Seine, étudiés lors de précédentes enquêtes des inspections générales, sont significatifs.
    12. Au niveau national, la dépense d'investissement par élève d'un collège public s’élevait en 2002 à 819 euros, cette dépense variant d'un département à l'autre de 225 à 1730 euros. Dans l'académie, la dépense a été de 931 euros pour les Yvelines, de 746 pour l'Essonne, 1730 pour les Hauts-de-Seine (soit deux fois plus que la moyenne de métropole) et 646 pour le Val-d'Oise

      les hauts de seine ont particulièrement investi semble t'il

    13. 2.2.5. Un fonctionnement particulier de l'État en Île-de-France Les représentants de l'État en Île-de-France s'accordent à souligner les spécificités de leurs missions par rapport à celles qu'ils peuvent exercer en province. La taille des départements, leur puissance économique et sociale ainsi que la proximité des lieux et des acteurs politiques nationaux ont pour effet de relativiser certaines marges de manœuvre, d'amoindrir les spécificités locales, d'accentuer la dépendance au pouvoir central. La légitimité personnelle que ces représentants ont à vis-à-vis des élus, des usagers et des personnels leur est sans aucun doute moins « donnée » qu'en province, plus difficile à construire.
    14. L'Île-de-France compte plus de familles monoparentales (1 famille sur cinq en 1999) que la moyenne nationale (1 sur 6) et un plus fort pourcentage de femmes qui travaillent. La journée moyenne de travail d'un francilien est plus longue, car il y a moins de travail à temps partiel
    15. Les forces et les faiblesses de « l'effet Île-de-France »
    16. Les chefs d'établissement semblent en négociation constante avec leurs équipes sur l’utilisation de la marge que peut leur laisser la dotation horaire globale (DHG), afin qu’ils privilégient des actions spécifiques aux dédoublements. Il faut d’ailleurs relever des utilisations surprenantes des moyens : dédoublement systématique dans certaines disciplines sans remédiation en français et mathématiques, aide individualisée dédiée aux élèves qui intègreront la première S, au troisième trimestre, au détriment des élèves en difficulté, moyens ZEP d’abord affectés aux sections de techniciens supérieurs (STS), puis aux terminales.
    17. Cette stabilité des pratiques est sans aucun doute renforcée dans maints territoires de l’académie par la demande des familles qui s’apparente dans certains établissements protégés à une véritable pression des parents pour récuser tout changement, aussi minime soit-il

      en gros, ce serait les familles qui limitent les innovations pédagogiques

    18. Parents d’élèves
    19. Fédérations de parents d’élèves : FCPE et PEEP

      il semble que la FCPE ait été consulté, mais qui ?

    20. C’est ainsi qu’une réelle faiblesse au niveau de la diffusion des orientations stratégiques laisse la place à des initiatives locales non coordonnées, voire divergentes, à l’indépendance de certains acteurs et que l’empreinte des représentations des uns et des autres, personnels, parents et partenaires, occupe l'espace normalement dévolu à la communication institutionnelle.

      mise en cause des parents

    21. Le second objectif consisterait à faire partager le diagnostic par tous les acteurs, les personnels d'encadrement, les personnels enseignants et ATOSS, les parents d'élèves et les collectivités territoriales. Les instances telles que les comités techniques paritaires académique et départementaux (CTPA, CTPD) et les conseils académique et départementaux
    22. Cette dispersion des responsabilités nuit gravement à la mise en œuvre d’actions dynamiques attendues notamment par les associations de parents d’élèves
    23. Une volonté d’organisation des tableaux de bord
    1. Le « contrat jeune majeur » n’est pas un contrat le 02 Septembre 2020 Dans le mouvement d’extension du plein contentieux social, le Conseil d’État précise l’office du juge des référés saisi d’une demande tendant à la suspension du refus de prise en charge d’un jeune majeur par l’aide sociale à l’enfance. CE 22 juill. 2020, req. n° 435974 (mentionné aux tables du Lebon)
    1. Article 371-1 Modifié par LOI n°2019-721 du 10 juillet 2019 - art. 1 L'autorité parentale est un ensemble de droits et de devoirs ayant pour finalité l'intérêt de l'enfant. Elle appartient aux parents jusqu'à la majorité ou l'émancipation de l'enfant pour le protéger dans sa sécurité, sa santé et sa moralité, pour assurer son éducation et permettre son développement, dans le respect dû à sa personne. L'autorité parentale s'exerce sans violences physiques ou psychologiques. Les parents associent l'enfant aux décisions qui le concernent, selon son âge et son degré de maturité.
    1. Constructions, extensions, rénovations Valérie Pécresse et Marie-Carole Ciuntu doivent également faire un point sur la mise en œuvre du Plan d'urgence pour les lycées franciliens (2017-2027), les livraisons de la rentrée et les opérations de construction, de reconstruction, d'extension et de rénovation.
    1. Yvelines Comité d'Éducation pour la Santé - CODES 78 - CYES - 47 rue du Maréchal Foch - 78000 Versailles - Tél : 01 39 49 58 93 - Tabagisme - Sida - MST & IST - IVG -  Danger téléphone portable - équilibre alimentaire -
    1. Associer les parents Ils ont trop souvent laissé de côté en matière de prévention : les parents sont au cœur des préconisations du Comité pour la prévention santé de leurs enfants, avec la volonté de trouver des outils qui les aident à trouver un équilibre entre patience et fermeté. Plusieurs propositions ont été faites en ce sens : mettre en place des réunions d’information parents sur la prévention santé des jeunes à l’entrée en 6e, créer une université numérique des parents, multiplier les lieux d’échange, sensibiliser les parents, première génération numérique et première génération à avoir des enfants connectés, à « gérer » les outils numériques, développer les liens entre le Centre régional d'information et les associations/fédérations de parents
    2. développer les liens entre le Centre régional d'information et les associations/fédérations de parents
    1. En 2017-2018, la Région a doublé l'aide à l'acquisition d'une complémentaire santé pour les étudiants boursiers âgés de 16 à 28 ans inclus, inscrits dans un établissement d'enseignement supérieur ou dans un institut de formation sanitaire et sociale francilien. Elle a porté cette aide au financement d'une mutuelle à 200 euros pour l'année universitaire ou scolaire, dès lors que le contrat est souscrit chez Harmonie Mutuelle.
    2. 2 - La Région s'engage pour la santé des jeunes  En 2017-2018, la Région a doublé l'aide à l'acquisition d'une complémentaire santé pour les étudiants boursiers âgés de 16 à 28 ans inclus, inscrits dans un établissement d'enseignement supérieur ou dans un institut de formation sanitaire et sociale francilien. Elle a porté cette aide au financement d'une mutuelle à 200 euros pour l'année universitaire ou scolaire, dès lors que le contrat est souscrit chez Harmonie Mutuelle. Certains jeunes souffrent en silence et se replient dans l’isolement ou les addictions. Grâce au Fonds de prévention santé jeunes et au travail du d'Île-de-France Prévention Santé Sida, la Région porte des actions de prévention auprès des jeunes sur les drogues, les IST, les conduites à risques, le tabagisme, le sommeil et sur l’ensemble des questions de bien-être. À travers l’iPass contraception, la Région offre aux jeunes une plateforme en ligne qui leur permet de géolocaliser ce dont ils ont besoin : une pharmacie, un centre du planning familial, des informations sur la contraception...
    3. santé des jeunes
    1. La grande majorité des jeunes parents sont fatigués. C’est un fait. Pour certains, cette fatigue devient rapidement insurmontable. Avec de nombreuses conséquences physiques et psychologiques. On parle d’épuisement parental, ou de burnout parental. Dans ce podcast, vous allez entendre des témoignages de parents concernés, et des bons conseils pour tout mettre en œuvre pour s’en sortir !

    1. Dans le cadre des espaces parents ou de l’ouverture de l’École aux parents, des actions pourront être mises en œuvre afin de permettre à ceux qui sont les plus éloignés du numérique de bénéficier d’un accompagnement pour suivre la scolarité de leurs enfants, réaliser les démarches liées à la dématérialisation
    2. ACQUÉRIR ET VALORISER SES COMPÉTENCES NUMÉRIQUES (PARENTS/ÉLÈVES)
  2. Aug 2020
    1. Néanmoins, il existe de fortes disparités entre les familles. Toutes ne sont pas armées pour accompagner leurs enfants (barrière de la langue, niveau d’étude, vécu scolaire...). Mettre en place un enseignement hybride nécessite de s’interroger sur l’accueil des élèves victimes de la fracture numérique, sociale ou d’équipement, et de concevoir des dispositifs qui s’adaptent aux problématiques spécifiques des élèves. Le retour progressif en classe montre que nombreux sont les élèves issus de familles défavorisées qui n’ont pas repris le chemin de l’école, avec un risque très grand d’aggraver les taux de décrochage scolaire.
    2. "L’avantage du confinement est qu’il a effacé la barrière entre les familles et l’école

      "effacé" c'est un peu fort, cela a surtout permis de voir les disparité de préparation des familles et des professionnels et de la qualité de l'accompagnement

    3. Ils obligent àune plus grande complémentarité des acteurs,notamment l’intégration des parents
    4. Ils obligent àune plus grande complémentarité des acteurs,notamment l’intégration des parents
    1. S'il suffisait de distribuer du matériel cela se saurait depuis longtemps, les collectivités qui l'ont fait, certaines depuis près de 20 ans, en savent quelque chose. Car il faut aussi s'assurer de l'infra : connexion, logiciels, maintenance, maîtrise des usages, etc. Et surtout il faut s'assurer que s'installe dans la tête et les pratiques de tous les membres des communautés éducatives l'idée du "continuité". C'est à dire qu'il faut désormais prendre en compte cet impensé des lieux et de leurs fonctions, des métiers, des postures et des actions éducatives au-delà des murs des établissements scolaires. L'idée de continuité peut aussi se retrouver dans une sorte de "nomadisme cognitif" qui articulerait plusieurs expériences de l'apprendre tout au long de la vie et en toutes situations. Pour le dire de manière imagée, ne pas penser que le seul savoir transmis est celui qui, sorti des livres par des maîtres peu formés, rentre uniformément dans les têtes des enfants, des jeunes sagement assis autour de la "chaire", comme l'ont quasiment imposé plusieurs religions au cours de l'histoire.
    2. Les Environnements Numériques de Travail vont reprendre du service, ils seront probablement les briques essentielles d'une école "flexible et adaptable".
    3. Les salles de classe doivent être aérées pendant les récréations ou toutes les 3 heures. Cela semble bien peu pour jouer un role dans la limitation de la propagation du virus.
    4. D'autres "barrières" sont prescrite mais pas forcément réalisables. Le protocole impose le lavage des mais pendant 30 secondes à l'arrivée, avant chaque repas, apres être allé aux toilettes, avant de renter chez "ou dès l'arrivée au domicile". Mais on sait qu'un quart des établissements n'a pas les installations suffisantes pour cela.
    5. A noter que les parents peuvent entrer dans les locaux scolaires s'ils sont masqués et respectent la distanciation
    6. Mais il reste des exceptions. "Bien entendu, le port du masque n’est pas obligatoire lorsqu’il est incompatible avec l’activité (prise de repas, nuit en internat, pratiques sportives, etc.). Dans ses (sic) situations, une attention particulière est apportée à la limitation du brassage et/ou au respect de la distanciation".
    7. Il n'est plus question d'exception pour la maternelle
    8. Le plan invite les académies à constituer « un pool d’équipements informatiques mobiles homogènes (mêmes ordinateurs et applications) pour prêt aux élèves et professeurs pour l’enseignement à distance, sans qu’on sache bien d’où viendraient ces matériels. Les ordinateurs des établissements et des écoles appartiennent aux collectivités locales et non à l’éducation nationale. Et cela ne résout pas la question des accès Internet
    9. Dans un entretien donné à France Bleu le 5 aout, le président du Conseil scientifique, JF Delfraissy annonce que de nouvelles mesures pour la rentrée sont en préparation avec el retour de la distanciation.
    10. nouveau décret sanitaire publié le 28 juillet
    11. Mais aucune obligation n’a été faite aux collectivités locales de rendre cette recommandation possible en faisant les travaux nécessaires durant l’été
    12. Le rapport demande d’anonymiser le lycée d’origine et de lui substituer une mesure de l’écart entre les résultats du bac et la notation au contrôle continu, dispositif testé cette année pour le bac.
    13. Ils demandent donc une enquête nationale permettant de mieux évaluer qualitativement les affectations via Parcoursup.
    14. Tout cela conduit les rapporteurs à demander que les 54 heures annuelles soient bien inscrites comme obligatoires et à préconiser une préparation à l’orientation dès le collège « par des activités portant sur la connaissance de soi et la découverte des filières et des métiers ». Ils demandent aussi que soient communiquées aux élèves dès le collège les modalités de prise de contact avec les interlocuteurs compétents (psy-en, onisep, cio etc.).
    15. Seulement 43% des établissements secondaires (collèges et lycées) affectent des moyens financiers à l’éducation à l’orientation. Sur les 867 millions du plan étudiant , pas un euro ne finance des actions dédiées à l’orientation.
    16. les 54 heures annuelles dédiées à l’orientation ne sont plus financées ce qui revient à ce que les établissements arbitrent entre l’éducation à l’orientation et le maintien d’options ou de dédoublements. Le même problème se pose au collège pour les 12 heures de 4ème et les 36 heures de 3ème.
    17. Insuffisante prise en compte des aspirations des jeunes, information déficiente sur les débouchés
    1. En matière d’équipementinformatique, un établissement sur cinq n’a pas pu mettre à disposition lematériel numé-rique nécessaire aux jeunes scolarisés qui en avaient besoin(tableau9)
    1. Les parents d’élèves jouent un rôle essentiel. Ils s’engagent à ne pas mettre leurs enfants à l’école, au collège ou au lycée en cas de fièvre (38 °C ou plus) ou en cas d’apparition de symptômes évoquant la Covid-19 chez l’élève ou dans sa famille. Les personnels doivent s’appliquer les mêmes règles. Les accompagnateurs ainsi que les intervenants extérieurs peuvent entrer dans les bâtiments scolaires après nettoyage et désinfection des mains. Ils doivent porter un masque de protection.
    1. ENSEIGNEMENT TECHNIQUE AGRICOLE - QUESTIONS RELATIVES AUX APPRENANTS - Les journées portes ouvertes (JPO) n’ont pas eu lieu, des JPO virtuelles (POV) permanentes sont progressivement mises en place par les établissements et relayés sur les sites et réseaux sociaux. Est-il prévu un décalage du calendrier Affelnet ?
    2. ENSEIGNEMENT TECHNIQUE AGRICOLE - VIE DES ÉTABLISSEMENTS ET DES ÉQUIPES - Les établissements peuvent-ils organiser des accueils de groupes pour compenser l’annulation des JPO ?
    1. Lorsque le salarié en situation de télétravail, régie par le contrat de travail ou par convention ou accord collectif, engage des frais, l’allocation forfaitaire versée par l’employeur sera réputée utilisée conformément à son objet et exonérée de cotisations et contributions sociales dans la limite globale de 10 € par mois, pour un salarié effectuant une journée de télétravail par semaine. (Cette allocation forfaitaire passe à 20 € par mois pour un salarié effectuant deux jours de télétravail par semaine, 30 € par mois pour trois jours par semaine…)
  3. www.premar-atlantique.gouv.fr www.premar-atlantique.gouv.fr
    1. Le préfet maritime de l'Atlantique, VU le code pénal, notamment les articles 131-13 et R 610-5 ; VU le code des transports, notamment l'article L 5242-2 ; VU le décret n° 2004-112 du 6 février 2004 relatif à l'organisation de l'action de l'Etat en mer ; VU l'arrêté du 23 novembre 1987 relatif à la sécurité des navires ; VU l'arrêté ministériel du 27 mars 1991 relatif au balisage et à la signalisation de la bande littorale des 300 mètres ; VU l'arrêté n° 2011/46 du préfet maritime de l'Atlantique du 8 juillet 2011 modifié réglementant la pratique des activités nautiques le long du littoral de l'Atlantique ; VU l'arrêté n° ST 2012-562 du maire de Saint-Palais-sur-Mer du 7 septembre 2012 réglementant la navigation et les activités nautiques dans les eaux maritimes baignant la plage de Nauzan ;VU l'arrêté n° ST 2012-598 du maire de Saint-Palais-sur-Mer du 27 septembre 2012 réglementant la navigation et les activités nautiques dans les eaux maritimes baignant la plage du Bureau.
    2. Article 3 : D'une largeur de 70 mètres, le chenal traversier réservé aux allers et retours entre le rivage et le large des navires et engins nautiques jouxte la zone de baignade.
    3. Plage du Bureau
    1. .Les drones aériens survolant l’espace maritime

      à connaitre si on veut faire des images

    2. Les manifestations nautiquesArrêté interministériel du 3 mai 1995 modifié relatif aux manifestations nautiques ;Arrêté n° 2010/08 du préfet maritime de l’Atlantique du 18 février 2010 portant réglementation des manifestations nautiques dans les eaux relevant de la compétence du préfet maritime de l’Atlantique ;Arrêté n° 2011/37 du préfet maritime de l’Atlantique du 24 juin 2011 Tous les renseignements sur les manifestations nautiques sont disponibles sur le site de la préfecture maritime («Informations pratiques / démarches / déclaration d’une manifestation nautique»).
    3. Article L.2213-23 du code général des collectivités territoriales
    4. L’utilisation de l’outil data.shom.fr est recommandée pour établir ces représentations. Des notices d’emploi de cet outil sont disponibles sur le site du SHOM :http://diffusion.shom.fr/ref/imagettes/AIDE/guide_dessin_data_simple.pdfhttp://diffusion.shom.fr/ref/imagettes/AIDE/guide_dessin_data_avance.pdf
    5. Une représentation graphique du balisage de la plage figure en annexe de ces deux arrêtés.

      intéressant à exploiter

    6. Le plan de balisage est ensuite constitué par un arrêté signé par le maire portant sur la baignade et les engins de plage et un arrêté du préfet maritime portant sur la circulation maritime et sur les activités relevant de sa compétence
    7. Le maire réglemente par arrêté la baignade et les activités nautiques pratiquées à partir du rivage avec des engins de plage ou des engins nautiques non-immatriculés dans la bande littorale de 300 mètres.
    1. Document rédigé à l'attention des maires des communes littorales de la façade Atlantique (du Mont Saint-Michel jusqu'à la  frontière espagnole), ayant vocation à présenter l'organisation des pouvoirs publics en mer, les principaux enjeux les concernant, et à synthétiser les principales réglementations applicables en mer.
    1. Les zones de baignade vous sont interdites si votre planche n’est pas un engin de plage

      en dessous de 3,5m il serait donc possible aux paddles d'aller cher les baigneurs ?

      voir aussi https://hyp.is/Zbw2wOEyEeqwvufqfZSTjg/www.itiwit.fr/conseils/reglementation-pour-faire-du-stand-up-paddle-sup-tp_884

    2. – Votre planche est gonflable, ou elle est rigide de taille inférieure à 3,5 m ? Vous êtes en possession d’un engin de plage et à ce titre, vous devez rester à 300 m d'un abri (tout endroit de la côte où tout engin ou navire et son équipage peuvent se mettre en sécurité en mouillant ou accostant et en repartir sans assistance).
    3. Prenez garde à ne pas croiser la route des navires qui ont une capacité de manœuvre restreinte
    4. Vous devez également vous éloigner des voiliers, qui ont moins de capacité de manœuvre que vous. 
    1. Le balisage des chenaux et appontements, fixé par arrêté de préfet maritime à la demande des maires, réservés aux navires à voile ou à moteur à l'intérieur de la bande côtière, fait partie de l'équipement préventif dont les maires sont responsables.

    2. signalisation baignade

  4. Jul 2020
    1. La répartition des carences grand public par EPTEPTM² existantM² nécessaireDifférenceEquivalence de la carence en nbr bassins*T6 Plaine Commune4 4848 227-3 74310T7 Paris Terres d’envol3 2597 205-3 94611T8 Est ensemble5 6997 986-2 2876T9 Grand Paris –Grand Est3 8667 356-3 4899*en considérant qu’un bassin moyen fait 375m² (25*15)Les disparités territoriales quant à la carence en m² de bassins pour le public sont importantes aussi bien au niveau des EPT qu’au niveau de l’échelle communale.Pour arriver à une situation de non saturation des piscines de Seine-Saint-Denis il faudrait ainsi doubler le parc de piscines. Certains territoires semblent cependant à prioriser. Au vu de la carte jointe, les communes d’Aulnay-Sous-Bois, Saint-Denis et d’Aubervilliersdans une moindre mesuresont les 3 plus carencées même si Saint-Denis et Aubervilliers disposent chacune d’un grand équipement.