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  1. May 2022
    1. La loi de 1978 pour l'accès aux documents administratifs[modifier | modifier le code] La loi du 17 juillet 1978 en matière d’accès aux documents administratifs reconnaissait à toute personne le droit d’obtenir communication des documents détenus par une administration dans le cadre de sa mission de service public, quels que soient leur forme ou leur support, dès lors que les éléments concernés étaient de caractère non nominatif[1].
    1. Le texte traduit notamment l'ambition de contribuer « à faciliter et à renforcer le dialogue entre l'administration et les citoyens », selon le rapport accompagnant l'ordonnance du 23 octobre 2015[25].
    2. Ce retard paraissait d'autant plus flagrant que l'Union européenne s'était également dotée de codes de procédure administrative (code européen de bonne conduite en 2005[23], code de l'administration en 2007)[24].
    3. étape majeure du droit administratif français »[4] en rassemblant dans un texte unique les dispositions applicables aux relations entre l'administration et les administrés
    1. De nombreuses recherches ont mis en évidence les effets positifs de la participation des parents sur les résultats scolaires ainsi que sur le développement et l’ajustement socioscolaire des enfants (Deslandes et Bertrand, 2004 ; Henderson et Berla, 1994 ; Henderson et Mapp, 2002)
  2. Apr 2022
    1. I. Stimuler et structurerle langage oralL’enfant apprend à parler en s’appropriant la languedes adultes, celle de ses parents, de sa famille etde ceux avec qui il vit au quotidien L’intensité del’exposition des enfants au langage parlé et la qualitéde ce langage sont essentielles dans ce processusd’appropriation C’est l’une des raisons qui conduità encourager les parents à engager le plus souventpossible des dialogues avec leur enfant ainsi qu’à leurlire des histoires

      Il y à confusion chez certains enseignants qui pense que c'est en français que les parents doivent converser avec l'enfant

    2. Un discours positif et ambitieux,valorisant les progrès, même modestes, structureen profondeur la personnalité des élèves Derrièrela réussite de chaque élève, il y a un discoursbienveillant porté par un adulte attentionné etsoucieux de le mener au meilleur de lui-même
    3. La qualité de cet accueilest fondamentale : elle entretient les relations deconfiance nécessaires entre les personnels del’école et les responsables légaux, pour satisfaireles besoins des jeunes élèves et favoriser leurentrée dans les apprentissages
    4. Par leurs attitudes et leurs paroles, les adultesqui participent à l’instruction et à l’éducationd’un enfant ont un impact affectif susceptible del’inhiber ou de lui donner confiance en lui-même

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    1. Article 241. Les Etats parties reconnaissent le droit de l'enfant de jouir du meilleur état de santé possible et de bénéficier de services médicaux et de rééducation. Ils s'efforcent de garantir qu'aucun enfant ne soit privé du droit d'avoir accès à ces services
    2. Article 5Les Etats parties respectent la responsabilité, le droit et le devoir qu'ont les parents ou, le cas échéant, les membres de la famille élargie ou de la communauté, comme prévu par la coutume locale, les tuteurs ou autres personnes légalement responsables de l'enfant, de donner à celui-ci, d'une manière qui corresponde au développement de ses capacités, l'orientation et les conseils appropriés à l'exercice des droits que lui reconnaît la présente Convention.
    3. octroi, sur demande, aux enfants handicapés remplissant les conditions requises et à ceux qui en ont la charge, d'une aide adaptée à l'état de l'enfant et à la situation de ses parents ou de ceux à qui il est confié.
    4. Article 231. Les Etats parties reconnaissent que les enfants mentalement ou physiquement handicapés doivent mener une vie pleine et décente, dans des conditions qui garantissent leur dignité, favorisent leur autonomie et facilitent leur participation active à la vie de la collectivité
    5. Article 221. Les Etats parties prennent les mesures appropriées pour qu'un enfant qui cherche à obtenir le statut de réfugié ou qui est considéré comme réfugié en vertu des règles et procédures du droit international ou national applicable, qu'il soit seul ou accompagné de ses père et mère ou de toute autre personne, bénéficie de la protection et de l'assistance humanitaire voulues pour lui permettre de jouir des droits que lui reconnaissent la présente Convention
    6. Article 201. Tout enfant qui est temporairement ou définitivement privé de son milieu familial, ou qui dans son propre intérêt ne peut être laissé dans ce milieu, a droit à une protection et une aide spéciales de l'Etat. < 2. Les Etats parties prévoient pour cet enfant une protection de remplacement conforme à leur législation nationale.
    7. Convaincus que la famille, unité fondamentale de la société et milieu naturel pour la croissance et le bien-être de tous ses membres et en particulier des enfants, doit recevoir la protection et l'assistance dont elle a besoin pour pouvoir jouer pleinement son rôle dans la communauté

      article 19 alinéa 2

    8. 3. Les Etats parties prennent toutes les mesures appropriées pour assurer aux enfants dont les parents travaillent le droit de bénéficier des services et établissements de garde d'enfants pour lesquels ils remplissent les conditions requises.
    9. 2. Pour garantir et promouvoir les droits énoncés dans la présente Convention, les Etats parties accordent l'aide appropriée aux parents et aux représentants légaux de l'enfant dans l'exercice de la responsabilité qui leur incombe d'élever l'enfant et assurent la mise en place d'institutions, d'établissements et de services chargés de veiller au bien-être des enfants.
    1. 4 - Distribution de documents aux familles : Comme l’institution scolaire se doit de protéger la liberté de conscience et l’identité de chacun des élèves dont elle a la charge, la distribution de documents informatifs, qui pourraient être considérés comme pouvant entraver ce principe de neutralité, peut être faite aux familles sans qu’elle ne puisse être directement accessible aux élèves, et donc jamais collés dans les cahiers de liaisons. Cela peut se faire : -sous pli cacheté, fermé ou agrafé (aucun texte visible).  de main à la main à la sortie de la classe.

      cela ne concerne pas les représentants de parents mais les pro à mon sens. et c'est un peut limite quant au respect de neutralité

    1. Relation parents-enseignants : difficultés familiales et dysfonctionnements à l’école

      Relation parents-enseignants : difficultés familiales et dysfonctionnements à l’école Les conflits familiaux s’invitent à l’école et complexifient l’exercice du métier. Environ 30 situations conflictuelles entre les parents et les personnels de l’éducation émanent chaque semaine de l’ensemble des Autonomes de Solidarité Laïques. Quels textes doivent maîtriser les personnels de l’éducation ? Que faire lorsque des difficultés familiales entraînent des dysfonctionnements dans l’école ? Pour en savoir plus : https://www.autonome-solidarite.fr/articles/asl-en-direct/relation-parents-enseignants-quand-des-difficultes-familiales-entrainent-des-dysfonctionnements-dans-lecole/

    1. De la même manière, les effets de l’interdiction des signes religieux à l’école sur les processus d’émancipation de nombreuses élèves musulmanes portant l’hijab ont pu être tirés d’études universitaires qui mesuraient tant le décrochage scolaire que la précarité professionnelle à venir. Ces données ont été soumises à la Cour européenne des droits de l’homme pour apprécier la proportionnalité d’une mesure d’interdiction des signes religieux et philosophiques dans les établissements publics de la Communauté flamande de Belgique
    2. la base d’une approche statistique importée des États-Unis107. Cette approche a ensuite été reprise par la Cour européenne des droits de l’homme, dans l’affaire D.H. c. République Tchèque relative à des mécanismes de ségrégation scolaire à l’encontre des enfants Roms, alors que jusque-là cette juridiction européenne s’était montrée frileuse pour admettre qu’une différence de traitement soit établie sur la base de données statistiques10
    3. Le Défenseur des droits a également présenté ses observations suite à la saisine et aux recours de lycéens contrôlés à la gare du Nord au retour d’un voyage scolaire10. Dans son arrêt du 8 juin 2021, la Cour d’appel de Paris a suivi nos observations et condamné l'État en raison du caractère discriminatoire des contrôles d’identité de ces trois lycéens d'origine étrangère11
  3. Mar 2022
    1. Article L223-1-3Création LOI n°2022-140 du 7 février 2022 - art. 17Le mineur peut désigner une personne de confiance majeure, qui peut être un parent ou toute autre personne de son choix. La désignation de cette personne de confiance est effectuée en concertation avec l'éducateur référent du mineur. Les modalités de cette désignation sont définies par décret. Si le mineur le souhaite, la personne de confiance l'accompagne dans ses démarches, notamment en vue de préparer son autonomie, et assiste à l'entretien prévu à l'article L. 222-5-1.
    2. Elle peut être accompagnée de la personne de son choix, représentant ou non une association, dans ses démarches auprès du service. Néanmoins, celui-ci a la possibilité de proposer également un entretien individuel dans l'intérêt du demandeur.
    1. · Aversion au risque : préférence pour les choix permettant d'espérer un gain faible mais certain, plutôt qu'un gain élevé mais incertain

      ceci peut amener les militants renforcer un système bancal plutôt que de repenser un système adapté

    1. Analyser avec les parents les progrès et le parcours leur(s) enfant(s) en vue d’identifier les aptitudes, de repérer les difficultés et les possibilités d’y remédier et de valoriser les réussites, afin d’aider leur enfant dans l’élaboration et la conduite de son projet personnel et le cas échéant de son projet professionnel.

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    1. FAIRE FACE AUX HARCÈLEMENTS L’enfant est une proie facile mais il peut aussi devenir un prédateur pour les siens. Longtemps passé sous silence, certainement amplifié par la violence de la société et par les nouveaux moyens de communication qu’elle met à la disposition des plus jeunes, le harcèlement sort de l’ombre. - Comment protéger nos enfants, à la fois du danger d’être harcelé mais aussi de celui d’être harceleur ? - Jusqu’à quel point faut-il protéger l’enfant de la violence du monde qui l’entoure ? - Quels sont les moyens de s’en sortir ?

    1. LA SEXUALITÉ DE NOS ENFANTS La sexualité, en particulier celle de nos enfants, reste un tabou difficile à surmonter. Entre pudeur et embarras, entre trop de silence et respect de l’intimité, il est parfois difficile de briser la glace entre les générations et de déterminer la juste distance qu’il faudrait adopter. Pourtant le rapport des enfants à la sexualité semble changer rapidement. L’accès à la pornographie, la modification des habitudes et des pratiques, l’évolution des mœurs et l’omniprésence des réseaux sociaux bouleversent les codes.

    1. Je voudrais pour terminer évoquer une situation que j’ai eue à traiter. Il s’agissait d’une res-sortissante syrienne d’Alep qui s’est présentée à mon bureau en juin 2012, parce qu’elle avait eu un visa touristique qui arrivait à expiration. Elle avait deux enfants scolarisés dans un établissement privé des Yvelines. Elle demandait comment elle pouvait rester sur le territoire français de façon régulière car elle craignait de tomber en situation irrégulière. Elle s’est pré-sentée au guichet du service des étrangers de Versailles où on lui a dit de retourner en Syrie. Elle s’est rendue dans ma permanence. J’ai appris à ce moment-là par le secrétaire général de la Préfecture de Versailles qu’il existait une possibilité de délivrer une autorisation provisoire de séjour à cette ressortissante, comme si elle avait invoqué le droit d’asile. Dans une organi-sation comme la Préfecture, lorsqu’il y a une situation humanitaire urgente, on s’adresse au guichet et l’on n’a absolument pas de recours à un supérieur ou à un cadre dans l’immédiat. C’est une lacune de ce genre qu’il faut dénoncer.
    1. D e s j e u n e s a i d a n t e s e n g a g é e s Militantes d’un parti politique, en mission humanitaire ou encore bénévoles dans une association auprès d’enfants ou de personnes âgées, bon nombre de nos interlocutrices (13 sur 22) sont fortement engagées dans des activités plus ou moins liées à leur situation de jeune aidante. On peut également relever que, pour plusieurs interlocutrices, leurs choix de formation et leurs aspirations professionnelles comportent une dimension « d’aide à autrui » (aide à la personne, éducation spécialisée/adaptée, kinésithérapeute...). À l’inverse, certaines ont pris des orientations de formation a priori éloignées de leur expérience d’aidante (langues, histoire, musicologie, commerce)
    2. Certaines pensent nécessaire d’initier de nouvelles formes de solidarité et d’entraide face aux manques de l’action publique, d’autres concentrent leurs forces sur l’amélioration de l’aide publique à travers leurs engagements militants et/ou professionnels.
    3. Elles s’orientent consciemment dans une filière aboutissant précisément à un métier vers autrui (aide, soin, éducation), avec une distinction entre les jeunes qui passent par des formations courtes, souvent guidées par des contraintes économiques ou des effets de socialisations scolaires (ATSEM, aide à domicile, auxiliaire de puériculture) et les jeunes qui passent par des formations plus longues (kinésithérapeute, éducatrice spécialisée, enseignante adaptée). Un sous-groupe est constitué par des jeunes qui se lancent dans des études et accumulent des diplômes pour servir un but qui se précise au cours des études.
    4. La jeune aidance impacte aussi la scolarité de certaines enquêtées, ne serait-ce que pour parvenir à concilier leurs obligations familiales (et celles relatives à l’aidance) avec le rythme et les obligations scolaires, avec des effets inégaux sur les parcours scolaires des jeunes aidantes.
  4. Feb 2022