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  1. Last 7 days
    1. « Il est clair que ma place, en tant que présidente duconseil, n'était pas préparée. Peu de professeurs etd'élèves avaient eu le temps de me rencontrer. Aucunéchange avec eux n'avait eu lieu avant le conseil...Mes conclusions ou observations ont été hâtives etquasiment dictées par les membres du conseil,visiblement pressés par le temps. Cependant le plusfrustrant a été qu'après le conseil, il m'a été difficiled'intégrer les collègues aux entretiens avec les élèves.Les habitudes étaient de rencontrer les élèvesseulement à l'issue du conseil de classe du 3èmetrimestre, ou de ne recevoir que les parents ou élèvesqui en faisaient la demande. Pour faire un conseil declasse satisfaisant, il me semble qu'il faille travailleren amont et en aval du conseil. »Une jeune conseillère principale d'éducation présidantpour la première fois un conseil de classe en lycée.
    2. « Je voudrais préciser que le but de ma démarche dansce stage est la réflexion sur ce qui pourrait sortir deplus positif des conseils de classe. En finir avec letribunal que j'ai parfois connu, pour réussir à être plusécouté et avoir plus d'impact sur le vécu scolaire del'élève et sur ses habitudes de travail. En finir avec leconstat limité et trop souvent négatif des difficultéspour être un lieu où l'on conseille l'élève dans sascolarité. Est-ce illusoire ou possible ? »Un professeur
    3. « Pour ce qui est du contenu, il est souventd'une navrante banalité, et les enseignantssont relativement unanimes sur le regardqu'ils portent sur leurs élèves. Ma positionest de ne jamais barrer la route à une élèvepour cause de mauvaise moyenne en mathou de conflit entre elle et moi. Je préfèredonner sa chance, même à quelqu'un qui nela mérite pas, que de me tromper surquelqu'un qui le mériterait. Il est souventtrès difficile d'évaluer le travail personnelde l'élève et sa motivation.Nos appréciations sont donc souventbien vagues. »Une PLP math sciences en LP
    4. « Plus on parle, plus ça dure longtemps,voilà la règle implicite déplorable... »Propos d’un professeur, membre expérimentédes conseils de classe
    5. « Mes conseils de classe sont très ordinaires.Cette instance fonctionne dans mon établissementcomme il y a 30 ans, alors que les objectifs, le publicconcerné, sont bien différents. Je trouve les conseilstrès formels. En effet, tout ou presque s'élabore,se dit, se joue hors de cette structure (richesse desconseils de professeurs) ».Un principal.
  2. Mar 2024
  3. Feb 2024
    1. Résumé de la vidéo [00:00:00][^1^][1] - [00:04:16][^2^][2]:

      Cette vidéo présente le dispositif ITEP (Institut Thérapeutique, Éducatif et Pédagogique) à travers les témoignages de parents et de professionnels. Elle met en lumière l'importance de l'ITEP dans l'accompagnement des enfants ayant des troubles du comportement et la manière dont il aide ces enfants à s'intégrer dans le système éducatif traditionnel.

      Points forts : + [00:00:00][^3^][3] Présentation de l'ITEP * Accueil des enfants * Présentation des chambres + [00:00:43][^4^][4] Éducation à l'ITEP * Classes à petits effectifs * Réintégration dans les écoles de secteur + [00:01:22][^5^][5] Progrès des enfants * Partage entre l'ITEP et les écoles traditionnelles * Développement des compétences sociales + [00:02:00][^6^][6] Victoire personnelle * Transition vers le collège * Sentiment d'appartenance à l'ITEP + [00:02:35][^7^][7] Orientation par la MDPH * Reconnaissance des troubles du comportement * Concept d'handicap invisible + [00:03:14][^8^][8] Gestion des émotions * Travail avec les thérapeutes * Responsabilisation et représentation des enfants

    1. Résumé de la vidéo [00:00:00][^1^][1] - [00:13:53][^2^][2]:

      La vidéo présente divers témoignages de personnes affectées par des troubles du comportement et du langage, ainsi que des professionnels de l'éducation et de la santé mentale. Ils discutent des défis et des solutions pour aider les enfants et les adolescents atteints de ces troubles.

      Points forts: + [00:00:00][^3^][3] Introduction des participants * Parents et professionnels partagent leurs expériences + [00:01:08][^4^][4] Difficultés rencontrées * Problèmes de comportement, scolarité et communication + [00:02:11][^5^][5] Diversité des troubles * Éventail de situations et de besoins individuels + [00:03:02][^6^][6] Rôle des professionnels * Soutien à l'insertion sociale et professionnelle + [00:06:01][^7^][7] Évolution des pratiques * Approche inclusive et désinstitutionnalisation + [00:09:48][^8^][8] Objectifs du dispositif ITEP * Inclusion et participation active des familles

    1. Résumé de la vidéo [00:00:00][^1^][1] - [00:24:15][^2^][2]:

      La vidéo est une discussion franche sur la sexualité, l'éducation sexuelle et les tabous culturels associés. Elle explore comment la sexualité est abordée dans différents contextes éducatifs et familiaux, et l'importance de la communication ouverte sur ces sujets.

      Points saillants: + [00:00:00][^3^][3] Introduction au sujet * Discussion sur le sexe et les tabous + [00:01:00][^4^][4] Découverte de la sexualité * Expériences personnelles et éducation + [00:06:00][^5^][5] Éducation sexuelle précoce * Débats sur l'enseignement aux enfants + [00:08:00][^6^][6] Sexualité et société * Impact de la banalisation du sexe + [00:10:00][^7^][7] Contrôle parental * Droits et limites des parents + [00:16:00][^8^][8] Homosexualité et éducation * Aborder l'homosexualité avec les enfants

    1. on pourrait presque évaluer les élèves je pense qu'il faut la compétence se situe prise en compte dans le dans le parcours 00:18:56 de l'élève et dans son parcours de trimestre et de l'année vraiment ça permet quand même justement à l'élève et aux parents de voir d'entamer un dialogue qui permet de de 00:19:08 faire ressortir les points les points durs j'allais dire de des raisons de la de la difficulté ça permet aussi avec le professeur qui était là de 00:19:20 tempérer un petit peu et de d'équilibrer les choses
    2. pour moi le bulletin c'est un chronomètre qui permet de donner un temps de passage en disant voilà vous êtes dans les temps vous n'êtes pas dans les temps par rapport au projet que vous faites que vous enfin le projet que vous 00:20:00 visez vous êtes en retard vous êtes vous êtes bien
    1. Résumé de la vidéo de [00:00:00][^1^][1] à [00:31:54][^2^][2] :

      Cette vidéo est le quatrième épisode d'un podcast à soi, une série qui explore les questions de genre et de féminisme. Dans cet épisode, la réalisatrice Charlotte Bienaimé s'intéresse à l'expérience de la maternité et aux inégalités qu'elle révèle entre les femmes et les hommes. Elle donne la parole à des mères qui racontent leur vécu, leur souffrance, leur combat pour partager les tâches domestiques et parentales. Elle interroge aussi des chercheuses qui analysent les normes sociales et les représentations autour de la maternité et de la paternité. Elle questionne enfin les solutions possibles pour faire évoluer les mentalités et les pratiques vers plus d'égalité.

      Points clés : + [00:01:19][^3^][3] L'histoire d'Amandine, mère depuis deux ans * Elle témoigne de son isolement et de son épuisement après la naissance de son fils * Elle dénonce le manque de soutien de son conjoint et de la société * Elle frôle la rupture et consulte une conseillère conjugale * Elle réussit à renouer le dialogue et à rééquilibrer la répartition du travail domestique + [00:07:42][^4^][4] L'analyse d'Anne-Sophie Vozari, sociologue * Elle explique que la souffrance des mères est souvent traitée dans un cadre pathologique * Elle souligne que la dimension collective et sociale de la maternité est éludée * Elle critique les normes et les scripts qui définissent ce que sont une bonne mère et un bon père * Elle montre que les rôles sexués sont encore très présents dans les institutions et les discours + [00:16:24][^5^][5] L'interview de Christine Delphy, féministe * Elle revient sur sa théorie du travail domestique gratuit et invisible des femmes * Elle dénonce l'exploitation des femmes par leurs conjoints dans le mariage et le concubinage * Elle regrette que le mouvement féministe n'ait pas encore remis en cause ce système * Elle propose des pistes pour changer les choses, comme le congé parental obligatoire pour les hommes

    1. Résumé de la vidéo de [00:00:00][^1^][1] à [00:08:01][^2^][2] :

      Cette vidéo est le quatrième épisode d'un podcast à soi, une série qui explore les questions de genre et de féminisme. Dans cet épisode, la narratrice, Charlotte Bienaimé, raconte son expérience de la maternité et les inégalités qu'elle a rencontrées avec son conjoint. Elle interroge aussi des sociologues et des féministes sur les enjeux de la parentalité, du travail domestique et de la charge mentale.

      Points forts : + [00:00:00][^3^][3] Le témoignage d'Amandine, jeune mère épuisée * Elle raconte comment elle s'est retrouvée seule à s'occuper de son bébé * Elle a souffert d'une dépression post-partum et d'images violentes * Elle dénonce le manque de soutien social et le congé de maternité trop court + [00:06:37][^4^][4] L'analyse de Christine Delphy, sociologue et féministe * Elle explique la notion de travail gratuit et invisible des femmes * Elle critique la division sexuelle du travail et l'exploitation des femmes par les hommes * Elle appelle à un mouvement des femmes pour revendiquer une égalité réelle + [00:16:03][^5^][5] La suite du témoignage d'Amandine, qui a réussi à changer les choses * Elle a mené le combat pour que son conjoint partage les tâches domestiques * Elle a failli perdre son couple mais a finalement retrouvé un équilibre * Elle se dit satisfaite de la répartition actuelle du travail parental

    1. Résumé de la vidéo de [00:00:00][^1^][1] à [00:29:23][^2^][2] :

      Cette vidéo est un podcast d'ARTE Radio qui raconte l'histoire d'une femme qui découvre que son père n'est pas son père biologique, mais son parrain. Elle retrace son parcours pour comprendre les secrets de sa famille, les liens qui l'unissent à son père et à son parrain, et les conséquences de cette révélation sur son identité.

      Points forts : + [00:00:00][^3^][3] Le jeu des sept familles * La narratrice présente sa famille : son frère, sa mère, son père et son parrain * Elle explique que les familles ne sont pas toujours comme sur les cartes * Elle révèle qu'elle partage un secret avec son père : il n'est pas son père biologique + [00:05:02][^4^][4] Le test de paternité * La narratrice raconte comment elle a fait un test ADN avec son père par curiosité * Elle reçoit le résultat par mail : 0% de probabilité qu'il soit son père * Elle appelle son père, son frère et son amie pour leur annoncer la nouvelle + [00:11:02][^5^][5] La rencontre avec la mère * La narratrice interroge sa mère dans un restaurant sur son histoire avec son parrain * Sa mère lui avoue qu'elle a eu une liaison avec son parrain, qui était marié et qui travaillait avec elle * Sa mère lui dit qu'elle savait qu'il était son père biologique, mais qu'elle n'a jamais voulu le dire + [00:17:02][^6^][6] La recherche des origines * La narratrice contacte sa demi-sœur, la fille de son parrain, qui vit aux États-Unis * Elle échange avec elle sur Skype et apprend des choses sur son parrain * Elle réalise que son parrain était un homme complexe, généreux mais infidèle, décoré mais d'extrême droite + [00:23:02][^7^][7] La quête d'identité * La narratrice réfléchit à l'impact de cette révélation sur son identité * Elle se dit qu'elle peut choisir son passé et son futur, et qu'elle n'est pas définie par son ADN * Elle affirme que son père reste son père, qu'elle l'aime et qu'elle fait partie de sa famille

    1. http://www.youtube.com/watch?v=R4F69G3JXGQ

      Résumé de la vidéo [00:00:00][^1^][1] - [00:50:43][^2^][2] :

      Cette vidéo traite du trouble du déficit de l'attention avec hyperactivité (TDAH), un trouble neurodéveloppemental qui affecte environ 5% des enfants. Elle présente les témoignages de familles d'enfants diagnostiqués hyperactifs, les difficultés qu'ils rencontrent à l'école et dans la vie quotidienne, et les solutions possibles pour les aider. Elle explique également les causes, les symptômes, le diagnostic et le traitement du TDAH, ainsi que les recherches en cours sur ce trouble.

      Points forts : + [00:00:05][^3^][3] L'histoire de Céline et ses garçons Quentin et Fabien * Céline soupçonne que ses fils sont hyperactifs * Elle les emmène à l'hôpital Robert Debré pour une consultation * Elle raconte les problèmes de comportement et d'attention de ses fils + [00:02:38][^4^][4] Les témoignages d'autres familles d'enfants hyperactifs * Pierre, Raphaël, Flore et Loris ont tous des symptômes différents * Ils ont tous souffert à l'école, soit par rejet, soit par incompréhension * Leurs parents ont cherché de l'aide et du soutien + [00:09:19][^5^][5] La définition du TDAH et ses trois composantes * Le TDAH est un trouble du développement des fonctions exécutives * Il se manifeste par un déficit de l'attention, une impulsivité et une hyperactivité * Il peut avoir des conséquences sur les apprentissages, les relations sociales et l'estime de soi + [00:15:04][^6^][6] Le diagnostic du TDAH et les outils utilisés * Le diagnostic repose sur des critères cliniques et des questionnaires * Il faut exclure d'autres causes possibles des troubles * Il faut évaluer le degré de sévérité et le retentissement du TDAH * Il faut faire des tests neuropsychologiques et des examens complémentaires + [00:22:50][^7^][7] Le traitement du TDAH et ses différentes modalités * Le traitement repose sur une approche multimodale, associant médicaments, psychothérapie et rééducation * Le médicament le plus utilisé est la Ritaline, un psychostimulant qui agit sur le cerveau * La psychothérapie vise à aider l'enfant à mieux se comprendre et à gérer ses émotions * La rééducation consiste à renforcer les fonctions exécutives et à améliorer les compétences scolaires + [00:34:23][^8^][8] Les recherches sur le TDAH et les perspectives d'avenir * Les recherches visent à mieux comprendre les causes et les mécanismes du TDAH * Elles utilisent des techniques comme la génétique, l'imagerie cérébrale ou la stimulation magnétique * Elles cherchent à développer de nouveaux traitements et à prévenir les complications du TDAH * Elles espèrent améliorer la qualité de vie des enfants et des adultes atteints de TDAH

    1. Résumé de la vidéo de [00:00:00][^1^][1] à [01:12:00][^2^][2] :

      Cette vidéo est un podcast féministe qui aborde la question de la violence éducative ordinaire, c'est-à-dire la violence physique, psychologique ou émotionnelle exercée par les adultes sur les enfants dans une visée éducative. Le podcast interroge les conséquences de cette violence sur le développement des enfants, les rapports de domination entre adultes et enfants, et les alternatives possibles pour une éducation sans violence.

      Points forts : + [00:00:00][^3^][3] L'introduction du podcast * Présente le thème et les enjeux de l'épisode * Donne la parole à des enfants qui racontent leurs expériences de violence à l'école * Cite des textes féministes sur la question de l'enfance + [00:10:00][^4^][4] La définition de la violence éducative ordinaire * Explique le concept et ses différentes formes * Interroge les origines historiques et religieuses de cette violence * Souligne les effets néfastes de cette violence sur le cerveau et la santé des enfants + [00:20:00][^5^][5] La domination adulte sur les enfants * Analyse les rapports de pouvoir entre adultes et enfants * Dénonce les discriminations liées à l'âge et le manque de droits des enfants * Relie la question de la domination adulte à celle du patriarcat et du sexisme + [00:30:00][^6^][6] Les témoignages de parents et de professionnels * Partagent leurs vécus et leurs difficultés face à la violence éducative ordinaire * Décrivent les situations de violence dans les crèches, les écoles, les cantines, etc. * Racontent leurs actions et leurs mobilisations pour dénoncer et changer les choses + [00:40:00][^7^][7] Les alternatives à la violence éducative ordinaire * Présente les principes et les pratiques de l'éducation bienveillante * Donne des exemples concrets d'établissements qui appliquent ces principes * Propose des ressources et des conseils pour accompagner les enfants sans violence + [00:50:00][^8^][8] La conclusion du podcast * Résume les points principaux de l'épisode * Ouvre des pistes de réflexion sur l'articulation entre domination adulte et socialisation * Annonce le thème du prochain épisode sur l'éducation des garçons féministes

    1. Cette vidéo est une émission en direct animée par Cyril, un éducateur spécialisé qui invite Parole d'educs, un autre éducateur spécialisé, pour parler de son expérience dans les foyers d'accueil d'urgence. Ils échangent sur leur parcours, leur métier, leurs difficultés et leurs projets, tout en interagissant avec le chat et en faisant de l'humour.

    1. Résumé de la vidéo [00:00:00][^1^][1] - [00:04:27][^2^][2]:

      Cette vidéo présente le travail d'un professeur de segpa, une section d'enseignement adapté pour les élèves en grande difficulté scolaire. Il explique les causes et les conséquences de l'échec scolaire, ainsi que les préjugés et les stéréotypes qui entourent les élèves de segpa. Il défend l'idée que l'école doit faire progresser tous les élèves, quel que soit leur niveau initial, et que l'école d'autrefois n'était pas mieux pour les élèves à besoins éducatifs particuliers.

      Points clés: + [00:00:00][^3^][3] Les représentations erronées des élèves de segpa * Ils sont souvent vus comme des nuls, des abrutis, des violents * Ils sont moqués sur les réseaux sociaux ou dans des séries humoristiques + [00:01:29][^4^][4] Les raisons de l'échec scolaire des élèves de segpa * Ils ont des problèmes sociaux, familiaux, de santé, qui affectent leur scolarité * Ils ont un sentiment d'impuissance, de fragilité, de honte + [00:02:46][^5^][5] Les solutions pour lutter contre l'échec scolaire des élèves de segpa * Il faut arrêter de trier les élèves selon leur intelligence ou leur mérite * Il faut adapter l'enseignement à leurs besoins et à leurs capacités * Il faut arrêter de glorifier l'école d'autrefois, qui excluait ces élèves

    1. Résumé de la vidéo [00:00:00][^1^][1] - [00:05:19][^2^][2] :

      Cette vidéo est un podcast d'ARTE Radio qui donne la parole à un homme victime d'inceste par son grand-père pendant dix ans. Il raconte comment il a vécu ce traumatisme, comment il a réussi à en parler et à se reconstruire, et comment il a transformé sa souffrance en humour avec son spectacle "Tenue laïque exigée".

      Points forts : + [00:00:03][^3^][3] Il a été incesté de 3 ans à 13 ans par son grand-père * Il a subi une mise sous emprise et des menaces de mort * Il a ressenti de la culpabilité et de la honte * Il a parlé à sa grand-mère qui l'a rejeté + [00:02:00][^4^][4] Il a développé des troubles psychiques et des TOC * Il se trouvait immonde et sale * Il avait peur de tout et se sentait rejeté * Il a voulu se suicider à 23 ans + [00:03:07][^5^][5] Il a commencé une thérapie et a porté plainte * Il a été reconnu victime et a été soulagé qu'on le croie * Il a perdu 100 kg de tristesse * Il a retrouvé le goût de vivre et de rire + [00:04:01][^6^][6] Il a créé un spectacle sur son histoire * Il a réalisé son rêve de faire rire * Il a rencontré d'autres victimes qui se sont confiées * Il a dénoncé le manque de justice pour les pédocriminels

    2. permet de rencontrer mon psy et de dire que j'ai été violé et on me dit que qu'on me croit en fait je perds 100 kg de tristesse à chaque fois qu'on me dit qu'on me croit en fait tous les gens qui regardent cette vidéo et qui un jour 00:03:19 vont tomber sur des gens qui leur font assez confiance pour leur parler de ça il faut juste leur dire ça en fait c'est terrible ce qui t'est arrivé et je te crois et je pense que j'aurais entendu ça à 13 ans ça m'aurait évité 12 ans de silence et de et de de torpeur
    1. Résumé de la vidéo [00:00:00][^1^][1] - [00:07:24][^2^][2]:

      Cette vidéo présente le service d'écoute et d'orientation SIOS, qui s'adresse aux personnes qui ont des fantasmes sexuels déviants ou qui ont commis des infractions à caractère sexuel. Il s'agit d'un service anonyme, confidentiel et non jugeant, qui propose une écoute bienveillante, des informations et des orientations vers des thérapeutes spécialisés. Le but est de prévenir le passage à l'acte ou la récidive, et de réduire la souffrance des personnes concernées.

      Points clés: + [00:00:00][^3^][3] Le témoignage d'un homme qui a peur de passer à l'acte sur sa fille * Il se demande s'il est pédophile et s'il représente un danger * Il appelle SIOS pour demander de l'aide + [00:01:28][^4^][4] La présentation du service SIOS * Il s'agit d'un service d'écoute et d'orientation par téléphone, chat ou mail * Il est destiné aux personnes qui ont des fantasmes sexuels déviants ou qui ont commis des infractions à caractère sexuel * Il est animé par des psychologues, des sexologues et des psychothérapeutes formés et expérimentés + [00:03:00][^5^][5] Les types de fantasmes sexuels déviants * Il y a déviant par rapport à la loi (pédophilie, inceste, viol, etc.) * Il y a déviant par rapport à la personne elle-même (ce qui lui fait souffrir ou ce qui fait souffrir l'autre) * Il y a des fantasmes qui sont envahissants et qui ont des conséquences dans la vie quotidienne + [00:04:28][^6^][6] Le secret professionnel et l'obligation d'assistance * Le secret professionnel peut être levé dans des circonstances extrêmement précises (danger imminent pour une personne identifiée) * L'obligation d'assistance implique d'écouter, de clarifier, de trouver des solutions et de mettre en sécurité une victime potentielle + [00:05:52][^7^][7] La liste des thérapeutes spécialisés * SIOS dispose d'une liste de thérapeutes spécialisés qui ont été formés et supervisés par l'UPL (unité de psychopathologie légale) * SIOS propose des coordonnées aux personnes qui ont besoin de prolonger la réflexion ou la prise en charge + [00:06:26][^8^][8] Le service de prévention * SIOS fait partie d'un plan plus global de prévention de la violence faite aux femmes * SIOS a pour objectif d'agir avant le passage à l'acte ou la récidive * SIOS espère contribuer à une société moins violente

    1. x 2Si la lecture ne commence pas dans quelques secondes, essayez de redémarrer votre appareil.8:32Faites glisser vers le haut pour une recherche plus préciseSous-titres non disponibles52:13•Vous êtes déconnectéLes vidéos que vous visionnez peuvent être ajoutées à l'historique des vidéos regardées sur votre téléviseur et avoir une influence sur les recommandations qui vous sont faites. Pour éviter ce problème, annulez et connectez-vous à YouTube sur un ordinateur.AnnulerConfirmerÀ suivreEn directÀ venirAnnulerRegarderSeeZoS'abonnerAbonnéPartagerInclure la playlistUne erreur s'est produite lors de la récupération des informations de partage. Veuillez réessayer ultérieurement.8:329:28 / 11:33•Regarder l'intégralité de la vidéoEn direct••Faites défiler la page pour afficher plus de détails Menace envers mon Professeur & Conseil de discipline !
    1. [Mardis de l'IH2EF ] : évaluation de l'établissement 2D_temps 1 pour l'année 2021-2022

      IH2EF - Institut des hautes études de l'éducation et de la formation

      2 017 vues 23 sept. 2021 INSTITUT DES HAUTES ÉTUDES DE L'ÉDUCATION ET DE LA FORMATION (IH2EF) La première campagne d’évaluation des établissements, dans le cadre prévu par la loi, pour une école de la confiance de juillet 2019 et arrêté par le Conseil d’évaluation de l’École, le 8 juillet 2020 a débuté au début du mois d’octobre 2020. Lors du lancement de cette première campagne, l’IH2EF et le CEE ont proposé un premier Direct consacré à l’auto-évaluation de l’établissement dont le replay est toujours à votre disposition. Conformément à l’annonce faite à cette occasion, un second temps vous fut proposé au mois de février 2021 dont la consultation en mode vidéo ou audio reste accessible. L’accompagnement mis en place se poursuit par l’organisation d’un troisième temps à destination à l’ensemble des personnels de direction, inspecteurs et acteurs de cette évaluation et particulièrement ceux concernés par l’auto-évaluation en 2021-2022. Au cours de ce direct, seront notamment abordées les problématiques suivantes : - la force du lien entre évaluation et projet d’établissement ; - en quoi la dimension participative de l’ensemble des acteurs au processus d’évaluation, notamment les élèves, est-elle un élément essentiel à la démarche d’évaluation de l’établissement? Le parcours de formation mis à la disposition des acteurs sera présenté au cours de l’émission.

      Direct : L’évaluation de l’établissement – temps 1 pour l'année 2021/2022 _ Le projet d'établissement et la place des acteurs Mardi 21 septembre de 17h à 18h sur le site de l’IH2EF et sur sa chaîne Youtube

      Intervenants : - Béatrice GILLE : Présidente du conseil de l'évaluation de l'École - Témoignages d’acteurs concernés par l’évaluation de l’établissement

      Correspondants pour le CEE à l'IH2EF : Nicolas Durupt et Magali Villain-Lopes : ingénieurs de formation

  4. Dec 2023
    1. Témoignage de Julien, élève en 2de générale et technologique« Je voudrais avoir le bac et après peut-être aller à l’université et être ingénieur,fabriquer des médicaments dans un laboratoire. Je voulais être avocat avant, maisle problème, c’est la surdité, ça n’est pas facile. Oui, j’ai réfléchi, la difficulté, c’estde parler. Il n’y a pas très longtemps, j’ai trouvé une orthophoniste pour travaillerl’éducation de la parole et de la voix, pour mieux parler, je travaille. »Lien vers la ressource numérique :https://oniseptv.onisep.fr/onv/vivre-sa-scolarite-avec-son-handicap-le-point-de-vue-de-julien
    2. Témoignage de Laure, élève de terminale spécialité ISN (informatique et sciences dunumérique), à propos de son parcours présent et à venir« Pour ma terminale, j’ai choisi informatique et sciences du numérique, donc ISN.C’est une spécialité en rapport avec tout ce qui est numérique et tout ce qu’onpeut y faire. J’ai choisi ISN parce qu’en fait, l’informatique, ça me passionne depuistoujours et puis je voulais apprendre à programmer, c’est ce qu’on a fait. J’aitoujours voulu me lancer, mais je n’ai jamais osé toute seule parce que c’estvraiment quelque chose que je trouvais compliqué. Je n’ai pas vraiment encored’idée de métier, mais je pense qu’après mon DUT, je vais faire une licence etje vais continuer dans la voie de l’informatique et sûrement programmer. C’est çaqui m’intéresse, faire ce que j’aime, donc programmer. »
    3. Témoignage de Marc, étudiant en L1 droit à l’université, à propos de sa transition lycée-université« La transition du lycée à l’université a été assez délicate au début parce que,déjà, socialement, quand on est au lycée, on connaît la majorité des élèves, onest une classe de 20, on est en proximité, on peut toujours compter les uns sur lesautres. Quand on arrive à l’université, on est 400, on connaît une seule personnegénéralement, c’est difficile de créer des liens au début, donc on peut moinss’entraider. Après, ça vient avec le temps, maintenant, c’est bon. Mais je crois quele plus dur, en fait, c’est le travail qu’on a à fournir, on ne sait pas du tout si c’estassez ou pas assez, parce qu’au lycée, on a des notes toutes les semaines à peuprès. À la fac, la première note n’arrive que maintenant, en janvier. En attendant,on ne sait pas si on travaille assez. »
    4. Témoignage de Laure, en 1re bac pro conduite et gestion de l’entreprise hippique,à propos de ses recherches d’entreprise pour réaliser son apprentissage« J’ai commencé fin août dans une entreprise, j’y suis restée jusqu’à fin février. »Sa responsable pédagogique : « Dans sa première entreprise, en fait, elleconnaissait déjà son maître d’apprentissage parce qu’elle était cavalière chezlui [...]. Bam, re-rupture fin juin [...]. Donc, à nouveau, on est là pour lui dire :“Allez, on y va, on est là pour t’aider, on ne te lâche pas, on continue [...].”On refait son CV, sa lettre de motivation, et on recherche une entrepriseensemble. » Laure : « Pour retrouver une entreprise, j’ai dû appeler beaucoupd’écuries, une centaine à peu près et, finalement, j’ai trouvé. »
    5. Témoignage de Pierre, élève en 2de générale et technologique« Le métier que j’aimerais faire plus tard, ce serait cuisinier et, après, dansle domaine de la salle, ce serait maître d’hôtel, ou un truc comme ça. J’avaisdemandé une 2de spécifique hôtellerie- restauration. Pour moi, l’entretien s’étaitbien passé, puis, le soir même, ils affichaient les candidats qui pouvaient êtrereçus : je suis allé voir et j’ai vu que mon nom n’y était pas, donc je suis passéà autre chose. Là, je me dirige vers la voie générale. Ça ne veut pas dire que je laissetomber, ça veut dire que je vais regarder un peu plus largement dans les métiers,mais l’hôtellerie, la restauration, ça reste pour l’instant mes premiers choix. Dansle métier de maître d’hôtel, j’ai vu que l’anglais, ça allait servir énormément, doncc’est une chose sur laquelle je vais essayer de bosser un peu, même beaucoup. »
    6. Témoignage d’Alicia, élève en terminale bac pro procédés de la chimie, de l’eau et despapiers-cartons, à propos de son intégration en bac pro après un bac général« Je ne regrette pas du tout, parce que ça me fait un bagage en plus, ça me permetde changer de voie facilement. » L’un de ses professeurs ajoute : « On ne repartjamais de zéro, parce qu’on a acquis des compétences dans son parcours antérieur,quel qu’il soit. C’est aussi à nous, professeurs, de montrer aux jeunes que cescompétences-là sont tout à fait intéressantes pour pouvoir préparer son métier. »
    7. Témoignage de Maxence, lycéen en terminale STI2D (sciences et technologies del’industrie et du développement durable), à propos du Grand Oral« C’est dur de tenir 10 minutes quand on parle, en général. Moi, par exemple,je prends plutôt 20 à 25 minutes, alors il va falloir condenser un petit peu. Il fautque je sois assez clair et, en même temps, il ne faut pas que je parle trop vite,donc c’est un compromis à trouver. »
    8. Témoignage de Yohann, lycéen en 1re ST2S (sciences et technologies de la santé etdu social), à propos de son rêve de devenir éducateur spécialisé malgré son handicap« Ce qui compte pour moi, en dehors de ma vie professionnelle, c’est d’être àl’écoute des autres. Ça rentre dans le métier, mais c’est aussi important en-dehors,d’écouter la personne. À mes 16 ans, je me suis fait opérer d’une scoliose-sciatique,une maladie génétique et héréditaire. J’ai dû fermer la porte du sport, tout lâcherpour recommencer une vie avec la maladie. Alors un métier plus adapté pour moiserait éducateur spécialisé. J’ai envie de devenir éducateur spécialisé pour enfantshandicapés. C’est un métier d’approche, car moi, je veux devenir éducateur,mais, au plus profond de moi, je veux devenir formateur d’éducateurs. Par rapportà mon futur métier, je me pose beaucoup de questions, car le métier d’éducateurspécialisé est un métier de terrain : moi, je suis en action, mais mes jambesne sont pas en action, ça a vraiment un impact sur mon futur métier. Être éducateur,c’est mon rêve. C’est sûr que le domaine du sanitaire et du social est très vaste et,avant de faire un métier, il faut se connaître soi-même. Cette distance, peut-êtrequ’elle viendra avec le déclic du métier, peut-être qu’elle viendra avec le déclicdu diplôme, je ne sais pas trop encore. »
    9. Témoignage d’Andrea, élève en bac pro technicien du bâtiment, organisation etréalisation du gros œuvre, à propos du métier qu’il aimerait exercer« Le métier qui me plaît le plus dans le milieu des TP, c’est le métier de travauxacrobatiques et, plus exactement, de cordiste. Les travaux en hauteur, en fait :descendre le long des façades d’immeuble, sécuriser les routes. L’escalade,j’en ai fait 3 ans en club, ça me plaisait assez. C’est une passion qui colle assezavec le métier de cordiste, logiquement, puisqu’on fait des travaux en hauteur.Ça, ça me plaît et je pense que je me trouverais bien dans ce métier. »
    10. Témoignage de Magaly, élève en CAP électricité« C’est en faisant des rénovations d’appartement avec mon copain que j’ai vouluêtre électricienne, parce que ça m’a beaucoup plu. Dans ma classe, on est 14et je suis la seule fille dans mon CFA à faire un CAP électricité. Plus tard, aprèsmon BP, j’aimerais bien travailler, histoire d’avoir de l’expérience et, une fois monexpérience acquise, j’aimerais bien ouvrir une boîte d’électricité ou tout corpsd’état où il n’y aurait que des filles, ce serait original et je pense que ça pourraitplaire aux gens. Pour entrer dans le secteur du bâtiment, il ne faut pas forcémentêtre un garçon manqué, avoir des bras qui font la taille de vos tibias, c’estun métier où il faut aimer travailler avec les mains, mais aussi avec la tête. »
    11. Témoignage de Pierre, élève en 2de générale et technologique, à propos de son stage enrestauration« Faire ce stage, ça m’a fait ouvrir les yeux sur les horaires : on commençait asseztôt, puis on finissait très tard. Moi, pour l’instant, les horaires, ça ne me perturbepas plus que ça, j’ai toujours envie de faire ce métier. Après, peut-être que durantl’année, on me proposera d’autres choses, on me fera découvrir d’autres choses,donc je ne sais pas, ça va peut-être bouger. »
    12. Témoignage de Yohann, élève en terminale bac technologique STAV (scienceset technologies de l’agronomie et du vivant), à propos de son choix de formationet de sa poursuite post-bac« J’ai choisi le bac STAV parce qu’il est quand même assez riche en matièresscientifiques : tout ce qui est biologie, physique-chimie et aussi mathématiques.La biologie est une grande partie du bac STAV, ça va être tout ce qui est l’étudedu corps humain. Le bac STAV ne ferme pas des portes : justement, moi, çam’a permis de m’ouvrir. J’ai choisi de faire une filière en STAPS, en rapport avecle sport : je peux me permettre de faire ça, parce que le bac STAV a des basesscientifiques très solides. »
    13. Témoignage d’Andréa, élève en bac pro technicien du bâtiment, organisationet réalisation du gros œuvre, à propos de son parcours de réorientation« Lors de mon parcours scolaire, j’ai fait une première 2 de généraleet technologique au lycée des Eucalyptus à Nice-Ouest, mais je n’avais pasle niveau nécessaire, du coup j’ai redoublé. Lors de ma deuxième 2 de , j’ai eul’occasion de travailler sur un chantier. En fait, ça a été une découverte complète,un déclic, et, à la fin de mon travail, je me suis renseigné un peu sur les étudesqu’il y avait en rapport avec le bâtiment et les travaux publics. Je suis tombésur le lycée Vauban, qui proposait cette filière-là. Je suis allé voir ma conseillèred’orientation et elle m’a conseillé le dossier passerelle, qui permet en fait depasser d’une filière à l’autre sans redoubler forcément, ça évite de perdre uneannée et de passer son bac à 18 ans. Grâce à ça, j’ai pu intégrer le lycée Vauban ;ma conseillère d’orientation m’a toujours soutenu. »
    14. Témoignage de plusieurs lycéens sur leur sentiment d’avoir suffisamment d’informationssur leurs possibilités de poursuite post-bac« Personnellement, j’ai dû aller au CIO avec mon père en dehors du lycée pourme renseigner sur Sciences Po ; au lycée, on n’est pas assez informé, même s’il y ades brochures au CDI, etc. »« Ce qui me dérange, c’est qu’on est un peu dans le flou, il y a tropd’informations et je trouve qu’il y a trop de possibilités après le bac. J’aurais aiméque ce soit beaucoup plus concentré parce qu’il y a beaucoup trop de trucs. »
    1. comment pouvez-vous intégrer les valeurs de la République au sein du public halophone on on dit venez à notre 00:54:41 atelier à distance c'est compliqué mais on a des collègues qui travaillent du coup avec les upe 2A et et les élèves à juste quand on parle du public halallophone on parle juste de la barrière de la langue quelque part donc 00:54:53 on va on on peut tout à fait faire vivre les valeurs de citoyens français avec les élèves hophones si on on fait le lève cette barrière de la langue dans un premier 00:55:05 temps juste c'est c'est même plus facile parce que moi je dis toujours he les les publicalophones ils ils sont fascinés par la France ils sont fascinés par notre pays il ils sont heureux d'être 00:55:18 ici donc ils ils seront d'autant plus réceptifs à à à ce qu'on partage les valeurs avec eux enf moi c'est ce que j'ai c'est ce que j'ai connu avec avec ces ces élèves à la F qui arrivent en France pour certains ça a été le 00:55:31 parcours du combattant de venir ici mais ils sont tellement heureux d'être avec nous que effectivement ils sont très réceptifs
    2. je parler de de lutte contre détermin social et et ce qui ce qui pas une chose très très simple je je suis pas sûr qu'on qu'on soit parvenu hein lorsque il y a une grande très grande 00:31:50 mixité mais au moins commencer déjà par essayer d'obtenir parce que c'est ce que je vais dans vre établissement 55 minut de cours l'objectif de 55 minutes de cours c'était ça commence par un climat scolaire serein
  5. Oct 2023
    1. uand on raconte quelque chose quand on raconte un trauma mais dans 99 % des cas les gens sont en empathie vous voyez ou alors c'est qu'ils ne croient pas qu'ils ne sont pas capables d'entendre mais quand on 00:38:54 raconte quelque chose les gens ne se moque jamais ne vous regardent jamais comme avec des ils sont plutôt à vous regarder avec un regard de de voilà de compréhension voire même d'admiration ah ouais tu as vécu tout ça waouh
    2. vous ne vous rendez pas compte mais parfois une parole un regard aujourd'hui une considération peut changer la vie d'un enfant et vous le saurez jamais
  6. Sep 2023
  7. Jun 2023
  8. Mar 2023
    1. Elle s'est plongée dans le journal intime de sa sœur 3 168 vues 20 mars 2023 Brut Brut Validé 1,64 M d’abonnés Abonné Abonné 229 J'aime ce contenu Je n'aime pas ce contenu Partager Partager Télécharger Télécharger 3 168 vues 20 mars 2023 3 168 vues • 20 mars 2023 Elle avait 21 ans et rêvait de devenir écrivaine. Après des années de harcèlement scolaire, elle s'est suicidée, laissant derrière elle son journal intime. Ses mots, sa sœur Agathe a choisi de les publier dans un roman, son roman : Le Livre de Liane. Elle raconte son histoire.
  9. Jan 2023
    1. « Lorsque j’étais étudiante en classe préparatoire littéraire, j’ai dû acheter un billet d’avion et assurer lesfrais de logement en métropole pour pouvoir passer certains concours. Rien n’était pris en charge et lecoût du voyage ainsi que la fatigue engendrée rajoutent une pression supplémentaire très importante.Une inégalité criante face à l’accès à l’éducation supérieure pour les ultramarins. »Mayotte
    2. « J’aimerais avant tout parler des discriminations en tant que réunionnais, lorsque je suis arrivé enFrance hexagonale. Discrimination au logement; discrimination dans un concours (oui je l’affirme);discrimination dans ma formation (je suis diplômé de Science Po); discrimination dans les relationsavec la police. Je pourrais raconter des anecdotes classiques comme celle où l’agent immobilier dit aubout de 20 minutes que le logement n’est plus disponible. Ou encore, à l’université, quand la chargée deformation dit que je n’ai pas droit à une bourse parce que mon nom n’est pas français comme “Martin”.Ou encore, au cours d’un oral à un concours de catégorie A, un fonctionnaire d’État avec un nom àconsonance étrangère se permet de dire que je n’ai pas ma place en France. »La Réunion
    3. « Difficultés d’inscrire les enfants dans les écoles. Même si cela est rendu obligatoireet [que] la commune le fait, il faudra que la Maire repousse les murs des écoles existantes. »Mayotte
    4. « Prenons la situation concrète et réelle des jeunes collégiens de Trois Saut. Une fois arrivés à l’âged’intégrer le collège (11 ans et +), ces jeunes doivent quitter leur environnement familial pour [assurer]une continuité scolaire. Sauf que peu de dispositifs existent aujourd’hui pour accueillir ces enfants.Ils se retrouvent ainsi éjectés de leur famille et finissent pour beaucoup en situation d’échecdans des familles d’accueil ou dans un home amérindien. »Guyane
    5. « De nombreux enfants ne sont pas inscrits à l’école car ils sont d’origine étrangère.En tant qu’enseignant, j’ai vu des personnes empêcher des enfants d’entrer à l’écolecar ils étaient étrangers. Le Préfet ne fait pas respecter la loi. »Mayotte
    6. « Beaucoup sont des jeunes qui voudraient partir du département pour étudier,mais financièrement c’est extrêmement compliqué. »La Réunion
    7. « Au niveau de l’éducation, [on constate] un réel manque de compétences des professeurset conseillers d’orientation pour guider les élèves dans leur choix de carrière. »Guadeloupe
  10. Dec 2022
  11. Jul 2022
    1. travers mes déplacements sur tout leterritoire, mes rencontres et échanges avecles enfants, je peux constater, à chaque fois,leur volonté d’être associés
  12. Mar 2022
    1. Je voudrais pour terminer évoquer une situation que j’ai eue à traiter. Il s’agissait d’une res-sortissante syrienne d’Alep qui s’est présentée à mon bureau en juin 2012, parce qu’elle avait eu un visa touristique qui arrivait à expiration. Elle avait deux enfants scolarisés dans un établissement privé des Yvelines. Elle demandait comment elle pouvait rester sur le territoire français de façon régulière car elle craignait de tomber en situation irrégulière. Elle s’est pré-sentée au guichet du service des étrangers de Versailles où on lui a dit de retourner en Syrie. Elle s’est rendue dans ma permanence. J’ai appris à ce moment-là par le secrétaire général de la Préfecture de Versailles qu’il existait une possibilité de délivrer une autorisation provisoire de séjour à cette ressortissante, comme si elle avait invoqué le droit d’asile. Dans une organi-sation comme la Préfecture, lorsqu’il y a une situation humanitaire urgente, on s’adresse au guichet et l’on n’a absolument pas de recours à un supérieur ou à un cadre dans l’immédiat. C’est une lacune de ce genre qu’il faut dénoncer.
  13. Feb 2022
    1. 00« Mon fils a été victime de harcèlement l’an dernier, en classe de CM2. Si je témoigne aujourd’hui, c’est parce que l’on est complètement perdu en tant que parents de victime, il faut se mettre à la hauteur de son enfant... Alerter le responsable de l’établissement scolaire et l’enseignant référent. Et surtout si vous n’êtes pas entendus comme cela a été le cas pour mon fils, le harceleur en question étant très bon élève, il faut prendre des contacts écrits et téléphoniques avec le rectorat et les associations de parents d’élèves... et surtout ne rien cacher à votre enfant, lui expliquer toutes vos démarches, ses droits et qu’il n’est pas une « balance »... Cela a été très compliqué pour lui parce qu’il avait peur des représailles. Il souhaite régler la chose seul parce qu’il se dit « grand ». Sauf qu’en cas de harcèlement, il doit absolument se faire aider. Attention ! Le harcèlement peut très vite se transformer en jeu pour le harceleur et entraîner d’autres élèves. Votre enfant doit s’entourer de bons camarades, éviter d’être seul et vous devez toujours rester en contact avec lui, notamment quand la situation semble se calmer : en effet, l’acte de harceler n’est pas continu, bien au contraire et c’est ce qui déstabilise la victime et affaiblit notre vigilance en tant que parents... L’enfant doit sentir un climat de confiance avec ses parents et surtout vous devez lui répéter sans cesse que ce comportement harcelant vis-à-vis de lui n’est pas normal. Nous avons eu la chance d’avoir été entendus par un inspecteur de l’Éducation Nationale, chargé de la circonscription de notre école qui a mis en place l’équipe mobile sécurité du rectorat et également soutenus par la FCPE (fédération des conseils de parents d’élèves). Les choses ont été dites entre acteurs et victimes, et au final, mon fils a été reconnu comme victime de harcèlement. En parallèle, il y a eu une prise de conscience de la part de l’enfant harceleur, ce qui réduit fortement le risque de harcèlement ultérieur.Un parent du Loiret
    1. En fait j’ai attendu un an, simplement par ce qu’il manquait une signature sur l’ASSR295 délivrée en classe de troisième. » (Léna, 19 ans, en service civique, Loire Atlantique)
    2. « Pendant le premier confinement, j’étais en classe de 4e et j’ai eu des problèmes pour suivre ma scolarité parce que je ne disposais pas de matériel. Je ne pouvais donc pas assister aux cours en visioconférence et je ne pouvais pas non plus communiquer avec mes professeurs, qui n’ont pas cru que le problème venait d’un manque d’équipements. » (Mackenlove, 17 ans, suivi par l’association Intermèdes Robinson, Hauts-de-Seine)
    1. « au collège, ils parlent du harcèlement mais juste pour la bonne conscience. Ils ne font pas assez d’efforts par rapport à ça alors que c’est un sujet très important et que ça peut détruire des vies »
  14. Apr 2021
    1. Développer le pouvoir d’agir des usagersà titre individuel et collectifCe projet vise à renforcer les droits individuels et collectifs des usagers dans leurs parcours de santé en développant leur pouvoir d’agir. D’une part, pour accroître l’information en santé du patient ainsi que sa participation et son implication dans son parcours, le savoir expérientiel du patient doit être reconnu et pris en compte. D’autre part, le développement de la représentation des patients, usagers et familles est essentiel pour renforcer les droits collectifs et agir sur le système de santé
  15. Mar 2021
    1. Elle estrédigée dans les mêmes formes que celledes membres du conseil de discipline.La convocation peut être envoyée par plirecommandé, remise en main propre contre signature, transmise par télécopie ou par voie électronique
    2. Si un élève mineur est entendu en tant que témoin, il doit être accompagné de son représentant légal.(Art. D511-31)
    3. (2)Les témoignages pour les élèves mineurs doivent être faits avec l’accordexpressdes parents.Si les responsables légaux d’un élève mineur s’opposent à ce que celui-ci témoigne, il convient de respecter leur choix.
  16. Jan 2021
  17. Dec 2020
    1. Diane sur 17 mai 2016 à 22 h 35 min En effet, il est indispensable de comprendre les raisons de cette violence pour bien aiguiller l’enfant vers une aide , mais toute fois , le bien-être des autres élèves est aussi à prendre en considération. A titre d’exemple, je n’envoie pas mon enfant à l’école pour qu’il supporte un autre enfant de 6 ans ingérable , d’ailleurs toute la classe et l’établissement supporte cela depuis des mois . Cette année scolaire , le CP a été affreuse pour mon gamin ; alors autant je comprends qu’un enfant peut avoir des troubles autant je peux vous assurer que récupérer un enfant qui est dégouté, et apeuré de l’école à cause d’un enfant ingérable, c’est difficilement acceptable.
    1. Muriel Conte, porte-parole du collectif de parents, s’est déclarée « scandalisée » par cette décision. « Le dossier a montré que ces agissements inacceptables en classe ont existé depuis au moins dix ans et ont été signalés ailleurs », a-t-elle affirmé à l’AFP
    1. « Moi je voulais faire une filière générale pour me laisser le choix, ne pas me fermer de portes et à la place je suis en boulangerie et je n’aime pas ça. Je ne veux pas faire ça, mais je n’ai pas le choix. », expliquait un des enfants de la Croix-Rouge d’Argenteuil consultés par le Défenseur des droits en 2019
    1. Il en résulte un sentiment de dépossession de leur pouvoir de choisir : « Je n’ai pas vraiment eu le choix de mon orientation au lycée », constatait l’un des jeunes
    2. « Moi je voulais faire une filière générale pour me laisser le choix, ne pas me fermer de portes et à la place je suis en boulangerie et je n’aime pas ça. Je ne veux pas faire ça, mais je n’ai pas le choix. », expliquait un des enfants de la Croix-Rouge d’Argenteuil consultés par le Défenseur des droits en 2019.
  18. Oct 2020
    1. Si depuis sa conception même, des visions divergentes de la laïcité s’affrontent, nous devons nous en tenir ici à la laïcité telle qu’elle est définie par les textes juridiques et telle qu’elle est reprise par notre Constitution. Une laïcité qui n’a pas besoin d’être «adjectivée»

      Témoignage de Laïcité JL Bianco - Observatoire de la laïcité MOOC CNFPT

  19. Jun 2020
    1. Le Défenseur des droits a été saisi par une mère qui indiquait que sa fille, scolarisée en classe de CM1, était victime de propos et attitudes humiliantes ainsi que d’accusations non fondées de la part de son enseignante, parfois devant tous les camarades de sa classe. Elle précisait que ces faits avaient eu des conséquences psychologiques importantes sur l’enfant, qui doutait d’elle-même et avait désormais des difficultés à entrer dans les apprentissages.Interrogés par le Défenseur des droits, les services départementaux de l’Éducation nationale ont indiqué que les questions liées à la communication de cette enseignante, sa façon d’entrer en contact avec les élèves et sa posture professionnelle avaient fait l’objet d’échanges et de régulation avec l’inspecteur en charge de l’école. L’école et l’enseignante ont fait l’objet d’un suivi qui devait se poursuivre et être ajusté si besoin.
  20. May 2020
    1. à 16.14

      https://youtu.be/-HrTF_iQoH0?t=1007

      cinquième semaine de confinement les écoles sont fermées l'enseignement se fait à distance le maintien de la continuité pédagogique coûte que coûte adil ministère de l'éducation nationale comment ça se passe à nanterre allez venez avec moi on va retrouver à la famille zaoui chez les as oui on se lève comme pour un jour d'école bonjour dit comment vas tu as bien dormi c anderson le plus grand qui chapeaute les devoirs du petit dernier en ce1 ce jour là on découvre ensemble le message du maître de moussa

      j'en profite pour remercier tous les parents tous les grands frères toutes les grandes soeurs qui vous aident car sans eux je ne pourrais pas m'en sortir je vous enverrai un programme le programme de la journée le matin vers 8h30 à 9h et j'enverrai le corriger en fin de journée comme je voulais déjà répété souvent vous faites au mieux surtout vous ne vous stressez pas si vous n'arrivez pas terminées dans la journée vous pouvez continuer à la maison on a établi un programme de travail il ya un travail d'écriture chaque jour les offres devront faire une ou deux pages de leurs cahiers d'écriture il n'est pas nécessaire docteur plus il faut préférer la qualité à la quantité non ça qui fait ça aux outils dans les tâches décrit avec eux ont reçu notification qui 3 sekai des trois cahiers et après on commence à y voir était qu'on a fini dans votre photo au point que des trucs qu'on prend ici

      le confinement révèle la fracture numérique chez les as oui il n'y a qu'un seul ordinateur pour quatre élèves à la maison alors yolande doit organiser le roulement le matin les deux points qui font les devoirs avec le pc portable pour pouvoir laisser l'ordinateur aux deux plus grands l'après midi parce que il y a les obstacles matériels il y a le niveau scolaire aussi violente s'appuie sur les aînés pour faire l'école sans eux elle n'y arriverait pas fait bien les choses je paie des mousses à elle les invite je peux pas les aider parce qu'ils sont au collège je suis pareil au collège donc c'était du mois difficiles comment les coachs et comment voir si l'on fait les devoirs cisaille d'anglais et oui si combattre les inégalités sociales et scolaires était déjà difficile dans une salle de classe l'exercice s'avère plus périlleux encore avec l'enseignement à distance et pourtant bout ça s'applique dans le travail d'écriture un seul roi du qu'un minuscule fermé appliqué malgré les obstacles yolande met un point d'honneur à ce que les enfants ne décroche pas pendant le confinement je veux que mes enfants une nouvelle quelqu'un résille bon boulot ils font dieu c'est très important pour qu'ils arrivent un peu loin m.moussa parce que il est devenu conduit dose tu veux tu as fait voir plus tard bons d'état d'être violent nous confiera qu'elle enverra ses enfants à l'école lors du déconfinement à partir du 11 mai parce qu'il faut bien qu'il reste au niveau elle ne cache pas non plus un sentiment d'angoissé