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  1. Feb 2024
    1. Résumé de la vidéo [00:00:00][^1^][1] - [01:35:00][^2^][2] :

      Cette vidéo est une conférence sur les sciences du danger et leur application en psychiatrie légale, organisée par la section de psychiatrie légale de l'AFPBN. Trois intervenants exposent leurs réflexions et leurs expériences sur le sujet, en abordant les aspects théoriques, pratiques et éthiques.

      Points forts : + [00:00:00][^3^][3] Introduction par Nidal Moukaddam * Présente le contexte et les objectifs de la conférence * Présente les trois intervenants et leurs parcours * Souligne l'importance de la psychiatrie légale et de la science du danger + [00:02:01][^4^][4] Mathieu Lacambre : La naissance de la science du danger en psychiatrie * Définit les concepts de risque, de danger, de sécurité et de sûreté * Présente les origines et les principes des sciences du danger (cindyniques) * Explique les applications et les limites des sciences du danger en psychiatrie * Illustre son propos avec un exemple de prise en charge d'un agresseur sexuel sous injonction de soins + [00:21:01][^5^][5] Laurent Lallier : L'expertise psychiatrique à la lumière des neurosciences * Présente les enjeux et les modalités de l'expertise psychiatrique pénale * Présente les apports et les limites des neurosciences dans l'évaluation de la responsabilité pénale * Explique les notions de discernement, d'altération du jugement et d'abolition du discernement * Illustre son propos avec des exemples de cas cliniques et de recherches en neuro-imagerie + [00:40:01][^6^][6] Nidal Moukaddam : La science du danger et la prévention du suicide * Présente les enjeux et les chiffres du suicide en France et dans le monde * Présente les facteurs de risque et de protection du suicide * Présente les modèles et les outils de prédiction du suicide * Explique les limites et les biais des modèles prédictifs * Présente les stratégies et les recommandations de prévention du suicide + [01:00:01][^7^][7] Questions-réponses avec le public * Les intervenants répondent aux questions du public sur divers aspects de la science du danger et de la psychiatrie légale * Les questions portent notamment sur la formation des experts, la place des victimes, la responsabilité des soignants, l'éthique des neurosciences, la prévention du suicide chez les jeunes, etc.

    1. https://www.youtube.com/watch?v=xJr06l79oL8

      Résumé de la vidéo [00:00:00][^1^][1] - [01:05:00][^2^][2]:

      Cette vidéo est une émission de la FCPE Haute-Savoie sur le thème des activités physiques, de l'EPS et du sport scolaire. Elle réunit des intervenants qui sont professeurs d'EPS, directeur d'école, président de la FCPE et syndicaliste. Ils abordent les enjeux, les difficultés et les perspectives de ces domaines pour les élèves du premier et du second degré.

      Points forts: + [00:01:00][^3^][3] La différence entre l'activité physique, l'EPS et le sport scolaire * L'activité physique est le fait de bouger et de dépenser de l'énergie * L'EPS est une discipline d'enseignement obligatoire qui vise des objectifs variés de motricité et d'éducation * Le sport scolaire est un prolongement de l'EPS qui se fait sur la base du volontariat dans les associations sportives + [00:11:00][^4^][4] Le dispositif des 30 minutes d'activités physiques quotidiennes * Il s'agit d'une mesure mise en place par le ministre Blanquer en 2021 pour lutter contre la sédentarité et préparer les JO 2024 * Il s'agit de faire bouger les élèves pendant la récréation ou le périscolaire, sans se substituer aux 3 heures d'EPS hebdomadaires * Il pose des questions sur la mise en œuvre, l'évaluation, la sur-sollicitation et l'égalité des élèves + [00:21:00][^5^][5] Les conditions d'enseignement de l'EPS dans le premier et le second degré * Les intervenants dénoncent le manque de formation, de moyens, de temps et de reconnaissance de l'EPS * Ils revendiquent 4 heures d'EPS par semaine pour tous les niveaux, ainsi que la préservation du mercredi après-midi pour le sport scolaire * Ils soulignent l'importance de l'EPS pour le développement global des élèves, tant sur le plan physique que cognitif, social et affectif + [00:39:00][^6^][6] Les questions des auditeurs sur divers sujets liés à l'EPS et au sport scolaire * Les intervenants répondent aux questions sur les programmes, les évaluations, les options, les sections sportives, les partenariats, etc. * Ils donnent des exemples de pratiques innovantes, de projets pédagogiques, de ressources disponibles, etc. * Ils invitent les parents à s'impliquer dans la vie sportive de leurs enfants et à les encourager à pratiquer une activité physique régulière

    1. http://www.youtube.com/watch?v=qx9ruIU_wWM

      Résumé de la vidéo [00:00:00][^1^][1] - [01:07:00][^2^][2]:

      Cette vidéo est la quatrième émission du direct de la FCPE 74, une fédération de parents d'élèves. Le thème abordé est la santé et l'accueil des enfants en milieu scolaire, avec la participation de quatre intervenantes : une psychologue de l'éducation nationale, une accompagnatrice d'enfants en situation de handicap, et deux infirmières scolaires. Elles présentent leurs rôles, leurs missions, leurs difficultés et leurs projets au sein des établissements scolaires. Elles répondent également aux questions des parents sur les sujets liés à la santé, au handicap, à l'orientation, et à la crise sanitaire.

      Points forts : + [00:00:13][^3^][3] Introduction du thème et des intervenantes * Présentation de la FCPE 74 et de son émission * Annonce du thème de la santé et de l'accueil des enfants * Présentation des quatre intervenantes + [00:07:31][^4^][4] Le rôle des infirmières scolaires * Diplômées d'Etat et intégrées à l'éducation nationale * Travail individualisé et collectif auprès des élèves * Dépistage, promotion de la santé, éducation à la santé * Accueil des enfants à besoins spécifiques + [00:25:28][^5^][5] L'accompagnement des enfants en situation de handicap * Présentation du métier d'accompagnante (AESH) * Différence entre AVS et AESH * Collaboration avec les enseignants, les parents, les médecins * Difficultés liées au statut, à la formation, à la rémunération + [00:37:42][^6^][6] Le rôle des psychologues de l'éducation nationale * Changement de référentiel en 2017 * Deux spécialités : éducation, développement et apprentissages (EDA) et éducation, développement et conseil en orientation scolaire et professionnelle (EDO) * Missions de prévention, d'évaluation, d'accompagnement, de conseil * Impacts psychologiques de la crise sanitaire + [00:51:04][^7^][7] Questions d'actualité et conclusion * Point sur le conseil départemental de l'éducation nationale * Présentation du livret d'accueil des parents d'élèves * Annonce de la prochaine émission sur l'orientation * Souhaits de bonnes fêtes de fin d'année

    1. ainsi de l’absence de prise en compte des dépenses de capteurs de CO2 dans lesétablissements scolaires, dont il a été constaté qu’ils avaient pu être imputés dans les dépensesd’éducation par des collectivités territoriales
    2. de favoriser la prise en compte de l'éducation pour la santé et la promotion de la santédans l'ensemble des politiques publiques
    3. de suivre l'élaboration et la mise en œuvre des plans ou programmes d'actions préparéspar les ministres dans le cadre de leurs attributions lorsque les mesures envisagées sontsusceptibles d'avoir un impact significatif sur la santé de la population ou sur lesinégalités de santé. »
    4. éducation pour lasanté
    5. éducation pour la santé
    6. promotion de la nutrition santé hors lutte contre l'obésité
    7. ) le montant de la « prévention sanitaire » et l’hygiène et salubritépublique » (communes) et « prévention et éducation pour la santé (départements)
    1. Cette vidéo est une audition du co-président de la Commission indépendante sur l'inceste et les violences sexuelles faites aux enfants (CIIVISE), Edouard Durand, devant la commission des lois de l'Assemblée nationale le 19 juillet 2023.

      Il présente le bilan du travail de la CIIVISE, notamment son dernier avis sur le coût du déni des violences sexuelles faites aux enfants, estimé à 9,7 milliards d'euros par an.

      Il répond également aux questions des députés sur les enjeux de la prévention, de la prise en charge, de la justice et de la reconnaissance des victimes.

    1. Résumé de la vidéo [00:00:00] - [00:17:32]:

      Cette vidéo présente une conférence de Didier Jourdan, titulaire de la Chaire Unesco en éducation et santé, sur les enjeux et les perspectives de l'éducation à la santé tout au long de la vie. Il propose quatre idées pour renforcer les capacités éducatives des différents milieux de vie, en s'appuyant sur deux exemples : les cités éducatives et les services d'aide à domicile pour les seniors.

      Temps forts: + [00:00:12] L'invitation du Crès et l'hommage à Franck Chauvin * Présente le contexte et l'objectif de la conférence * Rend hommage au travail et à l'amitié de Franck Chauvin * Souligne la nécessité d'apporter des solutions concrètes + [00:02:18] Où apprend-on la santé ? * Affirme que la santé s'apprend d'abord dans la famille, puis dans d'autres milieux * Invite à sortir de l'obnubilation par l'école comme lieu unique d'éducation * Donne l'exemple des cités éducatives et des services d'aide à domicile + [00:06:03] Quels sont les enjeux éducatifs pour demain ? * Reconnaît les progrès réalisés en matière de prévention et de promotion de la santé * Identifie les trois leviers d'action : l'environnement, les capacités et l'accès aux services * Insiste sur la dimension éducative de toute intervention de santé publique + [00:08:12] Où se situe l'action éducative ? * Suggère que le territoire de vie est l'échelon pertinent pour coordonner les interventions * Montre la diversité des rôles et des responsabilités des collectivités territoriales * Plaide pour le développement des capacités éducatives des milieux de vie + [00:10:46] Comment construire des parcours éducatifs de santé ? * Préconise de partir de l'existant et de valoriser les pratiques en cours * Explique comment élaborer un parcours éducatif de santé dans une cité éducative * Présente un dispositif de formation pour les intervenants à domicile des seniors + [00:16:52] Conclusion et invitation à contribuer au guide de l'Unesco * Résume les principales idées de la conférence * Souligne l'importance de la co-construction et de la participation des acteurs * Invite à rejoindre le projet de l'Unesco sur l'apprentissage en santé tout au long de la vie

    1. Résumé de la vidéo [00:00:21][^1^][1] - [00:30:18][^2^][2]:

      Cette vidéo présente les moyens mis à disposition par l'ARS PACA pour accompagner les collectivités territoriales dans la mise en place de projets locaux de santé. Elle explique les étapes, les conditions de réussite et les outils disponibles pour élaborer, piloter et évaluer des contrats locaux de santé (CLS) ou des conseils locaux en santé mentale (CLSM).

      Points forts: + [00:00:21][^3^][3] Le contexte et les enjeux des projets locaux de santé * Réduire les inégalités sociales et territoriales de santé * Améliorer la coordination des politiques publiques de santé * Mobiliser les élus et les collectivités comme acteurs clés + [00:06:40][^4^][4] La conduite de projet du projet local de santé * Réaliser un diagnostic partagé du territoire * Définir des objectifs opérationnels et un plan d'action * Installer des instances de gouvernance et de suivi * Évaluer le projet et ses résultats + [00:13:01][^5^][5] L'accompagnement de l'ARS PACA * Apporter un appui financier via le fonds d'intervention régional * Contribuer au déploiement des CLS et des CLSM * Soutenir la coordination territoriale de santé * Faciliter la mise en cohérence des dispositifs + [00:23:59][^6^][6] Les questions et les échanges avec les participants * Partager des retours d'expérience et des bonnes pratiques * Répondre aux interrogations et aux besoins des collectivités * Valoriser les initiatives et les dynamiques locales * Donner des contacts et des ressources utiles

    1. Résumé vidéo [00:00:01] - [01:04:59]:

      Cette vidéo est un webinaire sur la vaccination contre les infections à papillomavirus humain (HPV), animé par le professeur Daniel Floret, vice-président de la commission technique des vaccinations à la Haute Autorité de Santé. Il présente les données scientifiques sur l'efficacité, la sécurité et l'impact de la vaccination HPV, ainsi que les recommandations actuelles en France.

      Temps forts: + [00:00:15] Présentation du webinaire et des intervenants * Organisé par le comité régional d'éducation pour la santé et l'Agence Régionale de Santé PACA * Premier des quatre webinaires annuels sur la vaccination * Généralisation de la vaccination HPV dans les collèges pour les élèves de 5e dès la rentrée 2023 + [00:03:00] Les infections et les maladies liées au papillomavirus * Plus de 200 génotypes de HPV, classés en faible ou fort potentiel oncogène * Responsables de verrues génitales, de lésions précancéreuses et de cancers du col de l'utérus, de la vulve, du vagin, de l'anus et de la gorge * Histoire naturelle de l'infection HPV : infection, réponse immunitaire, élimination ou persistance, progression vers le cancer * Facteurs de risque de l'infection HPV : ancienneté et nombre de partenaires sexuels, infection par le VIH, transplantation d'organes, hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes (HSH) + [00:10:12] Le cancer du col de l'utérus en France et dans le monde * Environ 3000 cas et 1100 décès par an en France, avec une incidence maximale entre 45 et 49 ans * Quatrième cancer et quatrième cause de mortalité par cancer chez la femme dans le monde, avec 600 000 cas et 340 000 décès par an * 88% des cancers du col concernent des pays à revenus faible ou intermédiaire * Dépistage organisé par cytologie ou recherche du virus HPV chez les femmes de 25 à 65 ans, avec un objectif de 80% de couverture + [00:14:00] Les vaccins contre le papillomavirus * Basés sur des pseudo-particules virales, qui entraînent une forte réponse immunitaire sérique avec des anticorps neutralisants * Trois types de vaccins : bivalent (contre HPV 16 et 18), quadrivalent (contre HPV 6, 11, 16 et 18) et nonavalent (contre HPV 6, 11, 16, 18, 31, 33, 45, 52 et 58) * Efficacité évaluée sur la prévention des lésions précancéreuses liées aux HPV ciblés par le vaccin, avec des taux supérieurs à 90% * Sécurité confirmée par de nombreuses études de pharmacovigilance, sans augmentation du risque de maladies auto-immunes, de fausses couches ou de troubles neurologiques + [00:29:57] L'impact de la vaccination HPV dans le monde * Diminution de la prévalence des HPV ciblés par le vaccin, des lésions précancéreuses et des verrues génitales dans les pays ayant une forte couverture vaccinale * Diminution de l'incidence du cancer du col de l'utérus en Australie, où la couverture vaccinale est supérieure à 80% * Protection croisée contre d'autres HPV oncogènes non ciblés par le vaccin * Immunité de groupe observée chez les personnes non vaccinées, grâce à la réduction de la circulation du virus + [00:37:06] La durée de protection et les schémas vaccinaux * Persistance des anticorps neutralisants pendant plus de 10 ans après la vaccination, sans nécessité de rappel * Schémas vaccinaux à deux ou trois doses selon l'âge, avec une intervalle minimal de 5 mois entre les doses * Possibilité de schémas à une dose, avec des données préliminaires encourageantes mais pas encore suffisantes + [00:43:07] La vaccination des garçons et les recommandations en France * Justifiée par la prévention des cancers ORL, anaux et péniens, ainsi que des verrues génitales chez les hommes * Bénéfique également pour la protection des femmes, en réduisant la circulation du virus * Recommandée pour tous les garçons de 11 à 14 ans, avec un rattrapage possible jusqu'à 19 ans révolus * Recommandée également pour les HSH jusqu'à 26 ans et pour les futurs transplantés d'organes dès 9 ans * Couverture vaccinale insuffisante en France, avec environ 40% pour une dose et 33% pour un schéma complet à 15 ans chez les filles

    1. Cette vidéo explique les troubles des conduites alimentaires (TCA), leurs causes, leurs conséquences et leurs traitements. Elle aborde les trois principaux TCA : l’anorexie mentale, la boulimie et l’hyperphagie boulimique, ainsi que d’autres troubles moins connus. Elle donne des conseils pour repérer, évaluer et accompagner les personnes souffrant de TCA, en insistant sur le rôle des parents, des professionnels de santé et des réseaux spécialisés.

    1. Voici un résumé de la vidéo que vous avez ouverte dans votre navigateur Microsoft Edge :

      • Webinaire 2023 : “La santé mentale des enfants et des jeunes” : Il s'agit d'un colloque organisé par la FCPE, une fédération de parents d'élèves, le 21 mars 2023, sur le thème du bien-être des enfants et des jeunes dans le contexte post-covid¹[1].
      • Intervenants : Claire Bey, chargée de la santé et de l'action sociale au ministère de l'Éducation nationale et de la Jeunesse, et Eric Delemar, Défenseur des enfants auprès de la Défenseur des droits²[2].
      • Objectifs : Faire un bilan de l'état psychologique des jeunes, proposer des pistes d'action et des préconisations pour la prévention, le dépistage et la remédiation des troubles de la santé mentale³[3].
      • Références : La vidéo contient de nombreux liens vers d'autres ressources de la FCPE, comme des webinaires, des articles, des campagnes, etc.
    1. les infirmières qui sont une demi-journée par établissement qui ont à leur charge 00:31:40 des milliers d'élèves ah il y a plus d' il y a plus une infirmière dans chaque établissement ah non non non mais ça j'en aais parlé les les gens sont étonnés mais c'est quand parce que de notre dans not deux montants ah oui il 00:31:51 avait une infirmière en permanence et ça rendait beaucoup de service CIT souvent une soupable de sécurité je me souviens chanceux si on a une infirmière sur un jour de la semaine c'est-à-dire que si un élève tombe se blesse ou quoi faut 00:32:03 que ça soit le mardi sinon sinon tant pis pour lui et mais mais les infirmières servent pas qu'à ça c'est aussi voilà une soupape quand un élève va pas bien
    1. TOULOUSE Table ronde enregistrée au REC22 avec Jacques Van Rillaer (Professeur émérite de psychologie à l'université de Louvain) et Franck Ramus (Directeur de Recherche CNRS, laboratoire de Sciences Cognitives et Psycholinguistique).

      00:01:31 : (J.V.R.) définitions historiques de psychanalyse et termes voisins ; explications ultimes des troubles ; avant et à partir de 1914 , dont comme Freud l'a conçue, 00:09:10 : il n'a pratiquement rien enlevé ; change la théorie de la séduction ; 00:15:50 : du nouveau et du bon dans la psychanalyse = le bon n'est pas nouveau et le nouveau n'est pas bon (1909 - un psy de Fribourg) 00:29:45 : (F.R.) interface psychanalyse et neurosciences = "neuropsychanalyse" ; psychanalyse a légitimité scientifique contestée ; neuro-foutaises ; 00:33:25 : concepts qui se ressemblent ; mots voisins ; bon mais pas nouveau ; jusqu'à Platon 00:36:55 : pas de preuves aux hypothèses psychanalyse de troubles mentaux 00:38:15 : ce que les psychanalystes essayent de s'approprier ; 00:38:55 : ce dont ne parle jamais la neuropsy. 00:40:00 : épistémologie (3 points) 00:41:10 : Biblio avec méta-analyses : conclusions pas en correspondance avec citations 00:47:15 : quand aboutit au désespoir et suicide ; 00:48:08 : nombre de croyants en psychanalyse = argument non convainquant 00:50:22 : prédominance en France dans milieu psychiatrique... / TCC : effet Lacan 00:54:00 : les psychanalystes d'aujourd'hui : mélange d'absurdités et de bon sens ; nombreuses écoles pour gérer les désaccords (comme schismes) 01:00:26 : encore enseigné à l'université, sans source ou juste un livre ; programme national en médecine mais pas en psycho, progrès lents.

      Animation : Priscille Lacombe

  2. Jan 2024
    1. Le mercredi 24 janvier 2024, France terre d'asile et l'Institut Convergences Migrations ont organisé un colloque sur la santé mentale des demandeur·se·s d'asile au Ministère de la Santé.

      Retrouvez dans ce dernier replay : 6) La table ronde sur la santé mentale des enfants demandeurs d’asile : comment mieux détecter et accompagner ? - Thierry Baubet, professeur des universités praticien hospitalier en psychiatrie de l'enfant et de l'adolescent, Université Sorbonne Paris Nord, chef de service AP-HP, Hôpital Avicenne, codirecteur scientifique du Centre National de Ressources et de Résilience (Cn2r) - Andrea Barros Leal, psychologue clinicienne au Comede - Mario Speranza, pédopsychiatre, professeur de psychiatrie de l’enfant et de l’adolescent (Université de Versailles), directeur de recherche, INSERM Paris Saclay - Anne Hegoburu, sous-directrice de la régulation de l’offre de soins, Direction générale de l’offre de soins, Ministère du travail, de la santé et des solidarités Modération : Lamia Missaoui, sociologue, Laboratoire Printemps UVSQ, Co-directrice du département Health de l'Institut Convergences Migrations

      La conclusion de cette journée d'échanges - Delphine Rouilleault, directrice générale de France terre d’asile

    1. Mercredi 24 janvier 2024, France terre d'asile et l'Institut Convergences Migrations ont organisé un colloque sur la santé mentale des demandeur·se·s d'asile au Ministère de la Santé.

      Découvrez dans ce replay : 3) La présentation du projet CAPSE, Groupe SOS de l’Essonne - Aubane Dauvilaire, directrice d’établissements Cada, Huda, et CAPSE

      4) La table ronde sur la santé mentale des femmes demandeuses d’asile : de la prise en charge précoce à l’autonomisation - Maëlle Léna, cheffe du projet « Autonomisation et protection des femmes migrantes » (AMAL), France terre d’asile - Sibel Agrali, directrice du centre de soins de Primo Levi - Marie-Caroline Saglio-Yatzimirsky, directrice de l'Institut Convergences Migrations-CNRS, anthropologue, Inalco Paris-CESSMA, psychologue clinicienne (Hôpital Avicenne) Modération : Nicolas Chambon, sociologue, responsable du pôle Recherche de l’Orspere Samdarra, MdC Lyon 2, Centre Max Weber, membre de l’Institut Convergences Migrations

    1. MSH-ALPES (MAISON DES SCIENCES DE L'HOMME) Conférence de Marine Paucsik dans le cadre du cycle "Fil Good. Lier la recherche et le bien-être en société" (saison 9).

      Le sentiment de sécurité est une dimension clé du bien-être psychologique et joue un rôle majeur dans le développement socio-émotionnel des individus et l'apparition des troubles psychopathologiques (e.g., Mikulincer & Shaver 2012; Ward et al., 2006).

      Selon la théorie de l'attachement (Bowlby, 1969, 1982), le sentiment de sécurité psychologique serait déterminé par la construction de représentations mentales inter et intra individuelles formées dans les relations d'attachement de type sécure pendant l'enfance (Bowlby, 1979).

      Toutefois, les recherches montrent que l'attachement est un construit malléable et que le sentiment de sécurité peut être à la fois temporellement acquis et installé sur le long terme via des pratiques d'amorces d'attachement sécure (Gillath et al., 2008).

      Cette présentation exposera la façon dont la Thérapie Fondée sur la Compassion permet d'initier et de recréer ce lien sécure tout en apportant des points de vigilances sur l'implémentation de ces pratiques (e.g., Baldwin et al., 2019).

    1. Le mercredi 24 janvier, France terre d'asile et l'Institut Convergences Migrations ont tenu un colloque sur la santé mentale des demandeur·se·s d'asile au Ministère de la Santé.

      Découvrez dans ce replay : 1) L'introduction et ouverture - Najat Vallaud-Belkacem (présidente de France terre d'asile) - Marie-Caroline Saglio-Yatzimirsky (directrice de l'institut Convergences Migrations-CNRS, anthropologue, Inalco Paris-CESSMA, psychologue clinicienne)

      2) La présentation des conclusions de l'étude & discussion générale : Santé mentale des demandeur·se·s d'asile - Quels constats, quelles priorités d'action ? - Andrea Tortelli, psychiatre, Pôle CHU Psychiatrie Précarité (Hôpital Sainte-Anne), cheffe de service du Capsys et chercheuse à l’Inserm - Gesine Sturm, psychologue clinicienne, Laboratoire Psychologie de la socialisation - Développement et travail, Université de Toulouse - Frank Bellivier, délégué ministériel à la santé mentale et à la psychiatrie au ministère du Travail, de la Santé et des Solidarités - Clémence Olsina, directrice de l’asile, Direction générale des étrangers en France, ministère de l’Intérieur - Frédéric Roy, directeur du centre d’accueil pour demandeurs d’asile de Bègles, France terre d’asile - Caroline Izambert, cheffe de service promotion de la santé et réduction des risques · Paris Santé - Direction de la santé publique de la Ville de Paris Modération : : Nicolas Chambon, sociologue, responsable du pôle Recherche de l’Orspere Samdarra, MdC Lyon 2, Centre Max Weber, membre de l’Institut Convergences Migrations

    1. 25/01/2024, l’Observatoire français des drogues et des tendances addictives (OFDT) vient de publier les résultats d'EnCLASS concernant les usages de tabac, alcool, cannabis et autres dogues chez les collégiens et lycéens en 2022.

  3. Dec 2023
    1. différents labels pour impulser et 00:25:19 valoriser l'engagement des établissements on pense au label au 3D ou la belle égalité ou la belle etu santé euh
  4. Nov 2023
    1. RECOMMANDATION 24Densifier l’offre de soins hospitalière en pédopsychiatrie, en poursuivant la trajectoire à la hausse du nombre de lits et places en pédopsychiatrie, en réduisant les inégalités territoriales dans le maillage de l’offre de soins et en développant les équipes mobiles.Destinataires : Ministre de la Santé et de la Prévention.
  5. Oct 2023
    1. I-A10 - Décret n° 2022-1155 du 12 août 2022 relatif au retour des élèves atteints depathologie chronique ou de cancer en milieu scolaire et à leur accompagnementpar un professionnel de santé dans le cadre des examens de l'enseignementscolaire (JORF n° 188 du 14 août 2022)
    2. I-A4 - Note de service du 27 juillet 2022 : Généralisation des 30 minutes d'activitéphysique quotidienne (APQ) à l'école primaire (BOEN n° 30 du 28 juillet 2022)
    1. 4. Toute une gamme de dispositions, relatives notamment aux soins, à l'orientation et à la supervision, aux conseils, à la probation, au placement familial, aux programmes d'éducation générale et professionnelle et aux solutions autres qu'institutionnelles seront prévues en vue d'assurer aux enfants un traitement conforme à leur bien-être et proportionné à leur situation et à l'infraction.

      Article 40

    1. Dans le domaine dela santé, l’échelon régional est par exemple le ni-veau adapté aux prises de décisions relatives àcertaines spécialités médicales. L’arbitrage desquestions liées au parcours de soins des usagersest, est pour sa part, plus cohérent à l’échelle desbassins de vie et des communautés profession-nelles territoriales de santé.

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  6. Sep 2023
    1. Les taux élevés de diabète chez les jeunes patients se confirment également
    1. Exacerbée par lacrise sanitaire, cette l’altération de l’état de santé mentale des Franciliens s’observe en réalité demanière continue depuis 2010, et concerne tout particulièrement les adolescents et les jeunes.
    2. incluant école
    3. confortation de chacun des grands systèmes de santé publique, en particulier de la PMIet de la santé scolaire, et la convergence de leur pratique avec l’Agence et l’Assurancemaladie
  7. Jun 2023
    1. DESCRIPTION DE L’EMPLOYEUR :L'académie de Versailles regroupe quatre départements : les Yvelines (78), l’Essonne (91), les Hauts-de-Seine (92)et le Val-d’Oise (95).Première académie de France par l’importance de ses effectifs avec près de 1 100 000 élèves dans les premier etsecond degrés, soit 9 % des effectifs scolarisés de la France, l’académie de Versailles accueille et gère près de90 000 agents (enseignants, personnels d’encadrement, d’éducation, administratifs, techniciens, ouvriers, deservice et de santé).Activités du service :• Promotion de la santé en faveur des élèves et impulsion académique de la politique générale de santé.• Composition et effectifs : pôle santé au sein du SMIS (pôle santé social) : 4 conseillers techniques, 5 adjointsou chargés de mission, un secrétariat commun• Liaisons hiérarchiques : sous l’autorité hiérarchique de la Rectrice• Liaisons fonctionnelles : Secrétaire GénéralDESCRIPTIF DU POSTE :• Conseil technique dans le champ de la santé des élèves (prévention, politique de santé, crise sanitaire) ;• Contribution à la définition des priorités académiques en matière de santé des élèves ;• Conduite de projets dans le domaine de la santé en lien avec les partenaires institutionnels régionaux (ARS,Région, autres académies de la région Ile de France) ;• Contribution à l’élaboration du programme de formation des médecins de l’éducation nationale et des autrespersonnels dans le champ de la santé ;• Conseil des services académiques sur le déploiement des moyens de la médecine scolaire ;• Coordination et animation de l’action des médecins conseillers techniques départementaux ;• Conseil technique des chefs d’établissement et des IEN dans le domaine de la santé des élèves ;• Participation au pilotage académique de la politique sociale et de santé ;• Participation au pilotage académique de l’école inclusive ;• Travail avec le SIEC pour l’organisation des aménagements des épreuves d’examens et concours des élèveshandicapés ;• Rédaction du recueil académique annuel des données de la médecine scolaire
    1. Vos missions en quelques mots Conseil technique dans le champ de la santé des élèves (prévention, politique de santé, crise sanitaire) ; Contribution à la définition des priorités académiques en matière de santé des élèves ; Conduite de projets dans le domaine de la santé en lien avec les partenaires institutionnels régionaux (ARS, Région, autres académies de la région Ile de France) ; Contribution à l’élaboration du programme de formation des médecins de l’éducation nationale et des autres personnels dans le champ de la santé ; Conseil des services académiques sur le déploiement des moyens de la médecine scolaire ; Coordination et animation de l’action des médecins conseillers techniques départementaux ; Conseil technique des chefs d’établissement et des IEN dans le domaine de la santé des élèves ; Participation au pilotage académique de la politique sociale et de santé ; Participation au pilotage académique de l’école inclusive ; Travail avec le SIEC pour l’organisation des aménagements des épreuves d’examens et concours des élèves handicapés ; Rédaction du recueil académique annuel des données de la médecine scolaire
  8. May 2023
    1. Conforter les maisons des adolescents dans chaque département et en sécuriser lefinancement.
    2. Renforcer la formation des étudiants en médecine sur la notion d’intérêt supérieur de l’enfant,les violences faites aux enfants, le recueil de la parole des enfants et l’intersexualité.
    3. Mieux former les professionnels de santé et socio-éducatifs aux enjeux liés au secret médicaldes enfants ainsi qu’aux modalités de mise en œuvre du secret partagé entre professionnelsdans l’intérêt de l’enfant.
    4. Renforcer le personnel médical en établissement scolaire (infirmières, médecins,psychologues)
    5. Réaliser une étude pluridisciplinaire et longitudinale sur les effets à long terme de la crisesanitaire sur la santé mentale des enfants et des adolescents.
  9. Apr 2023
    1. Article 11 bis (nouveau) Après l’article L. 312‑2 du code de l’éducation, il est inséré un article L. 312‑2‑1 ainsi rédigé :  « Art. L. 312‑2‑1. – Les médecins de santé scolaire sont destinataires des certificats médicaux lorsqu’une inaptitude d’une durée supérieure à un mois est constatée. »
    1. départ de la coordination compte tenu de ses effets à longs termes, en lien étroit avecles parents et le médecin traitant et en améliorant la transmission des informations.Une visite médicale à 3 ans nous semble dans la droite ligne de la coordination avec lemédecin traitantOrganiser localement la coordination santé et l'inscrire dans le temps en associant lamédecine de l'Éducation nationale à la négociation des contrats locaux de santé et enarticulant son action avec celle du médecin traitant et de la médecine universitaire.• Mettre en place une plate-forme facilement accessible pour orienter rapidement lesélèves et leur famille quand ils sont confrontés à une difficulté de santé physique oumentale.
    2. Les DDEN demandent à l'Éducation nationale de garantir une réponse adaptée etrapide aux besoins des élèves :Agir à l'école pour plus d'égalité en santé (tous les territoires doivent être concernés,car tous en ont besoin) en procédant au recrutement par l'Éducation nationale desuffisamment de médecins scolaires et d'infirmières pour satisfaire les besoins existants,notamment en renforçant l'attractivité de ces professions et en facilitant les débuts decarrière des candidats. Seule une rémunération revalorisée permettrait de recruter desmédecins scolaires, en effet, souvent les postes existent mais ne sont pas pourvus.Rendre la visite médicale de la sixième année effective pour tous et en faire le point de
    3. Les DDEN demandent le renforcement des actions de prévention en milieu scolaire :• Renforcer la formation sur la prévention santé.• Garantir la qualité de l'environnement de l'école.• Mieux informer et impliquer les parents et les élèves : éditer des guides sur leurdroits et les lieux ressources et surtout en dynamisant les Comités d'éducation à lasanté et à la citoyenneté.• Réunir, quand la situation de santé d'une élève l'exige, l'équipe éducative dansson ensemble afin d'adopter les mesures nécessaires en termes d'organisation dela scolarité et informer.• Réunir, quand une épidémie de maladie contagieuse est déclarée (ex tuberculoseen 1986), toutes les parties concernées, notamment l'ARS, et prendre les mesuresqui s'imposent : détection aussi large que nécessaire par tests sanguins, vaccinationobligatoire et suivi
  10. Mar 2023
    1. recommandation 10La Défenseure des droits recommande qu’uneréflexion interministérielle associant la DIHALpuisse être mise en place afin d’examiner lesdispositions qui permettraient d’assurer unaccès effectif à l’eau potable des publics lesplus vulnérables ainsi qu’une transpositionambitieuse de la directive en la matière. Ellerecommande que le droit applicable en lamatière, les responsabilités et compétencesdes institutions publiques soient ainsiclarifiés. Elle recommande également quesoient adoptées des mesures de prévention etde dépistage des sites contaminés au plomboccupés par des populations vulnérables. À cetitre, il est nécessaire d’envisager, en lien avecles associations de soutien aux populationsRoms, de procéder à un état des lieux dessites occupés par les familles présentantdes risques de contamination notamment auplomb.
    2. recommandation 9La Défenseure des droits recommandeque la CNAM et la DSS veillent à diffuser àdestination des caisses d’assurance maladiedes instructions publiques précises surl’articulation des dispositifs de prise en chargeinternes (AME, assurance maladie, DSUV)et des mécanismes issus des règlementsde coordination, de façon à éviter les refusd’affiliation liés à des renvois abusifs auxdispositifs de coordination.Elle recommande également qu’il soitprocédé, dans le cadre de la procédure CREIC,à un examen global des droits ouvrables(assurance maladie ou subsidiairement, AME),avec ouverture des droits rétroactive à la datede la première demande déposée.Pour ce faire, et plus généralement poursimplifier l’accès aux droits pour les intéressésmais aussi les établissements hospitaliers oules autres personnes qui les accompagnent,elle recommande un formulaire unique dedemande de protection maladie (regroupantles actuels formulaires d’ouverture des droitsà l’assurance maladie, à l’AME, voire à laComplémentaire santé solidaire), permettantun examen conduisant à attribuer lesjustes droits aux personnes en demande deprotection maladie.Dans le cadre de la lutte contre ladiscrimination des personnes Roms, laDéfenseure des droits invite à développerdes outils dédiés visant à évaluer la partdes ressortissants de l’Union européennede nationalité roumaine ou bulgare et/ouen situation de particulière vulnérabilitééconomique qui demeurent sans protectionmaladie ou qui rencontrent des difficultéspour l’ouverture de leurs droits.
    3. ecommandation 8La Défenseure des droits renouvellesa recommandation, déjà formulée parl’institution dans son rapport de 2019« Personnes malades étrangères : des droitsfragilisés, des protections à renforcer »57,tendant à ce que la dualité des dispositifs(assurance maladie et AME) soit reconsidérée.Dans l’attente d’une telle réforme, laDéfenseure des droits rappelle que l’institutiona publié, en 2018, des outils d’information58destinés à prévenir les refus de soinsdiscriminatoires, notamment à l’encontre desbénéficiaires de l’AME. Ces outils pourraientêtre utilement diffusés dans le cadre decampagnes de sensibilisation organiséesl’attention des professionnels. En effet, dansplusieurs de ses rapports dont le rapport« Droits de l’enfant en 2017 : Au miroir dela Convention internationale des droits del’enfant »59 de novembre 2017, l’institutionencourage vivement le développementd’actions de médiation sanitaire auprès despublics en situation de précarité, en donnantla priorité aux enfants, en rappelant lesconditions de grande précarité et d’insécurité
  11. Feb 2023
    1. La participation aux différentes commissions desagences régionales de santé, ainsi qu’à la mise en œuvre desprogrammes régionaux de santé
    2. promouvoir des actions en faveur du sport au service de lasanté et du sport pour tout, développer des activité en faveurde la jeunesse et de l’éducation populaire
    3. développer l’accèsaux soins, favoriser la prévention et assurer le suivi des publicsfragilisés
    4. définition des objectifs particuliers de santé, ainsi que ladétermination et la mise en œuvre des actions correspondantes

      Il est donc légitime de solliciter la région sur ces questions au sein du CRIDF

    5. participation aux différentes commissions exécutives des agencesrégionales de santé
  12. Jan 2023
    1. Il existe une autre gratuité (que l’on ne saurait pourtant qualifier de « vraie », car elle ne l’est pas réellement), que Jean-Louis Sagot-Duvauroux appelle la gratuité « par cotisation », financée par les impôts, les taxes. Celle des services publics, par exemple, que sont l’éducation, la santé (pour partie), la sécurité, la défense… Le financement en est à la fois connu et méconnu. Cette gratuité-là n’est pas suspecte, mais elle se trouve souvent dévalorisée ou jugée dangereuse. Parce que le bénéficiaire ne perçoit pas la valeur de ce qui lui est offert. De nombreux économistes de la santé, par exemple, regrettent que le coût des soins, des examens de laboratoire, des médicaments ne soit pas toujours perceptible par le patient. Une réflexion de même nature sur le secours en montagne a conduit à faire payer aux alpinistes imprudents certains des frais engagés pour les secourir. En espérant une prise de conscience plus grande.
    1. La Défenseure des droits recommandeaux directions territoriales de la protectionjudiciaire de la jeunesse et aux agencesrégionales de santé de construire despartenariats entre les structures locales depédopsychiatrie et les centres éducatifsfermés (CEF), afin de renforcer l’accès auxsoins de santé des enfants en CEF

      Recommandadion 27

    2. La Défenseure des droits recommande auministre des Solidarités et de la santé deproscrire le placement à l’hôtel de tout mineurquel que soit son statut.

      Recommandadion 26

    3. La Défenseure des droits recommandeau ministre des Solidarités et de la santéd’assurer le développement de la présenced’interprètes dans les centres et structures desoins ;La Défenseure des droits recommandede nouveau aux présidents des conseilsdépartementaux de solliciter l’agence régionalede santé dont il dépend et l’ensemble despartenaires de l’offre de soins pour mettreen œuvre l’organisation d’un bilan de santéconforme aux préconisations du Haut conseilde la santé publique pour tout jeune exilé enphase d’évaluation ;La Défenseure des droits recommandede nouveau aux présidents des conseilsdépartements de multiplier les partenariatsextérieurs afin de renforcer l’offre de soin enmatière de santé mentale pour les mineursnon accompagnés et de renforcer la formationdes évaluateurs à l’appréhension des troublespsychiques et au repérage des symptômes destress posttraumatique.

      Recommandadion 25

    4. La Défenseure des droits recommande auministre des Solidarités et de la santé et auxprésidents des conseils départementaux derenforcer la pluridisciplinarité et le partenariatdans la prise en charge des enfants protégésà l’aide sociale à l’enfance (ASE), notammentpar la création de référentiels communs et enrendant effective l’obligation d’établir un Projetpour l’enfant.La Défenseure des droits recommande auxprésidents des conseils départementaux,des directeurs territoriaux de la Protectionjudiciaire de la jeunesse (PJJ) et auxdirecteurs des ARS la signature de protocolesopérationnels portant sur la santé des enfantsconfiés en protection de l’enfance.La Défenseure des droits recommande derenforcer la présence de professionnels desanté dans l’ensemble des établissementsd’accueil relevant de la protection de l’enfance,en recrutant un infirmier.

      Recommandadion 24

    5. La Défenseure des droits recommandeau ministre de l’Éducation nationale, dela Jeunesse et des sports et au ministredes Solidarités et de la santé de renforcerles relations partenariales entre santé etéducation afin de garantir le respect des droitsfondamentaux des enfants hospitalisés enraison de troubles de la santé mentale et ded’assurer une continuité pédagogique pourchaque enfant hospitalisé

      Recommandadion 22

    6. La Défenseure des droits réitère sarecommandation au ministre des Solidaritéset de la santé de consacrer par la loi un droità la présence parentale dans le cadre duCode de la santé publique en vue d’organiserun véritable accueil des parents et/ou desreprésentants légaux au sein des hôpitaux.Toutefois, ce principe doit tenir comptedes besoins spécifiques des adolescents.C’est pourquoi, il conviendrait de recueillir leconsentement de l’enfant selon son degréde discernement afin de s’assurer de sonadhésion à la présence parentale

      Recommandadion 21

    7. La Défenseure des droits recommande auministre de la Justice, garde des Sceaux, etau ministre des Solidarités et de la santé deproposer l’inclusion dans la loi de l’interdictiond’accueil d’un mineur en unité psychiatriquepour adulte.

      Recommandadion 20

    8. La Défenseure des droits recommandeau ministre des Solidarités et de la santéde poursuivre la densification de l’offre desoins hospitalière en pédopsychiatrie, enpoursuivant la trajectoire à la hausse dunombre de lits et places en pédopsychiatrie,en réduisant les inégalités territoriales dansle maillage de l’offre de soins, en développantles équipes mobiles. Une attention particulièredevrait être portée à la situation dans lesOutre-Mer

      Recommandadion 19

    9. La Défenseure des droits recommandeau ministre des Solidarités et de la santéde soutenir le développement d’unitésthérapeutiques transversales, rassemblantdispositifs d’aller-vers, offre de soinsambulatoire et en hospitalisation, afin d’éviterles ruptures dans les parcours de soins et delutter contre les inégalités dans l’accès auxsoins

      Recommandadion 18

    10. La Défenseure des droits recommande auministre des Solidarités et de la santé dedévelopper la prise en charge des urgencespédopsychiatriques, en assurant la présencesystématique d’un pédopsychiatre dansles services d’urgence pédiatriques et endéveloppant des dispositifs d’urgencespédopsychiatriques permettant d’apporterrapidement une réponse adaptée etproportionnée à la situation (depuisl’intervention au domicile, à la consultation enstructure, voire à l’hospitalisation dans les casles plus critiques).

      Recommandadion 17

    11. La Défenseure des droits recommandeau ministre des Solidarités et de la santéde réaliser une étude pluridisciplinaire etlongitudinale sur les effets à long terme dela crise sanitaire, sur la santé mentale desenfants et des adolescents

      Recommandadion 16

    12. La Défenseure des droits recommande nonseulement d’augmenter le nombre de centresmédico-psycho-pédagogiques (CMPP) etde centres médico-psychologiques (CMP),mais également de développer et de soutenirles projets de création d’équipes mobiles etde reconnaître le modèle de l’équipe mobilecomme un « équipement » de l’hôpita

      Recommandadion 15

    13. La Défenseure des droits recommandeau ministre de l’Éducation nationale, de laJeunesse et des sports et au ministre desSolidarités et de la santé et à la secrétaired’Etat chargée des Personnes handicapées deconforter les moyens de l’école inclusive, afinque tous les enfants en situation de handicappuissent être orientés dans les établissementsadaptés à leurs besoins et aient accèsaux aides notamment humaines, dans lesétablissements scolaires dont ils dépendent

      Recommandadion 14

    14. La Défenseure des droits recommande auxdirecteurs académiques, en concertation avecles collèges et lycées, de diffuser à chaquerentrée scolaire, via un support adapté (livretd’accueil, etc.), les informations relatives àla présence au sein de l’établissement, del’assistante sociale et de l’infirmière scolaire.Une information systématique à destinationdes parents sur l’accès à la médecine scolairedoit aussi être organisée.

      Recommandadion 12

    15. La Défenseure des droits recommandeau ministre de l’Éducation nationale, dela Jeunesse et des sports et au ministredes Solidarités et de la santé de faire durenforcement de la médecine scolaire et duservice social aux élèves une véritable priorité,afin que tout enfant à partir de l’âge de l’écoleprimaire puisse avoir accès à un médecinou une infirmière scolaire et une assistantesociale dans l’enceinte de son établissement.

      Recommandadion 11

    16. La Défenseure des droits recommandeau Gouvernement d’évaluer la faisabilitéet l’opportunité de créer des maisons desenfants, en lien avec les CMP et CMPP, sur lemodèle éprouvé des maisons des adolescents

      Recommandadion 08

    17. La Défenseure des droits recommande auministre des Solidarités et de la santé, audirecteur général de la Caisse nationaled’Assurance Maladie et aux partenaireslocaux, notamment les autorités exécutivesdes collectivités territoriales, de conforterles maisons des adolescents dans chaquedépartement et d’en sécuriser le financement

      Recommandadion 07

    18. La Défenseure des droits recommandeau ministre des Solidarités et de la santéde favoriser et de soutenir les initiativesconsistant à « aller vers » les familles les plusprécaires, afin de leur apporter un soutien etde faciliter la prévention, le repérage précoceet l’évaluation des besoins des enfants, depermettre leur accès aux dispositifs de soins

      Recommandadion 06

    19. La Défenseure des droits recommande auministre des Solidarités et de la santé, auxprésidents des conseils départementaux, auxprésidents d’intercommunalités, aux maireset aux directeurs des caisses d’allocationsfamiliales, d’évaluer, d’intensifier, et defavoriser la coordination et la visibilité desdispositifs d’accompagnement à la parentalité,sur l’ensemble du territoire.

      Recommandadion 04

    20. La Défenseure recommande égalementau ministre des Solidarités et de la santéainsi qu’aux présidents des conseilsdépartementaux et aux Caisses primairesd’assurance maladie (CPAM) d’augmenterles moyens accordés au réseau de protectionmaternelle infantile ainsi que le nombrede centres sur le territoire de chaquedépartement.

      Recommandadion 03

    21. La Défenseure des droits recommandeau ministre des Solidarités et de la santé,aux présidents d’intercommunalités et auxmaires de permettre à chaque enfant, quelleque soit la situation de sa famille, d’accéderà des dispositifs d’accueil du jeune enfantet de permettre que ces lieux d’accueilsoient des espaces d’éveil, avec des agentsspécifiquement formés à l’accueil bienveillant.

      Recommandadion 02

    1. • Clarifier le cadre juridique de la responsabilité des médecins pour leur permettre, sans risquer despoursuites disciplinaires, de signaler auprès des autorités administratives ou judiciaires tout acte demaltraitance, qu’il soit avéré ou suspecté, à l’encontre d’un enfant.destinataires : Ministre de la Santé et de la PréventionGarde des Sceaux, ministre de la Justice
    2. • Inscrire le droit à une éducation non violente et l’interdiction des châtiments corporels ettraitements humiliants dans le code de l’éducation, dans le code de la santé publique, ainsi quedans le code de l’action sociale et des familles.destinataires : Ministre de l’Éducation nationale / Ministre de la Santé et de la PréventionMinistre des Solidarités, de l’Autonomie et des Personnes handicapées
    1. Recommandation 19. Inscrire systématiquement l’éducation à la sexualité dans les conventions departenariats avec les institutions (collectivités territoriales, agences régionales de santé, délégations auxdroits des femmes et à l’égalité) et veiller à leur mise en cohérence, en particulier en coordonnant les comitésde pilotage et de suivi correspondants
    2. en lien étroit avec le ministère de la santé et les autres ministères chargés de l’égalité et de la protection de l’enfance et en collaboration avec les collectivités territoriales.
  13. Nov 2022
    1.  dix-neuf représentants des usagers ;
    2. Le fonds d’intervention régional (FIR) Institué par la loi de financement de la sécurité sociale pour 2012 et prévu par l’article L. 1435-8 du code de la santé publique, le FIR répond à l’objectif de doter les ARS d’un instrument financier d’intervention pour favoriser, aux termes de la loi, « des actions, des expérimentations et, le cas échéant, des structures concourant à cinq types de missions » différentes. Ces cinq missions sont : – la promotion de la santé et la prévention des maladies, des traumatismes, du handicap et de la perte d’autonomie ; – l’organisation et la promotion de parcours de santé coordonnés ainsi que la qualité et la sécurité de l’offre sanitaire et médico-sociale ; – la permanence des soins et la répartition des professionnels et des structures de santé sur le territoire ; – l’efficience des structures sanitaires et médico-sociales et l’amélioration des conditions de travail de leurs personnels ; – le développement de la démocratie sanitaire. Les crédits du FIR, qui constituent depuis 2014 un sous-objectif de l’ONDAM, sont issus de différentes enveloppes auparavant cloisonnées, abondées essentiellement par l’assurance maladie. Ils sont laissés à la libre appréciation des ARS, sous réserve du principe de fongibilité asymétrique qui protège les crédits relatifs à la promotion de la santé, à la prévention et à la prise en charge des personnes âgées et handicapées.
    3.   La promotion de la santé : un investissement encore faible, une territorialisation insatisfaisante
    4. mais également toutes les autres politiques de santé publique, au premier rang desquelles la promotion de la santé ainsi que la veille et la sécurité sanitaire
  14. Sep 2022
    1. Article 27 1. Les Etats parties reconnaissent le droit de tout enfant à un niveau de vie suffisant pour permettre son développement physique, mental, spirituel, moral et social.
  15. Jul 2022
    1. LES EFFETS DÉLÉTÈRES DE LA SÉPARATION DE JUMELLESÀ L’ÉCOLE SANS ÉVALUATION PRÉALABLE
    2. Au lendemain de sa publication, le rapport aété présenté à Montpellier par la Défenseuredes droits dans le cadre d’un colloqueréunissant la Maison des adolescents del’Hérault, la rectrice d’académie, la Mairie, lecentre psychiatrique du centre hospitalieruniversitaire, l’agence régionale de santé et laprotection judiciaire de la jeunesse. Plus de200 personnes étaient présentes.
    3. Dans notre rapport annuel enfant intitulé« Santé mentale des enfants : le droit au bienêtre », présenté en novembre, nous avonsmontré que le défaut de prise en charge destroubles en santé mentale
    4. La Défenseure des droits y a consacréune partie dans son rapport annuel sur « lasanté mentale des enfants : le droit au bien-être », et a appelé à plusieurs reprises lesautorités publiques à une vigilance accrue auxdroits des enfants entendus largement.
    5. Le rapport annuel sur les droits del’enfant, consacré en 2021 à la santé mentaleet au bien-être
  16. Jun 2022
  17. May 2022
    1. 12Répondre dès aujourd’hui aux enjeux lesplus urgents de la psychiatrie de l’enfant etde l’adolescent– revaloriser la consultation libérale en pédo-psychiatrie– envisager le remboursement des séancesd’orthophonie, de psychomotricité, de psycho-thérapie en libéral, dans une logique de parcoursde soins– tripler le nombre d’hospitalo-universitaires enpédopsychiatrie sur l’ensemble du territoire
    2. 07Permettre à l’école d’assumer sa fonction depromotion de la santé mentale– élaborer une stratégie nationale de promotion dela santé mentale et de prévention en milieuscolaire, selon une approche graduée– former le personnel éducatif au repérage de lasouffrance psychique et à la promotion de lasanté mentale
    3. 03Élaborer une loi-cadre sur la santé mentale,préalablement à une réforme de la psy-chiatrie
    4. 02Faire de la participation des usagers dansle système de santé un axe transversal desfutures mesures, à toutes les échelles
    5. 01Faire de la santé mentale une grande causenationale
    6. École, santé mentaleet psychiatrie
  18. Apr 2022
    1. Article 25Les Etats parties reconnaissent à l'enfant qui a été placé par les autorités compétentes pour recevoir des soins, une protection ou un traitement physique ou mental, le droit à un examen périodique dudit traitement et de toute autre circonstance relative à son placement.
    2. e) Faire en sorte que tous les groupes de la société, en particulier les parents et les enfants, reçoivent une information sur la santé et la nutrition de l'enfant

      Article 24

    3. Article 241. Les Etats parties reconnaissent le droit de l'enfant de jouir du meilleur état de santé possible et de bénéficier de services médicaux et de rééducation. Ils s'efforcent de garantir qu'aucun enfant ne soit privé du droit d'avoir accès à ces services
    4. particulièrement dans le domaine de la sécurité et de la santé et en ce qui concerne le nombre et la compétence de leur personnel ainsi que l'existence d'un contrôle approprié.

      Article 3

  19. Mar 2022
    1. les jeunes aidantes ne sont pas tout à fait des jeunes comme les autres. Elles doivent jongler entre temps familial, scolaire, amical et temps de l’aidance tout en portant une charge mentale singulière.
  20. Feb 2022
    1. Selon l’OMS, la santé mentale se définit comme « un état de bien-être dans lequel une personne peut se réaliser, surmonter les tensions normales de la vie, accomplir un travail productif et contribuer à la vie de sa communauté. Dans ce sens positif, la santé mentale est le fondement du bien-être d’un individu et du bon fonctionnement d’une communauté ».
    2. Le droit à la santé, dont la santé mentale est une composante à part entière, constitue un droit fondamental consacré par de nombreux textes nationaux et internationaux, et notamment à l’article 24 de la Convention internationale des droits de l’enfant (CIDE), qui en donne une définition qui dépasse le strict cadre sanitaire
    3. manque de structures et de professionnels spécialisés dans le domaine de la pédopsychiatrie
    4. Enfin, il reste indispensable de répondre véritablement aux insuffisances dont souffre le secteur de la santé mentale, en investissant massivement pour développer les offres de prise en charge et d’accompagnement, les propositions de suivi, les lieux d’écoute
    5. si tout le monde s’accorde sur l’importance de l’équilibre psychologique et émotionnel pour se sentir bien au quotidien et sur le lien entre santé mentale, santé physique, et qualité relationnelle, le lien entre santé mentale de l’enfant et respect effectif de ses droits, reste un combat
    6. R e c o m m a n d at i o n n ° 1 2 La Défenseure des droits recommande aux directeurs académiques, en concertation avec les collèges et lycées, de diffuser à chaque rentrée scolaire, via un support adapté (livret d’accueil, etc.), les informations relatives à la présence au sein de l’établissement, de l’assistante sociale et de l’infirmière scolaire. Une information systématique à destination des parents sur l’accès à la médecine scolaire doit aussi être organisée
    7. R e c o m m a n d at i o n n ° 2 8 La Défenseure des droits recommande également la réalisation d’une recherche longitudinale menée par des chercheurs indépendants sur la trajectoire des mineurs à l’issue de leur passage en détention ou en centre éducatif fermé, en terme notamment d’insertion sociale, de santé, de formation, de logement, de vie familiale et de récidive d’infraction pénale
    8. R e c o m m a n d at i o n n ° 2 7 La Défenseure des droits recommande aux directions territoriales de la protection judiciaire de la jeunesse et aux agences régionales de santé de construire des partenariats entre les structures locales de pédopsychiatrie et les centres éducatifs fermés (CEF), afin de renforcer l’accès aux soins de santé des enfants en CEF
    9. La Défenseure des droits recommande de nouveau aux présidents des conseils départements de multiplier les partenariats extérieurs afin de renforcer l’offre de soin en matière de santé mentale pour les mineurs non accompagnés et de renforcer la formation des évaluateurs à l’appréhension des troubles psychiques et au repérage des symptômes de stress posttraumatique
    10. La Défenseure des droits recommande de nouveau aux présidents des conseils départementaux de solliciter l’agence régionale de santé dont il dépend et l’ensemble des partenaires de l’offre de soins pour mettre en œuvre l’organisation d’un bilan de santé conforme aux préconisations du Haut conseil de la santé publique pour tout jeune exilé en phase d’évaluation
    11. R e c o m m a n d at i o n n ° 2 5 La Défenseure des droits recommande au ministre des Solidarités et de la santé d’assurer le développement de la présence d’interprètes dans les centres et structures de soins
    1. Article 39Les Etats parties prennent toutes les mesures appropriées pour faciliter la réadaptation physique et psychologique et la réinsertion sociale de tout enfant victime de toute forme de négligence, d'exploitation ou de sévices, de torture ou de toute autre forme de peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants, ou de conflit armé. Cette réadaptation et cette réinsertion se déroulent dans des conditions qui favorisent la santé, le respect de soi et la dignité de l'enfant.
    2. Article 25Les Etats parties reconnaissent à l'enfant qui a été placé par les autorités compétentes pour recevoir des soins, une protection ou un traitement physique ou mental, le droit à un examen périodique dudit traitement et de toute autre circonstance relative à son placement.
    3. Article 241. Les Etats parties reconnaissent le droit de l'enfant de jouir du meilleur état de santé possible et de bénéficier de services médicaux et de rééducation. Ils s'efforcent de garantir qu'aucun enfant ne soit privé du droit d'avoir accès à ces services. 2. Les Etats parties s'efforcent d'assurer la réalisation intégrale du droit susmentionné et, en particulier, prennent les mesures appropriées pour : a) Réduire la mortalité parmi les nourrissons et les enfants; b) Assurer à tous les enfants l'assistance médicale et les soins de santé nécessaires, l'accent étant mis sur le développement des soins de santé primaires; c) Lutter contre la maladie et la malnutrition, y compris dans le cadre de soins de santé primaires, grâce notamment à l'utilisation de techniques aisément disponibles et à la fourniture d'aliments nutritifs et d'eau potable, compte tenu des dangers et des risques de pollution du milieu naturel; d) Assurer aux mères des soins prénatals et postnatals appropriés; e) Faire en sorte que tous les groupes de la société, en particulier les parents et les enfants, reçoivent une information sur la santé et la nutrition de l'enfant, les avantages de l'allaitement au sein, l'hygiène et la salubrité de l'environnement et la prévention des accidents, et bénéficient d'une aide leur permettant de mettre à profit cette information; f) Développer les soins de santé préventifs, les conseils aux parents et l'éducation et les services en matière de planification familiale. 3. Les Etats parties prennent toutes les mesures efficaces appropriées en vue d'abolir les pratiques traditionnelles préjudiciables à la santé des enfants. 4. Les Etats parties s'engagent à favoriser et à encourager la coopération internationale en vue d'assurer progressivement la pleine réalisation du droit reconnu dans le présent article. A cet égard, il est tenu particulièrement compte des besoins des pays en développement.
  21. Jan 2022
    1. R e c o m m a n d at i o n n ° 2 3 La Défenseure des droits recommande au ministre de l’Intérieur de renforcer la formation initiale de l’ensemble des agents aux spécificités de l’audition du mineur victime et de systématiser la formation au protocole NICHD des agents appartenant aux brigades de protection des familles (police et gendarmerie).
    2. R e c o m m a n d at i o n n ° 2 2 La Défenseure des droits recommande au ministre de l’Éducation nationale, de la Jeunesse et des sports et au ministre des Solidarités et de la santé de renforcer les relations partenariales entre santé et éducation afin de garantir le respect des droits fondamentaux des enfants hospitalisés en raison de troubles de la santé mentale et de d’assurer une continuité pédagogique pour chaque enfant hospitalisé
    3. R e c o m m a n d at i o n n ° 2 1 La Défenseure des droits réitère sa recommandation au ministre des Solidarités et de la santé de consacrer par la loi un droit à la présence parentale dans le cadre du Code de la santé publique en vue d’organiser un véritable accueil des parents et/ou des représentants légaux au sein des hôpitaux.Toutefois, ce principe doit tenir compte des besoins spécifiques des adolescents. C’est pourquoi, il conviendrait de recueillir le consentement de l’enfant selon son degré de discernement afin de s’assurer de son adhésion à la présence parentale.
    4. R e c o m m a n d at i o n n ° 2 0 La Défenseure des droits recommande au ministre de la Justice, garde des Sceaux, et au ministre des Solidarités et de la santé de proposer l’inclusion dans la loi de l’interdiction d’accueil d’un mineur en unité psychiatrique pour adulte
    5. R e c o m m a n d at i o n n ° 1 9 La Défenseure des droits recommande au ministre des Solidarités et de la santé de poursuivre la densification de l’offre de soins hospitalière en pédopsychiatrie, en poursuivant la trajectoire à la hausse du nombre de lits et places en pédopsychiatrie, en réduisant les inégalités territoriales dans le maillage de l’offre de soins, en développant les équipes mobiles. Une attention particulière devrait être portée à la situation dans les Outre-Mer.
    6. R e c o m m a n d at i o n n ° 1 8 La Défenseure des droits recommande au ministre des Solidarités et de la santé de soutenir le développement d’unités thérapeutiques transversales, rassemblant dispositifs d’aller-vers, offre de soins ambulatoire et en hospitalisation, afin d’éviter les ruptures dans les parcours de soins et de lutter contre les inégalités dans l’accès aux soins.
    7. R e c o m m a n d at i o n n ° 1 7 La Défenseure des droits recommande au ministre des Solidarités et de la santé de développer la prise en charge des urgences pédopsychiatriques, en assurant la présence systématique d’un pédopsychiatre dans les services d’urgence pédiatriques et en développant des dispositifs d’urgences pédopsychiatriques permettant d’apporter rapidement une réponse adaptée et proportionnée à la situation (depuis l’intervention au domicile, à la consultation en structure, voire à l’hospitalisation dans les cas les plus critiques)
    8. R e c o m m a n d at i o n n ° 1 6 La Défenseure des droits recommande au ministre des Solidarités et de la santé de réaliser une étude pluridisciplinaire et longitudinale sur les effets à long terme de la crise sanitaire, sur la santé mentale des enfants et des adolescents
    9. R e c o m m a n d at i o n n ° 1 5 La Défenseure des droits recommande non seulement d’augmenter le nombre de centres médico-psycho-pédagogiques (CMPP) et de centres médico-psychologiques (CMP), mais également de développer et de soutenir les projets de création d’équipes mobiles et de reconnaître le modèle de l’équipe mobile comme un « équipement » de l’hôpital
    1. former des citoyens éclairés. S’épanouir aujourd’hui et demain dans et par l’école, c’est penser la qualité de vie en milieu scolaire et dans nos services, parce que l’épanouissement et le bien-être sont des composantes essentielles de la réussite des élèves